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17 octobre 2012 3 17 /10 /octobre /2012 11:47

 

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17 octobre 2012 3 17 /10 /octobre /2012 09:15

 

      Capture-d-ecran-2012-10-14-a-17.16.29.png Jean Luc GARIN , nouveau supérieur du Séminaire Interdiocésain de Lille (depuis 1 mois) 

"Une occasion pour inviter à passer de la fiction à la réalité"

 

Quand vous avez appris la sortie d'"Ainsi soient-ils", quelle a été votre réaction ?

Je l'ai accueillie positivement. Je trouvais intéressant de parler de ce qui se vit dans les séminaires. Je me suis dit que l'aventure humaine et spirituelle vers la prêtrise intéressait encore de nos jours.

 

Et après avoir vu les 8 premiers épisodes, qu'en retenez-vous ?

Une déception. Je n'ai pas reconnu ce que je vis.

 

Qu'est-ce qui vous a le plus touché ?

Il y a des perles. Comme la scène dans la librairie, où José, le repris de justice, rencontre pour la première fois le père Fromenger, responsable du séminaire. Il lui parle d'ouverture et lui dit : "Relisez Saint Augustin"  José, c'est le personnage le plus attachant.

 

Qu'est-ce qui vous a choqué ?

Le moment où le thème des pauvres est choisi comme campagne de communication. L'Église se servant des plus démunis pour soigner son image de marque, ça fait mal... 

 

Qu'est-ce qui manque le plus dans cette saison 1 ?

La vie fraternelle. On se porte davantage les uns les autres dans un séminaire. Le lieu est moins replié sur lui-même que ce qui est montré : nos enseignants ne sont pas que des prêtres, il y a des cours communs avec des laïcs...

 

Trouvez-vous que les 5 profils de séminaristes de la série correspondent à une certaine réalité ?

D'abord, on ne les choisit pas sur dossier comme le suggère le premier épisode ! Les situations qu'ils connaissent dans la série peuvent arriver, mais elles sont tellement dramatiques qu'il faudrait 20 ans pour les rencontrer ! Quand les séminaristes arrivent, ils ont davantage mûri leur engagement que ce qui est présenté : ils sont déjà en lien avec un service des vocations, une pastorale des jeunes, un prêtre...

 

Quel est selon vous le plus grand décalage avec la réalité ?

Il manque la joie. La série est triste. Il n'y a pas de lumière. Qu'est-ce qui habite la prière ? Tout ce qui nourrit le coeur n'est pas évoqué, la relation à Jésus Christ notamment. Or, la vocation est un appel au bonheur, même si cela n'empêche pas les difficultés et qu'il faut rester lucide. Car on ne sait pas ce que sera la prêtrise demain.

 

L'un des personnages a fait de la prison pour homicide. Serait-il possible pour un séminaire d'accueillir un tel profil ?

Je ne sais pas, je n'ai acun exemple en ce sens.

 

L'un des personnages avoue ses pulsions homosexuelles. Dans la réalité, resterait-il séminariste ?

Nous respectons les personnes, mais non, un homosexuel n'ira pas jusque la prêtrise.

 

Vous venez de présenter un documentaire sur le séminaire de Lille. La série sort le même mois. Est-ce un hasard ?

Nous n'avons pas attendu la série pour comprendre qu'il nous fallait mieux communiquer sur la vie au séminaire. Le fait que cette fiction sorte est un appel de plus à cette visibilité. C'est une occasion de témoigner, d'inviter les gens à passer de la fiction à la réalité.  Pour cela nous avons un DVD tout récent, et cette année, il y aura des soirées ouvertes à tous, et quatre week ends portes ouvertes.

 

La Croix du Nord du 12 au 18 Octobre 2012

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17 octobre 2012 3 17 /10 /octobre /2012 09:09
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17 octobre 2012 3 17 /10 /octobre /2012 08:19

 

Le principal reproche que l’on puisse faire au système médiatique, c’est d’être devenu le portevoix d’une doxa extrêmement restrictive et que l’on impute assez généralement aux fameux « bobos ».

La concentration du système politico-médiatique est géographique et économique. Il n’est dès lors pas incongru d’évoquer et de constater une certaine connivence intellectuelle.

S’il est compréhensible que poigne en filigrane à travers son article l’opinion d’un pigiste, d’un rédacteur, ou d’un éditorialiste, il est davantage problématique que tous ces détaillants se fournissent chez le même grossiste.

C’est pourtant le cas, et la conséquence directe est que le débat public s’en trouve dramatiquement appauvri, car d’une station de radio à l’autre, d’une chaîne à l’autre, ou d’un papier à l’autre, les jugements, les mots clés, les formules, les opinions évoquées sont toujours les mêmes.

lu ICI

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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 06:10

 

Ecran, c'est la rubrique cinéma

de Petrus Angel

A voir et à revoir !

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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 06:04

FAUX

Quelques heures de printemps 

de Stéphane Brizé, avec Vincent Lindon, Hélène Vincent
 Sorti de prison, Alain (Vincent Lindon) est contraint d’aller vivre chez sa mère (Hélène Vincent), emmerderesse patentée. La cohabitation est plus qu’orageuse, mais quand Alain découvre qu’elle est atteinte d’un cancer incurable et qu’elle a décidé de recourir au suicide assisté en Suisse, il décide de l’aider… 
Un fils qui se réconcilie avec sa mère en l’aidant à se tuer : on avoue avoir du mal à être convaincu de la justesse du propos. Stéphane Brizé prétend ne pas avoir fait un film militant sur l’euthanasie, mais son film distille la petite musique doucereuse du “chacun fait ce qui lui plaît”, ce qui, concernant une pratique interdite en France, est déjà une prise de position, confirmée par le tableau lénifiant qu’il fait du déroulement des opérations. Le film, très lent, est par ailleurs mortellement ennuyeux. On est toujours puni par où on a péché. Laurent Dandrieu

 

Voir la bande-annonce...

 


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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 00:10

 

Amour à mort

Le candidat Hollande avait annoncé des décisions dans l’air du temps : mariage homo et adoption d’enfants, manipulation de cellules, extension de l’euthanasie, etc. qui, une fois entérinées sous forme de lois, risquent fort d’avoir des conséquences majeures sur les valeurs éthiques.

Bouleversements en vue, non seulement dans l’hexagone, mais également dans l’espace idéologique européen, déjà en mutation sous bien des aspects (influence de nouveaux comportements, pénétration de cultures allogènes, etc). Le tout, rappelons-le, dans un contexte général de crise économique et de brouillage des repères et des modèles au sein des sociétés.

Est-ce un hasard si, autour du festival de Cannes, on a pu assister récemment à une promotion tous azimuts du film « Amour » de Haneke, réalisateur autrichien porté aux nues et auréolé de gloire médiatique avec Palme d’Or ?

Les commentateurs s’accordent à louer le talent indéniable de Jean Louis Trintignant et d’Emmanuelle Riva dans les rôles qui leur ont été dévolus : incarner l’intimité quotidienne d’un vieux couple, plutôt comblé par l’existence, et qui s’aime. Mais cette pluie de compliments ne doit pas évacuer le dilemme imposé par le scénario.

L’inattendu du film réside essentiellement dans la crise de Madame qui, foudroyée par un AVC, se retrouve, comme tant de personnes dans le même cas, réduite à une vie au ralenti. C’est alors que Monsieur redouble d’efforts de présence et de tendresse ; et Haneke n’épargne aucun détail pour faire vibrer la corde émotive au maximum. Tout ce luxe de gros plans, pour en arriver à la conclusion programmée : je t’aime, donc je te tue. Car Monsieur, dans un dernier « geste d’amour », étouffe son épouse avec un coussin.

Cette version « humaine » de l’euthanasie incline vers l’idée que la vieillesse est une déchéance et que la maladie subite autorise les proches à abréger des jours insupportables surtout pour l’entourage.

Voici donc une nouvelle prime à la culture de mort, qui se banalise dans tous les domaines. Vérifiez bien que ceux qui vous « aiment » ne s’autoriseront pas dans un ultime sursaut d’affection à vous débrancher ou à vous piquer, si par malheur votre état général se trouvait subitement mis à mal et devenait à leurs yeux inacceptable !

On peut dire que les deux traditions juive et chrétienne offrent une approche spirituelle assez semblable de l’euthanasie. L’idée force issue de l’anthropologie biblique est que la vie doit être respectée et préservée par les médecins et par les proches d’un malade. La tradition juive dit que détruire une vie, c’est détruire le monde entier, maintenir une vie c’est à l’inverse sauver le monde entier. Pour aller au secours d’une vie en danger, il est même autorisé de transgresser les règles du shabbat. En outre, la torah ne fait pas de différence qualitative entre le souffle d’un enfant qui commence à vivre et celui d’un vieillard qui termine son chemin terrestre.

Mais cette attitude de respect ne signifie pas acharnement, et si quelque chose empêche l’expiration naturelle, on peut en écarter l’obstacle. Pour les chrétiens, dans le même esprit, le respect de la vie et de la dignité s’impose, et on distingue de la même manière entre une euthanasie passive, attitude acceptée, et une euthanasie active, (comme dans le film de Haneke) comportement porteur de mort rejeté par l’Eglise.

Il est clair que la banalisation de l’euthanasie se développe avec des arguments souvent de type émotionnel et subjectif, qui, bien présentés ont prise sur le public, souvent au nom d’une compassion. Nul ne conteste que certaines situations sont complexes et que la relation affective peut prendre le pas sur d’autres considérations éthiques et religieuses, pourtant indispensables face au caractère inviolable de l’existence humaine.


© Abbé Alain René Arbez pour www.Dreuz.info

 

On peut aussi lire "Amour" ...

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12 octobre 2012 5 12 /10 /octobre /2012 20:16

 

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12 octobre 2012 5 12 /10 /octobre /2012 20:14

 

Exposition de Catherine Roch au sanctuaire de Montligeon


A voir en ce moment  !


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12 octobre 2012 5 12 /10 /octobre /2012 08:57

 

Un soir, ma mère et moi étions assis dans le salon et parlions de la vie et de la mort.

Je lui dis : " Maman, ne me laisse jamais vivre dans un état végétatif, où l'on dépend de machines et de bouteilles. Si tu me vois dans cet état, débranche les machines qui me maintiendraient en vie.

Je préfère mourir !!! "

Admirative, ma mère se leva et débrancha .....

la télévision, le lecteur de DVD , le câble INTERNET, l'ordinateur, le MP3/4, la PLAY-2, la PSP, la WII, le téléphone fixe.

Elle me prit aussi : mon mobile, mon IPOD, mon IPAD, mon BLACKBERRY 

et jeta toutes mes bouteilles de bière.

J'ai failli mourir !

Plus sérieusement ...

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11 octobre 2012 4 11 /10 /octobre /2012 22:54

les deux premiers épisodes passaient sur ARTE sur soir...

 

« Ainsi soient-ils » un éclairage sur la nouvelle série d'Arte

AUn site vient d'être lancé pour apporter des éléments autour de la série ennuyeuse que diffuse Arte (Ainsi soient ils de Arte) à partir de ce soir sur la vie de séminaristes. Ce site répond notamment à une série de questions que la série peut soulever (suicide, adoration, liberté, pulsions, ...). On y trouve aussi des témoignages de vrais séminaristes et de prêtres. Le SNEJ (service national des vocations) a diffusé une note dont voici un extrait :

"Cette série n’est ni un documentaire sur l’Église, ni une présentation de la formation des futurs prêtres. Elle en utilise le cadre dans ses aspects perçus par beaucoup comme secrets et fascinants. Les personnages de la hiérarchie de l’Église, souvent caricaturaux, sont ambigus et possèdent des profils psychologiques complexes, avec des zones d’ombres et de lumières. Tous sont traversés par des doutes, des attitudes discutables. Ce qui rend l’ensemble des personnages attachants voire attirants. Ceci dit, cette fiction peut produire des agacements chez certains catholiques qui ne retrouvent pas l’Église dans laquelle ils vivent. (Ici c’est une fiction dramatique dont le cadre est l’Église, et il est important comme pour tout film d’en décrypter les ressorts et l’écriture). Cette série donne aussi l’occasion de témoigner de ce que chacun vit dans l’Église, de la façon dont les candidats au ministère presbytéral sont accompagnés et formés."

Michel Janva sur le salon beige

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8 octobre 2012 1 08 /10 /octobre /2012 23:26

 

      Au "Pont de Bois", faubourg de Tokyo, dans d'anciennes baraques militaires vivait un millier de vieillards, d'isolés, de sans-patrie. Une nuit, vers deux heures, le téléphone sonne : une vieille femme sur le point de mourir, demande un prêtre. 


Lorsqu'elle était jeune fille, elle a fréquenté une école catholique. Là-bas, une religieuse l'a instruite pendant trois ans et à l'âge de dix-sept ans, elle est devenue chrétienne. "J'ai reçu l'Eau sainte et le Pain de Dieu", me dit-elle. Mais ensuite elle s'est mariée selon le choix de sa famille et son mari était un bonze bouddhiste qui possédait un temple, loin dans la montagne. Elle s'en fut donc là-bas, dans le temple dont elle devait assurer l'entretien; elle devait aussi entretenir de nombreuses tombes et faire brûler l'encens au cours des fêtes funèbres. Son mari lui aurait bien permis d'aller à l'église, mais il n'y en avait pas. Elle mit au monde huit enfants. Après 70 ans, son mari mourut, tous ses enfants moururent également dont cinq fils tombés pendant la guerre et, il y a 10 ans, un autre prêtre bouddhiste arriva, de sorte qu'elle dut quitter le temple.

Je lui demandai si, pendant toutes ces années elle avait pensé à Dieu. Elle me regarde avec étonnement et sortit péniblement sa main droite de sous la couverture. Elle tenait un rosaire et j'entendis cette réponse : "Pendant ces années, tous les jours et plusieurs fois par jour, sans jamais manquer un seul, j'ai prié en faisant mon travail; j'avais toujours la chaîne de Marie dans les mains ou dans ma poche et je lui ai demandé tous les jours qu'avant de mourir, je trouve encore une fois un prêtre catholique qui me donne le Pain de Dieu."

P. Géréon Goldmann dans « Le chiffonnier de Tokyo »
Rapporté par le Recueil Marial 1986 du Père Albert Pfleger, mariste

   « Le chiffonnier de Tokyo » est aussi publié dans ce livre :

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8 octobre 2012 1 08 /10 /octobre /2012 11:10

 

Un petit rappel ...

Une journée d'ateliers et tables-rondes pour ceux qui veulent (mieux) agir dans la cité

(JPEG)MARIAGE, fiscalité, école, euthanasie... l’actualité invite les catholiques à se mobiliser sur tous les fronts : auprès des élus, dans les communes, les partis politiques, les médias, etc. Or rien n’est possible sans une action sur les esprits. Rien ne se fera, ou rien ne sera durable, sans la formation d’hommes capables d’animer ce travail : le ravaudage électoral ne suffira pas...

Face à ce nouveau défi, les jeunes catholiques sont plus dynamiques que jamais. Ils sont engagés dans des groupes de prières, d’évangélisation, de défense de la vie, dans des causes humanitaires. Ils ont le moteur, il leur manque parfois les munitions... Ils ont la flamme spirituelle, la dimension politique de leur engagement reste à comprendre et conquérir... De leur côté, les responsables d’associations d’aujourd’hui ont besoin de trouver ceux qui pourraient rejoindre leurs équipes et plus tard prendre des responsabilités avec le même enthousiasme, la même vigueur, la même persévérance, le même dévouement.

Le colloque Ichtus-Amitiés Jean-Ousset a pour but de permettre à ces générations de se rencontrer. L’expérience des aînés et l’énergie de la jeunesse pourront, ce jour-là, se croiser, travailler ensemble, partager, tisser des liens, afin que les catholiques continuent à irriguer tous les corps intermédiaires de notre société, vers la quête du vrai, du beau, du bien.

Le 13 octobre, tous les responsables et militants associatifs, tous les jeunes chrétiens désireux de s’engager, sont invités par Ichtus à cette belle journée de colloque à Saint-Jean-de-Passy, Paris 16e.

Le programme est ICI. Il faut impérativement s'inscrire. 

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8 octobre 2012 1 08 /10 /octobre /2012 10:57

 

C'est une proposition de l'INA, en DVD, en promotion ... 12 pièces radiodiffusées et émissions.

Des extraits sur le site de l'INA. 

 

JEAN ANOUILH EN 12 ÉMISSIONS
test video

12 pièces de Jean Anouilh adaptées pour la radio : La répétition ou l'amour puni, Antigone, Eurydice, Colombe ou encore Ardèle ou la Marguerite.Pack de 12 émissions...

17h14min05s

* Hors frais de gravure et d'expédition
RÉPÉTITION DE "LA RÉPÉTITION OU...

Extrait de la répétition de la pièce de Jean Anouilh "La répétition ou l'Amour puni", enregistré au théâtre Marigny avec Jean Louis Barrault, Madeleine Renaud et Simone Valère.

- 16min18s

DRM
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7 octobre 2012 7 07 /10 /octobre /2012 13:00

 

Feuilletez les Euphorismes de Grégoire Lacroix !

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7 octobre 2012 7 07 /10 /octobre /2012 09:22

 

Georges Kaplan : Benoît Malbranque, vous publiez Le Socialisme en Chemise Brune, un « essai sur les dimensions socialistes du national-socialisme hitlérien ».Bénéficiez-vous d’une protection policière ?

Benoît Malbranque : Vous pensez que je devrais ? (Rires). Non, d’ailleurs le livre relève de l’analyse historique et pas de l’essai polémique. Son objet n’est pas de dire que le socialisme est une forme de nazisme. Ce serait prendre les choses à l’envers. Mon objectif est d’apporter des réponses à une question en apparence assez banale, à savoir : Pourquoi Hitler intitula-t-il son mouvement National-Socialisme (Nationalsozialismus).

La plupart des historiens n’ont pas voulu prendre l’idéologie nazie au sérieux et ont prétendu, sans même le prouver, que le nazisme n’avait rien à voir avec le socialisme. Pourtant, Hitler se disait lui-même socialiste, Joseph Goebbels qualifiait son idéologie de « socialisme national », l’ancien numéro deux du parti, Gregor Strasser, disait travailler à une « révolution socialiste », et dans ses mémoires, Adolf Eichmann expliqua même que sa « sensibilité politique était à gauche ». Ce sont des éléments troublants, et cela pose question .

GK : Mais en quoi, précisément, les Nazis étaient-ils socialistes ?

la suite ...

Le livre est téléchargeable gratuitement sur ce blog ...

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7 octobre 2012 7 07 /10 /octobre /2012 09:07

        Apparemment, oui pour Charlie Hebdo. 

« Une » de Charlie-Hebdo n° 416 de novembre 1978 :
charlie hebdo hitler
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7 octobre 2012 7 07 /10 /octobre /2012 09:01

... mais on est pas obligé.

Grégoire Lacroix était l'invité de cette émission radio ... (à écouter sans tarder)

 

 

On peut rire de tout mais pas n’importe comment. Grégoire jongle avec toutes les formes de textes courts. 
Qu’il s’agisse de pensées –« Le mocassin on ne s’en lace pas » ; « La démocratie, c’est la liberté de dire qu’on en manque » ; « Les frites, c’est le fan club du bifteck »–, d’aphorismes–« Les sondages le confirment : trois Français sur quatre ignorent qu’il y en a peut-être un cinquième » ; « La vérité, c’est un mensonge qui s’est dégonflé au dernier moment » – de fables express ou d’inattendus (discours électoraux, critiques d’art, allocution de départ à la retraite, poèmes chevelus, professions de foi, apologie des hors-la-loi, poème au dieu du golf, etc.), chaque page est une surprise ! 
On y retrouve à la fois l’esprit allaisien et la philosophie souriante des célèbres Euphorismes.

Des extraits ICI

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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 07:30

 

CQFD

Sur le blog d’Yves Daoudal, le 19 septembre :

« Charlie Hebdo publie de nouvelles caricatures de Mahomet. La classe politique est en émoi. On parle de « provocation inutile ». Le Premier ministre « désapprouve ». Le ministre de l’Intérieur reçoit les représentants de l’islam, et déclare que « chacun doit faire preuve de responsabilité : chaque acte, déclaration, écrits peut attiser la violence ».

Quand Charlie Hebdo publie d’ignobles caricatures du Christ ou du pape, non seulement cela ne suscite aucune émotion dans la classe politique, le ministre de l'Intérieur ne reçoit pas de représentants de l'épiscopat, mais les catholiques qui osent se dire choqués sont traités comme de pitoyables survivants du moyen âge, et on leur rappelle qu’il n’y a plus de délit de blasphème et que la liberté d’expression ne se divise pas. Et la justice balaie d’un revers de main les plaintes de l’Agrif.

Les ambassades de France vont être fermées dans une vingtaine de pays vendredi, le « jour de la prière ».

On n’a jamais entendu dire que l’ambassade de France en Pologne ou en Irlande aurait été fermée après des caricatures du Christ ou du pape, par peur de manifestations d’intégristes catholiques… »

Ici  CQFD : Le blog d'Yves Daoudal 

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5 octobre 2012 5 05 /10 /octobre /2012 11:06

 

Sur Petrus Angel, il y a plein d'outils ...

La "Newsletter", pour être informé des nouveaux articles

"Ecrire un commentaire", pour réagir aux articles, en toute courtoisie

"Recherche", pour retrouver un sujet parmi les quelques 2200 articles...

Et en cliquant sur une image aléatoire, vous trouvez toutes les autres...

Voyez dans la colonne de droite du Blog

Vous pouvez le dire à vos amis ! Merci.

 

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5 octobre 2012 5 05 /10 /octobre /2012 10:39

Une initiative pas banale !

 

/// - ///

« La Foi, loin d'être l'éteignoir de la science et de l'esprit, en est la lumière véritable » - Fernand Crombette

(Fernand Crombette)


i

Colloque international du CESHE,

le Cercle Scientifique et Historique

les 3 et 4 novembre 2012 à REIMS

>>>  télécharger le programme

 

Au programme : Histoire de l'écriture. Recherche sur l'Arche de Noé. La Genèse dans le chinois. Echanges. Visite de la Basilique Saint-Rémi. Jeanne d'Arc ... Reine de France ...      Un contact :  cesheadm@wanadoo.fr

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5 octobre 2012 5 05 /10 /octobre /2012 08:34

 

(JPEG)
L’Eglise et les femmes
Aubrée Chapy - Editions Tempora 18,90E

" Nous présentons un livre aux éditions Tempora, de la collection La véritable Histoire, qui s’attache à témoigner de l’action de l’Eglise auprès des hommes et en quoi Elle a travaillé à leur ennoblissement, à la rationalisation du monde et à la liberté de l’esprit. Ces livres apportent des réponses aux accusations partiales intentées par tous ceux qui n’en veulent qu’à une seule et unique religion. Parce qu’elle est la seule et l’unique.

Aubrée Chapy, agrégée d’histoire et chargée de TD à la Sorbonne s’est appuyée sur de multiples sources ecclésiales, les Ecritures et la tradition pour sortir l’histoire des chrétiennes de rite latin de la gangue des préjugées et des aprioris ... la suite ... "

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3 octobre 2012 3 03 /10 /octobre /2012 09:23

     un ancien article d'actualité ...   

Le mariage transformé par ses célibataires mêmes

Par-delà le néo-mariage, et quelques autres revendications divertissantes, c’est la réduction au silence du moindre propos hétérodoxe qui se profile, c’est l’écrasement légal des derniers vestiges de la liberté d’expression, c’est la mise en examen automatique pour délit de lucidité.

Le mariage est une invention qui remonte à la plus haute antiquité. Je parle du mariage à l’ancienne, cette institution conformiste, vermoulue et petite-bourgeoise qui véhicule depuis la nuit des temps « les valeurs hétéro-patriarcales et familialistes » pour m’exprimer comme Christophe Girard et Clémentine Autain. Sauf erreur de ma part, cette mémorable conquête n’a pas été arrachée, l’arme à la main, de nuit, dans la précipitation et sous la menace des pires représailles, par une petite bande de fanatiques de la nuptialité bien décidés à se servir de la lâcheté des uns, de l’ambition des autres, de la démagogie tremblotante de tous, pour faire triompher leur cause. Nulle part ce type de mariage ne paraît avoir été imposé par la force. Ni en jetant à l’opinion publique un fatras précipité de raisonnements contradictoires afin d’extorquer d’elle, par sondage, une approbation apeurée. Il n’est pas davantage le fruit d’une volonté claironnée de mettre à genoux le pouvoir politique. Aucun gouvernement, à ma connaissance, n’a cédé aux partisans de la conjugalité dans la crainte de se voir accusé de gamophobie (du grec gamos, mariage).

Y a-t-il même eu « débat », à propos de cette importante « question de société », chez les Égyptiens pharaoniques, à Babylone, en Inde, à Lascaux, entre psychanalystes lacustres, sociologues troglodytes, militants de l’un ou l’autre bord ? En a-t-on discuté, dans le désert de Chaldée, à la lueur de la Grande Ourse ? A-t-on menacé de ringardisation les adversaires de cette nouveauté ? Les a-t-on accusés de ne rien comprendre à l’évolution des mœurs, de s’accrocher à des modèles désuets, d’alimenter la nostalgie d’un ordre soi-disant naturel qui ne relève que de la culture ? La Guerre des Games (de gamos, mariage, je ne le répéterai plus) a-t-elle eu lieu ?

          ... la suite ...

*Philippe Muray est un essayiste français (1945-2006).

> un site consacré aux écrits de Philippe Muray

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3 octobre 2012 3 03 /10 /octobre /2012 08:58

 

        Relevé sur des notices d'emploi ...

Sur un savon DOVE : « Utiliser comme un savon normal » (C'est à dire?)

Sur un tiramisu Tesco's : « A consommer avant .. voir ci-dessous », et en dessous, juste à côté de la date limite de consommation : « Ne pas retourner » (Trop tard, j'ai tout renversé !)

Sur un pudding Marks & Spencer: « Le produit sera chaud après avoir été réchauffé » 

Sur le paquet d'un fer ROWENTA   : « Ne pas repasser les vêtements à même le corps » (Pourtant cela ferait gagner pas mal de temps, non ?)

Sur un somnifère Nytol : « Attention ce produit peut entraîner un état de somnolence » (Et je le prends pourquoi, rappelez-moi ?)

Sur un sèche-cheveux SEARS : On peut lire « Ne pas utiliser en dormant » 

Sur un sirop pour la toux pour enfant : « Ne pas conduire ou utiliser de machine-outil après absorption » (Je pense que l'on pourrait réduire énormément le taux des accidents sur les chantiers si on arrivait à réduire le nombre d'enfants de 5 ans qui conduisent un tractopelle alors qu'ils sont malades !)

Sur un robot de cuisine japonais : « Ne doit pas être utilisé pour un autre usage » (Là, il va falloir m'aider avec celle-là. Parce que franchement je suis assez dubitatif ...?)

Sur un paquet de cacahuètes Sainsbury : « Avertissement : contient des cacahuètes » 

Sur un paquet de biscuits apéritif American Airlines : « Instructions : 1. Ouvrir paquet. 2. Manger biscuit (Moi, Tarzan. Toi, Jane. Nous voyager avec Virgin Express !! )

Et la meilleure pour la fin : Sur une tronçonneuse suédoise : « Ne pas essayer d'arrêter la chaîne avec les mains ou les parties génitales ». 

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3 octobre 2012 3 03 /10 /octobre /2012 08:53

       lu sur le blog de la guerre des mots ...

On y parle, en ce moment , du "mariage" homosexuel , subtilement appelé "mariage pour tous", et de la "mort dans la dignité" ...

" Le jargon, nous en avons déjà parlé.

Il n'épargne aucun monde, et donc pas le monde « catho ».

La langue de bois y est ... la langue de buis !

D'abord, notons simplement que nombre d’expressions ne sont plus « audibles » depuis quelques dizaines d’années : Chrétienté, Ciel, édification, prosélytisme, solennel, etc.

Ces mots ont été remplacés par d’autres : ouvert, cheminement, interpeller, le vécu, questionnement, dialogue, échange, l’ « Autre », mots qui ne sont pas spécifiquement chrétiens.

La solidarité a remplacé la charitél’eucharistie et la célébration remplacent souvent la messe.

Dans « l’Eglise qui est en France », on «  propose la foi ». On dit qu’on « fait Eglise ». On fait des « groupes de partage » où l’on « partage l’Evangile »,etc.  "

 

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