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7 octobre 2015 3 07 /10 /octobre /2015 17:40
Retour sur un livre de 2013. D'actualité.
Interview de Drieu Godefridi pour la sortie du livre Climat : 15 vérités qui dérangent

Contrepoints a interviewé Drieu Godefridi pour la sortie du livre Climat : 15 vérités qui dérangent (sous la dir. scientifique du Pr. Istvan E. Marko, Texquis, 30 mai 2013).

Par la rédaction de Contrepoints.

Vous êtes l’un des huit auteurs de « Climat : 15 vérités qui dérangent », un ouvrage qui paraît ces jours-ci. Quel est votre objectif en publiant ce livre ?

Notre objectif est de rouvrir le débat sur le rôle de l’homme dans l’évolution du climat. Depuis vingt ans, le groupe d’experts des Nations unies sur le climat — le GIEC — certifie que la Terre se réchauffe. « Depuis dix-sept ans, la Terre ne se réchauffe pas », vient pourtant de concéder le président du GIEC, au détour d’une interview (The Australian, 22 février 2013). Aucune organisation soumise au principe de réalité ne survivrait à un tel aveu. Imperturbable, le GIEC poursuit ses travaux.

Une étude vient d’être publiée, qui indique que 97% des scientifiques sont convaincus par la thèse du réchauffement anthropique…

Cet échange régulier de statistiques et de pétitions au sein de la communauté scientifique du climat, où l’on se canarde à coup de prix Nobel, en dit long sur l’état du débat. Il existe des centaines de scientifiques de haut niveau qui approuvent, quels que soient leurs motifs, les conclusions du GIEC ; et des milliers qui les rejettent.

Quelle est cette vérité qui a besoin de tant de vilénies ?

Conclusion ?

Il faut admettre que la science du climat est balbutiante et que les conclusions définitives relèvent, à ce stade, de l’idéologie. Combien, parmi les modèles du GIEC, avaient prédit l’arrêt du réchauffement que nous connaissons depuis une quinzaine d’années ? Aucun, pas un seul. Et nous parlons pourtant de prédictions à 5 ou 10 ans, dans le même temps que le GIEC vous parle tranquillement du climat qu’il fera dans 100 ans. La modestie s’impose. Quand un débat ne peut être tranché en raison, c’est qu’il manque en fait.

La cinquième vérité de votre livre collectif stipule : « Le GIEC dénigre, calomnie et entrave la liberté d’expression de ceux qui ne partagent pas ses thèses ». Pouvez-vous nous donner quelques exemples ?

La suite...

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