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8 avril 2009 3 08 /04 /avril /2009 19:39
 
 sur ARTE
mercredi, 8 avril 2009 à 20:45

Hitler-Staline, la diagonale de la haine

 

DÉTAILS

Rediffusions :
11.04.2009 à 14:00

(Allemagne, Russie, Autriche, 2008, 89mn)
ZDF

 
Portrait croisé des deux dictateurs les plus sanguinaires du XXe siècle.

L'un pense en termes de races, l'autre en termes de classes. Ils ont en commun leur antisémitisme et Staline a lu Mein Kampf. Tous deux sont animés par une forme de paranoïa. Chacun pratique une politique d'annexion territoriale et rêve d'imposer son idéologie... Ullrich Kasten met en parallèle les trajectoires des deux dictateurs - qui ne se sont jamais rencontrés. Il décrit notamment la terrible partie de poker menteur à laquelle ils se sont livrés au moment du pacte germano-soviétique.

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8 avril 2009 3 08 /04 /avril /2009 08:15

PIB ou Bonheur national brut ?

En pleine crise financière, voici un texte rafraichissant de Sylvain Tesson paru dans  Le Figaro du 24 novembre 2008 :


L’économie moderne a l’esprit prussien : elle aime les colonnes. Elle réduit le monde en chiffres, dissout le chatoiement de la vie dans le bain des indices, numérise la complexité des agissements humains et tricote la comptable description de l’activité sociale. Or, non contents d’être tristes, les calculs sont faux ! Nous mesurons la santé des États au moyen d’un indice qui s’appelle le produit intérieur brut (addition de la valeur des services et des produits circulant dans une nation).

Le PIB est sacré. Les économistes campent à son chevet comme les médecins de Molière. Si le PIB va, le peuple se réjouit ; s’il faiblit, le pays s’enrhume. Des esprits critiques ont fait valoir que le PIB était intrinsèquement vicié, car son calcul ne prend pas en compte la dégradation des ressources naturelles. Le PIB peut caracoler cependant que l’écosystème périclite. L’actif de l’indice n’est jamais corrigé du passif environnemental. Le PIB n’est pas thermodynamique, il ignore le principe de l’entropie (lequel stipule que rien ne se crée sans que quelque chose, en contrecoup, ne se perde). En réalité, ni la valeur ni le volume des transactions matérielles ne peuvent s’augmenter ad vitam sans que le capital de départ (la nature) ne s’amenuise.
C’est comme dans les vieilles familles : si le rejeton tire son seul revenu du patrimoine, il l’épuise.
En outre, le PIB qui prétend fournir une indication du bien-être des peuples ne tient pas compte de la qualité de l’existence. La preuve ? L’indice peut fleurir dans un pays irrespirable, surpeuplé, dévasté par le déchaînement technique. Pis, le calcul peut faire son miel du malheur. Une marée noire sera favorable au PIB grâce à l’activité créée pour démazouter les cormorans.

Jigme Singye Wangchuck, avant-dernier roi du Bhoutan, disposait d’un petit laboratoire idéal pour échapper aux insuffisances du PIB et imaginer un nouveau prisme d’estimation de la prospérité.
En 1972, le souverain inventa le Bonheur national brut. Ce baromètre intègre dans son ajustement les résultats de l’économie, mais aussi l’état de l’environnement, l’épanouissement culturel, le respect des traditions, l’adhésion des sujets à la politique royale. Au regard du PIB, le royaume himalayen est l’un des plus sous-développés du monde, mais du point de vue de l’eudémonisme, il en remontrerait à beaucoup (…). Le roi a interdit la télé dans son royaume jusqu’en 1999. Une mesure certes, mauvaise pour le PIB, mais qui constitue une garantie de bien-être. Car lorsqu’on
éteint les écrans, il prend l’idée de regarder par les fenêtres… Vive le roi (du Bhoutan) !”

Merci à EVR

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7 avril 2009 2 07 /04 /avril /2009 20:03

 

 

 

 

Barack Hussein Obama a déclaré au Parlement Turc le 6 avril 2009 :

« Turkey is an important part of Europe » 

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6 avril 2009 1 06 /04 /avril /2009 14:26
Vient de paraître ...
Permanences n° 459
Vive la crise !

Editorial

Aveu d’impuissance,

Parlons clerc

Le jeûne, arme spirituelle

Evénement

Benoît XVI face à la horde médiatique

Actualité

Guadeloupe : une mutation inquiétante

International : L’Afrique, une terre d’espérance pour l’Eglise

Dossier : Vive la crise !

Et si la crise annonçait le retour des valeurs ?

Ce que la crise révèle des dérives de notre économie

Recours à l’Etat, mais à quel Etat ?

Socialisme, libéralisme ? L’Eglise propose une autre voie

Et si la crise était avant tout morale

Culture

Les Vierges à l’Enfant

La Bethsabée de Rembrandt

Lire : Le moment fraternité

Chroniques

Elle a cassé le jouet

Nous sommes en guerre


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6 avril 2009 1 06 /04 /avril /2009 10:48







«Voici l'homme.» Pilate a cru ne dire que cela. Mais
est-il dans son propre secret ? Peut-il se douter que ces
deux mots nonchalamment jetés marquent la plus grande
révolution de l'histoire? L'idée de l'homme va changer.
D'une parole, quelquefois, ébranlant l'air au-dessus de
soi, un passant peut déclencher l'avalanche qui dénude,
comme à un signal, toute l'étendue des montagnes. Ainsi,
en ce sombre matin de mars et dans cette lointaine Judée,
le Procurateur annonce la face nouvelle des temps: le
commencement de l'ère vraiment humaine.
Ici, aujourd'hui, pour toute la terre, elle s'ouvre. Les
deux mots sans importance de Pilate proclament le seul
fait important de l'histoire: l'avènement de la véritable
humanité.
*
Ce n'est pas à la croix que se termine le chemin de la
croix, pas à la mort sur la croix, ni à l'ensevelissement
dans le sépulcre. Pas même à la Résurrection, dans le
jardin, en ce matin plein d'aurore de la Pâque. Mais à
l'Ascension du Christ, à Béthanie: premier corps glorieux,
prophète et roi du Règne, il ouvre le royaume où la vie
humaine divinisée entre dans la gloire.
La face levée, les fidèles le regardent qui s'élève au-
dessus de ce monde, triomphant et de la pesanteur et de la
mort. Car le poids et la chute, la peine et l'anéantissement,
ne sont pas la vérité: la vérité, c'est la montée, et c'est la

joie dans la lumière. Tout l'univers va à cette victoire qui passe

 l’espérance

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3 avril 2009 5 03 /04 /avril /2009 17:37

 « Nous sommes des serviteurs quelconques »


Ne vous souciez pas de chercher la cause des grands problèmes de l'humanité ; contentez-vous de faire ce que vous pouvez faire pour les résoudre en apportant votre aide à ceux qui en ont besoin. Certains me disent qu'en faisant la charité aux autres, nous dédouanons les Etats de leurs responsabilités envers les nécessiteux et les pauvres. Je ne me tracasse pas pour autant, car ce n'est généralement pas l'amour qu'offrent les Etats. Je fais simplement tout ce que je peux faire, le reste n'est pas de mon ressort.

Dieu a été si bon avec nous ! Travailler dans l'amour est toujours un moyen de se rapprocher de lui. Regardez ce que le Christ a fait durant sa vie sur terre ! Il l'a passée à faire le bien (Ac 10,38). Je rappelle à mes soeurs qu'il a passé les trois ans de sa vie publique à soigner les malades, les lépreux, les enfants et d'autres encore. C'est exactement ce que nous faisons en prêchant l'Evangile par nos actions.

 


Nous considérons que servir les autres est un privilège et nous essayons à chaque instant de le faire de tout notre coeur. Nous savons bien que notre action n'est qu'une goutte d'eau dans l'océan, mais sans notre action cette goutte manquerait.

 


Bienheureuse Teresa de Calcutta (1910-1997), fondatrice des Soeurs Missionnaires de la Charité
A Simple Path (trad. Un Chemin tout simple, Plon Mame 1995)

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2 avril 2009 4 02 /04 /avril /2009 23:43

 




Saint Jean Baptiste

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2 avril 2009 4 02 /04 /avril /2009 11:06

POLÉMIQUE               La chasse au pape est ouverte dans la presse.
Inquisition médiatique

Albert Londres nous l’avait bien dit, il faut « porter la plume dans la plaie ». Raconter ce que personne ne veut voir, n’ose dire, pour que le plus grand nombre le sache et que ceux qui mentent sans vergogne y réfléchissent à deux fois avant de le faire.Voilà deux mois que chaque jour qui passe va son torrent de mensonges, de calomnies et d’insultes.Un homme, seul, les reçoit.


Il a 82 ans, il est le chef spirituel d’un milliard d’êtres humains, il s’exprime avec douceur et n’aime rien tant que les nuances du raisonnement. Il est, plus qu’aucun autre, un homme civilisé. Depuis qu’il étudie la théologie, il cherche les chemins qui croisent ceux de ses frères juifs. Son livre sur Jésus est en grande partie une conversation intellectuelle avec son ami, le rabbin Jacob Neusner. Il était enfant sous Hitler et a pris la mesure autrement que dans les livres du totalitarisme nazi, des persécutions et de la tragédie inouïe de la Shoah.Négationniste, révisionniste,bavarois, allemand… sont les adjectifs qui doivent cependant apparaître dans les deux lignes qui précèdent ou suivent son nom. Il a pu faire des discours à ce sujet lors des audiences du mercredi, publier des lettres reprises dans le monde entier, accepter avec humilité de s’expliquer: peine perdue, c’est écrit dans le marbre informatique des journaux et des télévisions. Des comiques-qui-n’ont-pas-peur-dedénoncer- l’intolérable le traînent dans la boue, des chroniqueurs l’insultent au petit matin,des hommes politiques autrefois connus se changent en théologiens, des catholiques autoproclamés “refont” le Vatican, des éditorialistes septuagénaires s’emportent et lui conseillent de raccrocher.

Cet homme est la délicatesse même. Tous ceux qui l’ont rencontré en témoignent. Son ouverture d’esprit ne fait pas de doute. Il peut s’entretenir des heures durant avec Jürgen Habermas, un philosophe athée, et, lorsqu’il a pris la parole au Collège des Bernardins au mois de septembre, c’était comme une insurrection de l’intelligence contre la tyrannie des conformismes et des idées reçues. Il n’est pas un homme de slogans, de convenances petites-bourgeoises et d’émotions standardisées. Il est maintenant coupable des malheurs d’une fillette de 9 ans,Cosette brésilienne que de nouveaux Thénardier (l’expression est de Gérard Leclerc) utilisent pour défendre leurs intérêts. La souffrance de cette gamine a été pillée au profit de tous les donneurs de leçons de la planète. Cet homme a préféré le silence plutôt que d’aller prendre un air compatissant au journal de 20 heures avant de se rendre à une première au théâtre. C’est un “ayatollah”, un monstre qui canoniserait des violeurs en série (Stéphane Guillon), un “autiste” et un coeur de pierre.

Comme l’Afrique souffre, cet homme s’y est rendu une semaine durant. Pas dans un palace pour ses vacances, ni dans un safari pour évacuer le stress de la vie citadine, non, il a voulu prendre le continent dans ses bras. Dans l’avion, il a répondu à la question d’un journaliste de France 2 sur le sida, avec intelligence et finesse, comme d’habitude. Ensuite, il a fait des centaines de kilomètres, il a vu des millions de fidèles, il a prononcé de magnifiques discours. Il a apaisé pour une semaine les souffrances des peuples meurtris. Peine perdue: il est contre le préservatif ! Il paraît même qu’il dit que ça donne le sida! C’est un irresponsable, un criminel,un génocidaire.

Il faut qu’il parte, se sont exclamés quelques- uns de mes confrères, bien accrochés à leur fauteuil, et d’ailleurs les sondages le disent. Impossible de dire autre chose, impossible d’entendre autre chose.Cet homme est dangereux, et il faudra qu’il paye. Ils sont rares à la télévision, à la radio, dans les journaux à ne pas avoir repris, hystériques, ces incantations. Il a fallu des blogs et des forums pour comprendre les faits, pour croiser l’information et prendre la mesure d’une gigantesque manipulation de masse qui a consisté à condamner un homme pour des idées qui ne sont pas les siennes, des actes qu’il n’a pas posés, des propos qu’il n’a pas tenus.

Je le regardais lors de la messe à Luanda, dans la chaleur suffocante, dire de sa voix presque timide la peine que lui cause la souffrance de l’Afrique: « Grand continent, si riche d’espérance […]. » Il était doux comme l’agneau et digne comme les princes. Tellement supérieur à cette coulée de boue qui voudrait salir sa soutane blanche. Rien, chez lui, ne correspondait à ce que je lis, ce que je vois et ce que j’entends. Il nous montrait comment se tient un homme face aux loups. Je dois l’avouer: j’avais honte d’être journaliste.


Vincent Tremolet de Villers, journaliste,
Valeurs actuelles, le 02-04-2009

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1 avril 2009 3 01 /04 /avril /2009 21:57
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1 avril 2009 3 01 /04 /avril /2009 17:50
zoom
Nouveau

MISE EN PLACE PENDANT

LA SEMAINE SAINTE

d'un confessionnal rapide

= moins de 6 péchés

____

Pour plus d'informations

accès

Paroisse Saint-Louis d'Antin
63 rue de Caumartin - Paris 9e
4 rue du Havre - Paris 9e

M° Havre Caumartin ou St Lazare

 

horaires

du lundi au vendredi de 7h15 à 20h
le samedi de 9h à 19h30
le dimanche de 8h45 à 13h et de 17h15 à 22h

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1 avril 2009 3 01 /04 /avril /2009 17:49
" Nous ne voulons pas vraiment une religion qui ait raison quand nous avons raison.
Ce que nous voulons, c'est une religion qui ait raison quand nous avons tort "
Chesterton

Dans son contexte, en anglais...

FINDING TRUTH WHEREVER IT MAY BE FOUND “We do not really want a religion that is right where we are right. What we want is a religion that is right where we are wrong….They say they want a religion to be social, when they would be social without any religion. They say they want a religion to be practical, when they would be practical without any religion. They say they want a religion acceptable to science, when they would accept the science even if they did not accept the religion. They say they want a religion like this because they are like this already. They say they want it, when they mean that they could do without it.” - Chesterton

http://clevelandpriest.blogspot.com/2008_03_01_archive.html
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31 mars 2009 2 31 /03 /mars /2009 11:18
Ponce Pilate

Alain Didier

 

   Croyant ou non, qui peut demeurer insensible au drame de la passion du Christ ?
   Mais qui fut donc Ponce Pilate, l'homme de la condamnation de Jésus ? Un fonctionnaire dépassé par les événements ? Un monument d'inconsistance ? Un lâche habité par la peur de la foule, de l'Empereur et du Sanhédrin ? En prononçant l'arrêt fatal, fut-il l'agent conscient ou inconscient du rachat du genre humain ? Sa question «qu'est-ce que la vérité ?» fournit-elle la clef de son comportement ?
   Pour y répondre, Alain Didier se hisse au sommet de l'art dramatique, à travers le théâtre d'un rendez-vous manqué avec la grâce du Rédempteur.

L'auteur

Né en 1950, Alain Didier, juriste, écrit depuis quarante ans pour le théâtre dans la grande tradition française de l'alexandrin. Chrétien de conviction, il témoigne par la plume de l'Evangile du Christ, révélateur et sauveur de l'humanité.

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25 mars 2009 3 25 /03 /mars /2009 21:41

Loin de se soumettre aux lois de la communication humaine que l’on prétend lui imposer, l’Eglise ne peut se soustraire à sa mission prophétique. N’appelons pas « bourde » ou « gaffe », ce qui n’est rien d’autre qu’un témoignage rendu à la Vérité.

Ainsi en est-il des propos, remplis de vérité et de compassion, du Saint-Père sur les moyens de combattre le Sida. Les journalistes, dont certains appartiennent à la presse dite catholique, se sont emparés une fois de plus d’une petite phrase ; des politiques, souvent esclaves de l’opinion, ont renchéri, sans aucun discernement, et dénoncé les « propos irrecevables » du Saint-Père et le « discours irresponsable de l’Eglise ».

Fils et filles de l’Eglise, nous pouvons garder la tête haute, car les propos du Pape ont été confirmés par les évêques d’Afrique et par les chefs d’Etat de ces pays où le Sida fait des ravages, dénonçant le « racisme latent » de ces occidentaux qui voudraient leur imposer leurs schémas mortifères, au nom de la sacro-sainte licence sexuelle ou bien du matérialisme mercantile dont on voit bien à qui il profite. Un discours qui ne résiste pas à l’évidence des faits : selon les statistiques de l’OMS, les pays d’Afrique où le taux de distribution des préservatifs est le plus fort, la progression du SIDA est la plus élevée ; là où les catholiques sont plus nombreux et où l’on prône en priorité l’abstinence et la fidélité - y compris dans les programmes gouvernementaux- , et le préservatif en dernier recours, le SIDA est en très nette baisse, comme au Burundi ou en Angola. Devant la partialité, voire la falsification de certains medias, les catholiques doivent aller à la source de l’information et communiquer autour d’eux par tous les moyens, à commencer par l’Internet.

Mais, en dernière analyse, il faut accepter de souffrir pour le nom du Christ et ne pas s’étonner de ces campagnes de dénigrement : « Si vous étiez du monde, le monde aimerait son bien ; mais parce que vous n’êtes pas du monde, puisque mon choix vous a tirés du monde, pour cette raison, le monde vous hait » (Jn 15, 19). « Mais gardez courage, nous dit Jésus, j’ai vaincu le monde » (Jn 16, 33).

+ Marc Aillet,
évêque de Bayonne, Lescar et Oloron.
Tout le texte ici : Les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière

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25 mars 2009 3 25 /03 /mars /2009 21:19

A son retour à Rome, par une belle après-midi ensoleillée, le Pape aurait confié à une journaliste : "Il fait beau aujourd'hui !"


Ces propos ont aussitôt soulevé dans le monde entier une immense émotion et alimentent une polémique qui ne cesse de grandir.


Quelques réactions :


Le maire de Bordeaux : "Alors même que le pape prononçait ces paroles, il pleuvait à verse sur Bordeaux ! Cette contre-vérité, proche du négationnisme, montre que le pape vit dans un état d'autisme total. Cela ruine définitivement, s'il en était encore besoin, le dogme de l'infaillibilité pontificale !"

Le Grand Rabbin de France : "Comment peut-on encore prétendre qu'il fait beau après la Shoah ?"

Le titulaire de la chaire d'astronomie au Collège de France : "En affirmant sans nuances et sans preuves objectives indiscutables qu'il fait beau aujourd'hui", le pape témoigne du mépris bien connu de l'Église pour la Science qui combat ses dogmes depuis toujours. Quoi de plus subjectif et de plus relatif que cette notion de ³beau ? Sur quelles expérimentations indiscutables s'appuie-t-elle ? Les météorologues et les spécialistes de la question n'ont pas réussi à se mettre d'accord à ce sujet lors du dernier Colloque International de Caracas. Et Benoît XVI, ex cathedra, voudrait trancher, avec quelle arrogance ! Verra-t-on bientôt s'allumer des bûchers pour tous ceux qui n'admettent pas sans réserve ce nouveau décret ?

L'Association des Victimes du Réchauffement Planétaire : "Comment ne pas voir dans cette déclaration provocatrice une insulte pour toutes les victimes passées, présentes et à venir, des caprices du climat, inondations, tsunamis, sécheresse ? Cet acquiescement au temps qu'il fait montre clairement la complicité de l'Église avec ces phénomènes destructeurs de l'humanité, il ne peut qu'encourager ceux qui participent au réchauffement de la planète, puisqu'ils pourront désormais se prévaloir de la caution du Vatican.

Le Conseil Représentatif des Associations Noires : "Le pape semble oublier que pendant qu'il fait soleil à Rome, toute une partie de la planète est plongée dans l'obscurité. C'est là un signe intolérable de mépris pour la moitié noire de l'humanité!"

L'Association féministe Les Louves : "Pourquoi 'il' fait beau et pas 'elle' ? Le pape, une fois de plus s'en prend à la légitime cause des femmes et montre son attachement aux principes les plus rétrogrades. En 2009, il en est encore là, c'est affligeant !"

La Ligue des Droits de l'homme : "Ce type de déclaration ne peut que blesser profondément toutes les personnes qui portent sur la réalité un regard différent de celui du pape. Nous pensons en particuliers aux personnes hospitalisées, emprisonnées, dont l'horizon se limite à quatre murs ; et aussi à toutes les victimes de maladies rares qui ne peuvent percevoir par leurs sens l'état de la situation atmosphérique. Il y a là, sans conteste, une volonté de discrimination entre le beau, tel qu'il devrait être perçu par tous, et ceux qui ressentent les choses autrement. Nous allons sans plus tarder attaquer le pape en justice."

A Rome, certains membres de la Curie ont bien tenté d'atténuer les propos du pape, prétextant son grand âge et le fait qu'il ait pu être mal compris, mais sans succès jusqu'à présent.

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25 mars 2009 3 25 /03 /mars /2009 11:43

Selon un sondage IFOP pour le Journal du Dimanche, 47% des « catholiques » souhaiteraient la démission du pape Benoît XVI.

Il y a 2000 ans, on peut en effet penser que 80% des habitants de Jérusalem étaient favorables sous Pilate à la crucifixion de Jésus, et que quelques décennies plus tard 90% des habitants de Rome approuvaient Néron de donner les chrétiens en pâture aux lions du cirque.


P.S. c'est le 800e article de Petrus Angel ! : l'occasion de le faire connaître à vos amis, non ?
Selon un récent sondage, 120% des lecteurs de Petrus Angel le trouvent génial.

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25 mars 2009 3 25 /03 /mars /2009 10:19
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25 mars 2009 3 25 /03 /mars /2009 02:40
La réponse vigoureuse d'un historien à "L'Apocalypse"


Spécialiste du christianisme antique, Jean-Marie Salamito relève les erreurs factuelles, mais surtout conteste la thèse de fond avancée par les « chevaliers de l’antichristianisme » Gérard Mordillat et Jérôme Prieur

Filmer en 12 épisodes de cinquante-deux minutes chacun les débats qui ont animé les débuts du christianisme, le projet, Jean-Marie Salamito le reconnaît, était «incroyablement ambitieux». Pas moins de 44 chercheurs invités, venus des universités de huit pays différents, dont les interventions ne sont illustrés seulement d’images de «papyrus antiques, de parchemins du Moyen Âge»… Au total, presque douze heures de « savante polyphonie ».
«Je regarde tout, j’écoute tout. Avec passion», note l’auteur, qui avoue s’y être «laissé prendre, mais seulement jusqu’à un certain point» : jusqu’à l’instant où il a «commencé d’entrevoir le fil conducteur, discret mais solide, des 12 épisodes», à savoir que «l’histoire du christianisme antique serait celle de la longue trahison de Jésus par ceux qui se réclamaient de lui».

C’est dans un style très inhabituel pour lui que ce professeur d’histoire du christianisme antique à la Sorbonne a choisi de répondre à Jérôme Prieur et Gérard Mordillat : celui du pamphlet. Tout au long de son petit livre en effet – consacré pour un tiers à la série documentaire elle-même, mais plus encore au livre qui l’accompagne (1) – Jean-Marie Salamito entrecoupent de plaisanteries acerbes, d’exclamations ironiques, ses critiques fouillées, précises et argumentées du travail des deux journalistes. «Je me contenterai de féliciter les auteurs pour cet amalgame qui fait honneur à leur travail» (p. 83). «Quelle preuve éclatante d’honnêteté intellectuelle !» (p. 99). «Tout cela est cohérent, à défaut d’être historique» (p. 104)…

Il faut dire que ses premières tentatives d’explication avec eux – via le numéro 186 de la revue Le Monde de la Bible paru en novembre 2008, quelques jours plus tard lors d’un débat public à Paris, ou encore sur l’antenne de RCF – l’ont convaincu de la difficulté de l’exercice : «chevaliers de l’antichristianisme», Jérôme Prieur et Gérard Mordillat «avancent masqués», «déguisant leur croisade en travail documentaire, voire en enquête historique». Sont notamment en cause la «voix off» de la série télévisée qui, une fois les opinions des chercheurs exposées, en retient une, arbitrairement, mais surtout l’ouvrage Jésus sans Jésus, qui, «comme la voix off, mais bien plus longuement, exprime les positions personnelles de Gérard Mordillat».

Point par point, Jean-Marie Salamito s’attache à rétablir la vérité sur quelques-uns des thèmes abordés : le statut du «royaume» annoncé par Jésus (forcément «de ce monde», pour Mordillat et Prieur), le rapport des premiers chrétiens à leurs frères juifs (et leur «antisémitisme» supposé), le rôle des martyrs (accusés de présenter une «appétence pour la mort»), et surtout les conséquences de la légalisation du christianisme par l’empereur Constantin en 313. Date à partir de laquelle, selon eux, «le parti chrétien devient religieusement totalitaire »… Bref, résume Salamito , « un pamphlet, soit, mais d’un historien».


(1) Jésus sans Jésus, de Gérard Mordillat et Jérôme Prieur (Seuil/Arte Éditions, 2008). Ce livre fait suite à ceux déjà publiés par les mêmes auteurs au moment de leurs deux précédentes séries télévisées, Jésus, illustre et inconnu (avec Corpus Christi) et Jésus après Jésus (avec L’Origine du christianisme).

Anne-Bénédicte Hoffner
La Croix du 18/03/09

 

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25 mars 2009 3 25 /03 /mars /2009 02:10
Un peu long, mais on peut dégager beaucoup de temps en éteignant radio et télé ...

Communiqué de Monseigneur Rey, évêque de Fréjus-Toulon

De retour du Brésil où j’accompagnais une délégation d’évêques et de prêtres, j’ai été tenu directement au courant de l’affaire de la petite fille brésilienne de 9 ans qui a été violée puis a subi un avortement. Elle attendait deux jumeaux. La presse internationale s’est emparée de cette affaire dans un contexte politique particulièrement polémique. En effet, actuellement, au Brésil sont débattues des dispositions législatives tendant à élargir le droit à l’avortement. Certains lobbies se sont saisis d’une tragédie particulière pour justifier l’extension des conditions légales de l’interruption volontaire de grossesse. La manière dont cette affaire a été souvent rapportée et traitée travestit l’objectivité des faits et instrumentalise un drame particulier.

L’impératif de la Charité à laquelle nous appelle l’Evangile a deux versants. En premier lieu, la Charité est attachée au principe de la Vérité. Aimer quelqu’un c’est refuser de lui mentir. En ce qui concerne l’avortement, l’Eglise répète depuis toujours qu’il constitue une offense à la vie même s’il est légalisé par la loi et promu par certains courants d’opinion publique. Depuis la conception jusqu’à la mort naturelle, toute vie est sacrée. Elle mérite d’être respectée d’autant plus qu’elle est fragile. Une humanité qui nie ce respect inaltérable de la vie court à sa propre perte. En parlant d’excommunication, l’Eglise souligne ce principe non négociable. Inscrite dans le droit de l’Eglise, l’excommunication a une double fonction. Elle rappelle à l’humanité une limite symbolique à ne pas franchir, car à partir de ce repère commence la violence vis-à-vis d’un être qui débute dans la vie (qui sommes-nous pour décréter qu’un être, fût-il au stade embryonnaire de son développement, mérite d’être éliminé ?). Par rapport à toutes les formes de violence et d’atrocité (viol, meurtre…), l’excommunication de l’avortement touche le principe de la vie. Elle marque ainsi un interdit à ne pas transgresser dans lequel s’originent toutes les autres formes de violence : « L’avortement est ce qui détruit le plus la paix du monde aujourd’hui » (Mère Teresa). De plus, l’excommunication a toujours été présentée par l’Eglise dans une perspective thérapeutique et médicinale. Elle invite à une prise de conscience, à une conversion. Elle ouvre à la Miséricorde du Seigneur qui sans cesse nous tend les mains. En effet, la Charité s’accomplit toujours dans la Miséricorde. C’est là son deuxième volet. Comme l’enseigne le Christ, tout légalisme enferme dans la peur. Tout au long de Son ministère public Jésus a fait grâce à ceux qui s’écartaient des commandements de Dieu ou qui étaient des blessés de la vie. Une vérité qui oublie la miséricorde est une vérité sans cœur.

Dans cette très-douloureuse affaire de cette petite fille brésilienne nous avons pu recevoir de multiples témoignages de cette Miséricorde vécue par les communautés chrétiennes qui l’ont entourée et accompagnée face à la pression de certains lobbies qui s’exerçait sur elle et sur sa mère. Le Père Rodrigues, curé de leur paroisse, s’est dépensé sans compter pour cette famille en mobilisant toutes ses ressources pour la soutenir dans l’épreuve. Il dénonce « la manipulation de conscience et le manque de respect pour la vie humaine » dont toute la famille a été l’objet (cf. le texte joint). Cette tragédie nous place sur la ligne de crête de la Charité. Celle-ci doit rappeler à temps et à contretemps le respect dû à la vie, et d’autre part manifester notre compassion vis-à-vis des plus faibles et des plus fragiles comme cette petite fille victime des pulsions criminelles de son beau-père violeur.

Après les premières déclarations de l’archevêque de Recife, la conférence des évêques du Brésil a précisé que ni la petite fille ni la mère n’ont fait l’objet d’une excommunication. Au-delà des réactions médiatiques qui surfent sur l’émotionnel, le drame qu’ont vécu cette petite fille et toute sa famille invite la communauté internationale qui s’est saisie de cette affaire, mais aussi chacun d’entre nous, à gravir ensemble les deux versants de la Charité.

« Amour et vérité se rencontrent, justice et paix s’embrassent », chante le psalmiste. Aimer c’est rappeler la vérité de ce qu’est la vie, et œuvrer de toutes ses forces pour la rendre possible.

Toulon, le 14 mars 2009

+ Dominique Rey Evêque de Fréjus-Toulon


Témoignage du Père Rodrigues, curé de Alagoinha :


« Edson Rodrigues, curé de Alagoinha 

« Ce que la presse ne dit pas »

padreedson.blogspot.com  10 mars 

Notre ville a été secouée par une nouvelle tragique : une enfant de neuf ans victime des abus sexuels de son beau père était enceinte de jumeaux. Sa sœur aînée, âgée de 13 ans, avait subi les mêmes sévices. Cette horrible histoire durait depuis près de trois ans. 

Quand le conseil de Alagoinha a découvert les faits, il a tenté de tout mettre en œuvre pour aider les enfants et les parents. Le 27 février, la justice a confié les enfants à l’institut médical légal de Caruaru, dans l’Etat de Pernambuco. D’autres examens complémentaires ont été réalisés (avec des sexologues, des psychologues) ensuite à l’institut médical de l’enfance de Recife. C’est à cet endroit que la victime a rencontré une assistante sociale du nom de Karolina Rodrigues et son assistante Marie-José Gomes. Cette dernière a refusé l’hypothèse de l’avortement au nom de sa conscience chrétienne. Karolina Rodrigues a décidé de porter ce cas devant le conseil de Alagoinha. Les cinq conseillers de la ville ont refusé pour les mêmes motifs. Ils ont transmis leur avis à l’institut médical de Caruaru. Une copie a été donnée à Karolina Rodrigues en ma présence et celle du père de la victime, monsieur Erivaldo. 

Le 28 février, je suis invité à participer au conseil de l’institut médical de l’enfance de Recife en compagnie de Marie-José Gomes et de deux membres de notre paroisse. Nous en profitons pour aller visiter la victime et sa mère. Elles se trouvent au quatrième étage de l’établissement, dans un appartement isolé. L’accès est très strict. Je suis obligé de rester dans le couloir mais j’arrive à parler avec la mère de la petite. Elle m’avoue ‘avoir signé des papiers’. Je m’inquiète car cette femme est analphabète. Comme elle est incapable d’apposer sa signature, on a pris ses empreintes digitales. Je lui demande ce qu’elle pense à propos de l’avortement. Elle montre des sentiments très maternels et surtout une préoccupation extrême pour sa fille. Elle répond : ‘je ne veux pas que ma fille avorte… » La maman me parle de son état de santé : ‘ça va bien, elle joue avec des poupées qu’on vient de lui donner.’ Nous repartons avec la ferme conviction que la mère est totalement défavorable à l’avortement de ses petits fils. ‘Personne n’a le droit de tuer personne’ ajoute-t-elle. ‘Seul Dieu peut disposer de la vie…’ 

Le 2 mars, nous retournons à l’institut de Recife. Nous sommes autorisés à monter au 4e étage pour visiter la victime. Mais, arrivés au premier étage, un fonctionnaire de l’institut nous interdit de monter plus haut. Il nous demande de voir l’assistante sociale dans un autre bâtiment. Nous tombons nez à nez avec Karolina Rodrigues. Je suis en compagnie de Marie José Gomes et de monsieur Erivaldo qui s’oppose à ‘avortement de ses petits fils’. Quand l’assistante découvre mon identité, elle dit devant tout le monde : ‘il s’agit d’une affaire médicale même si le prêtre qui est là estime qu’il s’agit d’une question de morale.’ Nous interrogeons Karolina Rodrigues sur l’état de santé de l’enfant. Elle affirme que tout est déjà résolu avec l’accord de la maman. La procédure médicale va suivre son cours. Elle insiste sur son état critique sans fournir aucun élément de la part d’un médecin. Elle se retranche aussi derrière la loi : ‘dans ce cas, le mieux est de sauver la vie de l’enfant’. Nous répondons : ‘il n’y a pas une seule vie à sauver mais trois !’ Elle ne veut rien entendre. Karolina Rodrigues demande à Monsieur Erivaldo de lui parler seul à seul. Pendant près de 25 minutes. En sortant, ce dernier me révèle qu’il vient de changer d’avis à propos de l’avortement : ‘l’assistante m’a prévenu que ma fille était menacée de mort… Si elle est en danger, il faut la sauver… Quitte à lui retirer les fœtus’ a-t-il murmuré. 

Tout paraissait alors terminé. C’est alors que l’archevêque de Recife, dom José Cardoso, et l’évêque de Pesqueira, dom Franceso Biasin, se sont impliqués dans la procédure. Mgr Cardoso a convoqué un groupe de médecins, d’avocats, de psychologues, de juristes pour étudier la légalité de cette affaire. Lors de cette réunion, le 3 mars, à la résidence de l’archevêque, il y avait le directeur de l’institut médical de l’enfance de Recife, Antonio Figueiras. Il a reconnu en public les pressions exercées par Katerina Rodrigues. Il a contacté l’hôpital pour suspendre l’avortement.  Un peu plus tard, l’archevêque de Recife reçoit un appel de monsieur Figueiras l’informant qu’un groupe féministe – Curumin – aurait convaincu la maman d’accepter un transfert de sa fille vers un autre hôpital. Nous retournons sur place avec Maria Gomes. On l’a fait attendre en prétextant la rotation des équipes (l’enfant était déjà transférée). Personne n’ose lui dire quelque chose. Comment une personne en péril de mort peut-elle obtenir un bon de sortie ? Comment l’état de la victime a-t-il pu changer si rapidement ? Qu’est-ce que le Curumin a pu dire à la mère ? 

Le 4 mars, nous apprenons que l’enfant est internée à l’hôpital de CISAM (centre intégral de santé Amaury de Medeiros spécialisé dans les grossesses à risques). Cela se trouve au nord de Recife. Notre espoir de voir deux enfants vivants disparaît brutalement. Tout cela à cause de d’une manipulation de conscience et d’un manque de respect pour la vie humaine. J’ai raconté tout cela pour que les gens sachent la vérité. »

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25 mars 2009 3 25 /03 /mars /2009 02:09

 





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24 mars 2009 2 24 /03 /mars /2009 12:11
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20 mars 2009 5 20 /03 /mars /2009 13:48



Nous passons tous le plus clair de notre temps au travail. S'y épanouir est donc primordial. Partant de l'hypothèse qu'il existe un lien certain entre l'inquiétante crise du " sens " que subit notre société et le mal-être au travail que vivent quotidiennement nombre d'entre nous, Yannik Bonnet apporte les réponses aux questions que se pose tout homme sur le sens et la manière de voir sa vie professionnelle. Riche d'une vaste expérience dans le monde de l'entreprise, il nous donne les précieux conseils qui permettront d'y être enfin heureux. Un livre qui s'adresse à chacun, qu'il soit employé, technicien, cadre ou dirigeant d'entreprise ; un livre qui démontre qu'associer bonheur et travail n'est plus une idée absurde !

Polytechnicien et docteur en chimie, Yannik Bonnet a travaillé dans la recherche et le développement de procédés industriels avant de choisir le domaine des relations humaines et sociales. Il a ensuite dirigé durant onze ans l'Ecole supérieure de chimie de Lyon, puis créé sa propre entreprise de conseil en management.
Père de sept enfants, il est veuf depuis 1995 et a été ordonné prêtre en 1999.
Il est notamment l'auteur des Neuf fondamentaux de l'éducation
(Presses de la Renaissance, 2 vol., 2002 et 2004).

En conférence audio pas cher ici : Etre heureux au travail par P.Yannik Bonnet

Yannik Bonnet parlera de "l'enseignement à l'épreuve de la laïcité"
mercredi 25 mars à 20h30 à Paris
Les précisions sont ici...   
www.ichtus.fr

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20 mars 2009 5 20 /03 /mars /2009 13:45
Du sida comme échec au “Progrès”

Le sida déjà a fait couler beaucoup d’encre, sans parler des larmes, comme tentative réussie d’agression virale contre diverses formes de “Progrès” dans l'évolution des mœurs. On comprend pourquoi dès l’ouverture du dossier. – Sida, définition biologique : noyautage intégral et mortel des défenses immunitaires de l’organisme humain. – Caractères généraux : maladie actuellement incurable, impossible aussi à prévenir par voie de vaccin, principalement issue d’un certain nombre de comportements qui passaient pour des droits...

Lire la suite... ici http://sedcontra.fr/
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20 mars 2009 5 20 /03 /mars /2009 13:43
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19 mars 2009 4 19 /03 /mars /2009 17:22


Mardi 31 mars à 20h à Paris



avant-première du film d’Andrzej Wajda 


Le film hommage d’Andrzej Wajda aux 22 500 officiers polonais - dont faisait partie son père - massacrés par la police secrète soviétique sur ordre de Staline en 1940.
En Pologne, où le mot «Katyn» fut banni par la propagande communiste pendant plus d’un demi-siècle, le film a rencontré un grand succès.

Nommé aux Oscar 2008 : Meilleur film étranger
Nommé aux Polish Film Awards 2007 : Meilleur film, meilleure musique, meilleure direction de la photographie, meilleur second rôle féminin, meilleurs costumes

La projection sera suivie d'un débat organisé par L’Histoire avec Antoine de Baecque, critique et historien du cinéma, Stéphane Courtois, directeur de recherche au CNRS, a dirigé le Livre Noir du Communisme (Robert Laffont 1997) et Alexandra Viatteau, écrivain, spécialiste de l’étude de la désinformation, auteur de Katyn (à paraître au printemps chez André Versaille).

Projection et débat sont ouverts au public (billets en vente sur place).

Cinéma Le Champo
51, rue des Ecoles
75005 Paris
www.lechampo.com 

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19 mars 2009 4 19 /03 /mars /2009 10:27



de qui ?

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