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24 février 2008 7 24 /02 /février /2008 11:07

Jesus-et-la-Samaritaine.jpg


« Qui boira l’eau que je lui donnerai n’aura plus jamais soif ; l’eau que je lui donnerai deviendra en lui source d’eau jaillissant en vie éternelle. » Jean 4, 14.

Jésus ne nous cache pas « le don de Dieu » (v. 10), celui qu’il nous est bon de connaître et d’accueillir. Il nous le livre dans le symbole de « l’eau jaillissant en vie éternelle » (v. 14), ou, si nous préférons, de la source vive qui change toute torpeur en ferveur, tout désert intérieur en jardin odoriférant. Quelle est cette eau nouvelle, plus intime à nous-mêmes que nous-mêmes et plus haute que notre plus haut, sinon l’Esprit dont Dieu jadis promettait l’irruption pour graver en nos cœurs rebelles, non plus sur des tables de pierre, sa propre Loi ? 

...    la suite sur
 
http://catholique-rouen.cef.fr/spip.php?article658

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23 février 2008 6 23 /02 /février /2008 11:06
Montaigne rendu aux siens. Tome 1, J'ai vaincu la mort
MONTAIGNE.gifMichel Bouvier

Montaigne est un grand humaniste catholique.
Saint François de Sales ne s'y est pas trompé qui l'a aimé, médité et en a fait passer bien des traits dans son portrait du dévot honnête homme. Les libertins érudits ont cependant détourné les Essais pour en faire une entreprise masquée de libertinage, dont se réclamer. De prétendus philosophes ont travesti leur auteur en précurseur des "Lumières" qu'ils se proclamaient être. Plus près de nous, les savants l'ont revêtu des beaux costumes qu'ils trouvaient dans leurs coffres : sage sceptique, égotique à la mode, paresseux de cabinet se balançant mollement d'un avis à l'autre sans se décider à rien...
Certes, de vrais lecteurs lui sont restés fidèles, mais peu entendus parce que tellement érudits, et la masse des Français ne sait rien du trésor inestimable de leur patrimoine que sont les Essais. C'est ce que veut démontrer ce livre : lire Montaigne pas à pas et découvrir l'homme qui abhorrait le mensonge et a voulu faire de son œuvre une entreprise de vérité, vérité sur lui-même, pour lui-même, mais aussi pour ses "parents et amis", afin qu'elle leur serve à mieux vivre.
Montaigne est un maître en écriture, en jugement et en art de vivre

        
         On peut l'acheter ici : 
http://pagesperso-orange.fr/fx.de.guibert/

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22 février 2008 5 22 /02 /février /2008 23:04
Enquête sur les Miracles de Lourdes
Yves Chiron

Lourdes est une "capitale de la prière", un des sanctuaires religieux les plus fréquentés au monde (plus de cinq millions de pèlerins et visiteurs par an). Mais c'est aussi une "terre à miracles" vers laquelle convergent chaque année des dizaines de milliers de malades. En février 1999, l'Eglise a reconnu le caractère miraculeux de la guérison de Jean-Pierre Bély, atteint d'une sclérose en plaques. C'est le 66e miracle officiel. L'Eglise ne reconnaît pas facilement le caractère surnaturel des guérisons survenues à Lourdes ou en lien avec Lourdes. Le Bureau médical et le Comité médical international de Lourdes, uniquement composés de médecins, totalement indépendants de l'Eglise, déterminent la réalité des guérisons et leur caractère exceptionnel, non explicable par la science. Et c'est ensuite que l'Eglise se prononce ou non sur leur caractère miraculeux. Sur quelque 6000 personnes qui, depuis 1858, se sont déclarées guéries au Bureau médical, celui-ci en a déclaré 2000 inexplicables par la science. Or, l'Eglise, à ce jour, n'a accordé de caractère miraculeux qu'à 66 d'entre elles. Comment la médecine procède-t-elle pour vérifier le caractère authentique d'une guérison ? Quelle enquête mène l'Eglise pour proclamer qu'il s'agit d'un miracle ? Qui sont les 66 "miraculés" ? Y a-t-il des guérisons exceptionnelles dans d'autres sanctuaires marials ? C'est à toutes ces questions que répond Yves Chiron dans une enquête historique fondée sur une vaste documentation et des archives. 
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22 février 2008 5 22 /02 /février /2008 22:46

haricot.jpg

 

On sait que la révolution française de 1789 n'a pas fait le bonheur de toutes les couches de la société de l'époque. M.F. de Bussang nous évoque une histoire pour le moins curieuse qu'on raconte encore aujourd'hui dans la région. La révolution battait son plein, le curé d'un petit village d'Alsace était inquiet, les brigands de la république foncaient sur sa paroisse ! « Où pourrais-je cacher le Saint Sacrement ? confiait-il à une de ses paroissiennes ». Amenez le chez moi, j'ai un jardin un peu en retrait du village, on le cachera dans mes haricots à rames, ils n'iront pas le chercher là. Ainsi fut fait.

Qu'est-il arrivé à ce village ? Peut-être rien, mais il risquait gros en représailles. Surprise en automne, quand cette brave paysanne ramassa ses semences de haricots. Avant, les grains étaient blancs, et cet automne les voilà tous marqués de brun au centre. Aussitôt, elle en prit une poignée qu'elle alla montrer à son curé. De bonne foi, il reconnut aussitôt le miracle, d'une pastille minuscule enchâssée dans un ostensoir brun, et lui déclara : c'était une récompense à votre bonne foi, à votre courage face au danger car si cela avait été découvert, vous étiez fusillée et moi aussi, votre maison brûlée et peut-être tout le village.

C'est aussi une preuve de plus de la présence du Christ dans l'hostie, comme déjà à Faverney en Comté, sous une autre forme où l'hostie est restée intacte, au milieu de l'incendie de l'église.

La tourmente passée, cette histoire d'haricots miraculeux se répandit vite avec preuve en main, car chacun de ces haricots semés se reproduisait avec la même marque miraculeuse et encore aujourd'hui, après 200 ans pourtant.

Ils furent donc baptisés les « les haricots du Saint-Sacrement », j'en ai donné pas mal aux uns et aux autres. Ceux de ma génération, donc d'avant-guerre, qui ont encore vu le Saint- Sacrement exposé dans les églises ou aux processions de la Fête Dieu, les reconnaissent spontanément. Certains les gardent comme des reliques ne voulant pas les semer. Quant à la jeunesse actuelle, tout cela la laisse indifférente. Ces haricots m'ont été donnés par une parente du Val de Munster, mais on n'a pas retrouvé le village d'origine.

M.F. BUSSANG.

vu sur un site consacré aux haricots... du Saint-Sacrement
http://haricotsmystere.skyrock.com 

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21 février 2008 4 21 /02 /février /2008 21:19

 

ou allez sur Google vidéo : le Dialogue des carmélites
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18 février 2008 1 18 /02 /février /2008 23:12

Sonné par l’arrêt de la cour de Cassation reconnaissant aux parents le droit de déclarer à l’état civil leurs enfants morts in utero, le Planning Familial a tiré le premier. Mais c’est avec maladresse que sa secrétaire générale, Maïté Albagly, brandissait l’épouvantail d’une « usine à gaz ». Elle promet un imbroglio juridique avec ce revirement historique de jurisprudence qui concerne les fœtus de moins de 500 grammes et de moins de 22 semaines de grossesse.

Habitués à une dialectique consistant à faire verser des larmes dans les chaumières, les gardiens du « droit des femmes à disposer de leur corps » se sont vite retrouvés à contre-emploi face à la peine des trois familles requérantes. Elles ne demandaient que le droit à la restitution du corps de celui qu’elles ont pleuré, et la possibilité de faire mémoire d’un prénom socialement reconnu.

par Tugdual Derville

la suite sur http://www.france-catholique.fr/-Chronique-de-Tugdual-Derville-.html

 

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18 février 2008 1 18 /02 /février /2008 21:26

Contes des six trésors
De: Emmanuelle de Saint Chamas, Benoît de Saint Chamas, Eric Puybaret

Tout en respectant le shéma traditionnel du conte, ces histoires sont d'une modernité étonnante, nous étonnent et nous émerveillent à chaque page. Avec le Louvre en toile de fond et des personnages savoureux.
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17 février 2008 7 17 /02 /février /2008 22:25
La brièveté est l'âme de l'esprit

Du 17 Juin 2007 au 9 Mars 2008, Le Théâtre du Nord-Ouest relèvera un défi sans précédent: représenter, en alternance, les trente-quatre pièces de William Shakespeare. Rencontre avec un dramaturge et un homme aux talents multiples.

De Roméo et Juliette aux Deux Gentilshommes de Vérone, les pièces de William Shakespeare couvrent bien des genres, bien des situations et bien des époques. Certains disent que l'on trouve chez le dramaturge tout le registre de l'humain. D'autres voient dans son œuvre le Théâtre d'école, le Théâtre des compositions, le Théâtre des devoirs, le Théâtre, en un mot, qui fait fuir le théâtre.

Montrer l'homme à l'homme, monter des textes oubliés, ou les présenter sous un jour nouveau, telle est notre vocation. Comme chaque année, le Nord-Ouest vous propose de porter un nouveau regard sur un auteur si célèbre et pourtant si méconnu. Représentations, causeries et lectures didactiques seront l'occasion de retrouver, de comprendre et de situer l'œuvre de Shakespeare, pour mieux en apprécier la couleur et le relief. Il n'est pas ici question de lire ses classiques mais de retrouver, pour soi, et pour soi seul, des mots qui n'ont pas vieilli.

au théâtre du Nord-Ouest   http://theatredunordouest.com/

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17 février 2008 7 17 /02 /février /2008 22:22

Aumônerie Catholique des Prisons
Jeudi 1er décembre à 20h.

Conférence-Débat : "La prison dans nos murs nous rappelle la fragilité de notre humanité capable du meilleur et du pire."

Avec la participation de Jean Cachot, prêtre aumônier à la Maison d'arrêt de Besançon.

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17 février 2008 7 17 /02 /février /2008 22:05

" Je suis chargée de vous le dire,

mais pas de vous le faire croire "

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9 février 2008 6 09 /02 /février /2008 10:09


Le mot carême ne signifie pas tristesse, amertume, sécheresse ; certains l’assimilent au mot ‘‘jeûne’’. Et on en fait une période pénible. C’est plutôt un temps privilégié de 40 jours que l’Église nous donne. Dans la Bible, le chiffre quarante évoque une période spéciale où Dieu nous invite à demeurer avec lui. Être avec Dieu, quel bonheur ! Mais peut-on être heureux sans le sourire ?

Comme c’est difficile à certaines personnes de sourire, encore plus de rire ! Et pourtant ça ne coûte rien et ça rend service. Il paraît que l’homme est capable de faire dix huit sortes de sourires différents : sourire moqueur, forcé, flatteur, commerçant, baratineur, piégé, séducteur, hypocrite, traître etc. Mais un seul exprime la joie profonde et vraie qui vient du cœur : c’est de ce sourire qu’il est question ici.

Pourquoi sourire ?

Le sourire franc et sincère exprime le fond de notre être de croyant. Celui qui ne croit pas, et n’espère pas en Dieu Amour, reste sombre et lugubre. Au contraire celui qui aime, et prend conscience qu’il est aimé de Dieu, vit dans la joie de Dieu. Et tout est joie en lui. Cette joie augmente son dynamisme et devient contagieuse. Celui-là vit déjà sur terre le bonheur du ciel avec les saints et les anges.

Celui qui ne sourit pas se déprime facilement ; il entretient des mauvaises idées, cultive des pensées méchantes, et enfante des décisions injustes et mortelles. Il persécute même ceux qui le bénissent. Son cœur fait la guerre à tous. Or celui qui sourit, même au cœur de ses épreuves, sait qu’après la pluie, il y a le beau temps. Encore que, dans les régions où il ne pleut pas suffisamment, la pluie est plutôt considérée comme une bénédiction. ‘‘Tout est grâce’’ pour l’homme qui sourit, même les obstacles lui servent d’échelle pour monter en sainteté. Et donc, pluie ou soleil, le sourire authentique est toujours au rendez-vous. ‘‘Le sourire, disait l’Abbé Pierre, coûte moins cher que l’électricité mais donne autant de lumière’’. C’est vrai, une personne qui sourit, son visage s’illumine ; elle devient plus belle et plus sympathique. Ses amis se multiplient et ses interlocuteurs deviennent positifs autour de lui. Puisque l’heure est aux coupures intempestives d’électricité (délestage), au lieu de murmurer contre la SBEE, pourquoi ne pas produire plus de sourires radieux et étincelants ? Ils réchaufferont les cœurs froids et aigris, et éclaireront les méchants de la lumière sans déclin de Dieu. En plus c’est sans facture et surtout écologique pour l’âme. Voilà où je voulais en venir, au sourire écologique pour nos cœurs en ce temps favorable.

                               Mgr Pascal N’Koue, Évêque de Natitingou (Bénin)

 

la suite de sa lettre sur  http://eucharistiemisericor.free.fr/index.php?page=0702088_benin

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9 février 2008 6 09 /02 /février /2008 10:05

Tout marche chez eux à l’économie. Le café de madame ressemble étonnamment à de l’eau de vaisselle ; la "mesurette" qu’elle emploie permet juste de noircir un peu d’eau chaude ; que voulez-vous, on marche à l’économie !
Monsieur, de son côté, essaie de se rattraper sur le petit coup de gnôle, élixir de longue vie, qui doit normalement terminer tout repas. Hélas ! il ajoute dans son alambic quantité de rognures qui donnent de la couleur, mais tuent le parfum. Que voulez-vous, il marche à l’économie !

Et avec Dieu ? Si la présence à la messe ne dépasse guère les fêtes carillonnées, si les prières sont rares, réservées uniquement aux moments douloureux de la vie, là encore, on marche à l’économie. Comment partager le temps libre, si rare, entre chasse, pêche, promenades, télévision ou messe ? Où sont les priorités ?
Et si Dieu en faisait autant ? Heureusement, rien ne peut le bloquer, pas même nos négligences ou nos indifférences. Il continue coûte que coûte à nous tendre la main. Il veut nous attirer dans son paradis où, finalement, seuls entreront ceux qui l’auront choisi. Incroyable, mais vrai !

reçu de www.serviam.fr qui propose un "Carême en ligne" ...

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8 février 2008 5 08 /02 /février /2008 21:42

Les citations de Gustave Thibon

«S'aimer, c'est avoir faim ensemble et non pas se dévorer l'un l'autre.»

«On aime non dans la mesure où l'on possède mais dans la mesure où l'on attend.»  L'ignorance étoilée

«La foi consiste à ne jamais renier dans les ténèbres ce qu'on a entrevu dans la lumière.»

«Il est malaisé de composer avec le monde sans se laisser décomposer par le monde.» L'ignorance étoilée

«Avoir la foi, c'est faire crédit à Dieu.»

«La société devient enfer dès qu'on veut en faire un paradis.»

«Etre dans le vent : une ambition de feuille morte...»

«C'est toujours un grand mal que de juger dépassé ce qui est irremplaçable.» L'équilibre et l'harmonie

«L'homme ne sait pas ce qu'il veut, mais il sait très bien qu'il ne veut pas ce qu'il a.» L'ignorance étoilée

«Les nations ont besoin de héros et de saints comme la pâte a besoin de levain.»

«A droite, on dort A gauche, on rêve.»

«Une amitié véritable, c'est celle qui repose avant tout sur la communion aux mêmes principes et à la poursuite d'un même idéal.»

«Le premier devoir du philosophe est de dépoussiérer les vérités premières...» L'équilibre et l'harmonie

«L'amour ne pèse pas, cette branche ne casse que si l'oiseau posé sur elle s'envole, "ce qui peut me briser, ce n'est pas que tu t'appuies trop sur moi, c'est que tu m'abandonnes."»

«Toutes les chutes appellent la compassion et le pardon, sauf celles qui se déguisent en ascensions.» L'équilibre et l'harmonie

«On n'échappe pas à l'obéissance à Dieu que pour choir dans la servitude.» Diagnostics

«La fraternité n'a pas ici-bas de pire ennemi que l'égalité.»
Diagnostics

«Rien n'est plus vide qu'une âme encombrée.»

«Le doute est un poison pour la conviction et un aliment pour la foi.» L'ignorance étoilée

«On peut toujours apprendre ce qu'on ne sait pas, non ce qu'on croit savoir.» L'ignorance étoilée

«La devise de notre monde contemporain c'est “omnia illico” (tout, tout de suite).»

«L'amour commence par l'éblouissement d'une âme qui n'attendait rien et se clôt sur la déception d'un moi qui exige tout.»

«Qu'es-tu donc, toi qui m'aimes ? Le miroir où je me regarde ou l'abîme où je me perds ?» L'Ignorance étoilée

«L'esprit philosophique consiste à préférer aux mensonges qui font vivre les vérités qui font mourir.»  L'Ignorance étoilée

«Le mensonge est un hommage à la vérité comme l'hypocrisie est un hommage à la vertu.»  L'Ignorance étoilée

«L'amour sans éternité s'appelle angoisse : l'éternité sans amour s'appelle enfer.» L'Ignorance étoilée

«La difficulté de trouver l'aliment grandit en fonction de la pureté de la faim.»  L'Ignorance étoilée

«N'oublions pas que ce n'est pas le nombre et la longueur de ses branches, mais la profondeur et la santé de ses racines qui font la vigueur d'un arbre.»  L'Equilibre et l'harmonie

«Faire rêver les hommes est souvent le moyen le plus sûr de les tenir endormis - précisément parce que le rêve leur donne l'illusion d'être éveillés.»

«Ce n'est pas la lumière qui manque à notre regard, c'est notre regard qui manque de lumière.»

«Bien vieillir : gagner en transparence ce qu'on perd en couleur.»
L'Ignorance étoilée

«Chaque concession ne peut qu'affaiblir un peu celui qui la fait et offenser davantage celui qui l'obtient.»  Diagnostics

«Rien ne prédispose plus au conformisme que le manque de formation.» L'Équilibre et l'harmonie

«Connaissez-vous beaucoup d'hommes qui attribuent leurs échecs à leur incapacité ? »  L'Equilibre et l'harmonie

«Ne se sentir heureux que par comparaison, c'est se condamner à n'être jamais vraiment heureux, car il faut toujours se démener pour rejoindre ou pour dépasser quelqu'un »
L'Equilibre et l'harmonie

«Mal savoir ne vaut pas mieux que tout ignorer... »
L'Equilibre et l'harmonie




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6 février 2008 3 06 /02 /février /2008 23:44

Soirée Adoramitié

 

 le lundi 11 février 2008

 

Paroisse Saint-Léon

 

 1, place du Cardinal Amette, 75015 Paris, M° Dupleix

 

 Toute l’équipe de TRANSEPT a la joie de vous convier

 

 à sa traditionnelle Adoramitié,

 

 soirée de prière, d’échange et de partage

 

 autour du thème

 

 « Spiritualité et leadership »

 

  20h30-21h30 : adoration eucharistique dans la chapelle;

 

  21h30 à 23h : intervention de Guillaume de Lacoste,

 

 coordinateur du Laboratoire de recherche pour le progrès de la spiritualité dans la pratique des affaires et les entreprises 

(salle Saint-François-Xavier),

 

 suivie d’une collation et d’un débat avec l’assemblée

 

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5 février 2008 2 05 /02 /février /2008 23:06

>>>>   Carême ? Kézako ?

Le Ramadan des chrétiens ?

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5 février 2008 2 05 /02 /février /2008 22:13

L'Île - Bande-annonce 1 (Russe sous-titré)L'Île - Bande-annonce 1 (Russe sous-titré)
L'Île - Extrait 1 (Russe sous-titré)L'Île - Extrait 1 (Russe sous-titré)

"Quelle merveille !" - Job (Dimitri Dioujev) surprend Philarète (Viktor Soukhoroukov) en pleine peinture à l'oeuf...

 
L'Île - Extrait 2 (Russe sous-titré)L'Île - Extrait 2 (Russe sous-titré)

"Une requête au Seigneur" - Job (Dimitri Dioujev) n'aime pas Anatoli (Piotr Mamonov)...

 
L'Île - Extrait 3 (Russe sous-titré)L'Île - Extrait 3 (Russe sous-titré)

"Incendie" - Anatoli (Piotr Mamonov) se fait remarquer pendant la prière...

 

 
 

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4 février 2008 1 04 /02 /février /2008 21:14

Un trappeur canadien, un peu novice, se prépare à l’hiver. Il coupe du bois en forêt et, le ramenant chez lui, croise un vieil Indien assis devant son tipi. Voulant profiter de sa sagesse, il lui demande si l’hiver sera froid. Et l’Indien de dire oui. Le trappeur part alors couper plus de bois encore, et, passant de nouveau devant l’Indien, il lui demande si l’hiver sera très froid. Et l’Indien : « Oui, hiver très froid ». L’homme repart couper du bois, et, repassant devant l’Indien, épuisé, il demande si l’hiver sera vraiment très froid. Sur l’affirmative, il demande enfin : « Mais comment sais-tu que l’hiver sera vraiment très froid ». Et l’Indien de répondre : « Quand Indien voir homme blanc couper beaucoup beaucoup bois, Indien savoir hiver très très froid.

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4 février 2008 1 04 /02 /février /2008 20:50

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2 février 2008 6 02 /02 /février /2008 20:45

 


Blandine Michu est bonne cuisinière.
Pour le séjour dans le chalet d’Orière, elle a invité des amis et fait une tartiflette.
Huit personnes se partagent le plat. C'est facile pour découper les parts.
Et comme c’est délicieux, et surtout léger, les trois amies de Blandine Michu veulent toutes  la recette.
Blandine Michu  ne se fait pas prier, parce qu'elle connaît la morale de cette histoire… 

 

      Morale de cette histoire :

 S'il y avait eu 8 autres invités pour le même plat, chacun n'aurait eu que la moitié de la part qui a été donnée.
Mais si Blandine Michu avait aussi donné sa recette à toutes les présentes, ou même à tout le monde, chacun aurait quand même eu la recette complète. Et si elle mettais la recette sur Internet, elle n'en serait pas dépossédée pour autant.

 La tartiflette, c’est bien connu, se divise en se partageant.
Parce que c'est un bien matériel. 
La recette se multiplie en se partageant.
Parce que c'est un bien immatériel.

Le bien immatériel enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne. C'est vrai d'une recette. C'est aussi vrai d'un sourire, d'un conseil, d'un savoir, etc.
Quand on aime donner et qu'on aime recevoir, on communique ses biens. On fait profiter les autres de ses connaissances, de son expérience, de ses talents.

 Une société de confiscation des biens ou une société du secret stagne et régresse. Une société qui permet, favorise, suscite la communication des biens est source de progrès.

 Philippe Deflandre

  d'autres histoires du même tonneau sur www.reseaumanagers.org 

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2 février 2008 6 02 /02 /février /2008 15:56

 

Heureux qui comme Ulysse

Et 24 autres poèmes que nous devrions savoir par coeur pour les dire à nos enfants

Une anthologie commentée à  l'usage de tous ceux qui souhaitent partager les trésors de la poésie avec leurs enfants

 Présentation

le J'ai rassemblé ces poèmes pour les hommes de mon âge. Je ne parle pas des femmes, car, on le sait, les femmes dont pas d'âge. Mais si je leur en parle, aux hommes et aux femmes, ce n'est certes pas pour jouer, en quelque manière, le rôle du professeur. C'est simplement parce que, étant compagnons, il peut nous être doux, en rompant pain de la halte et en fumant le tabac de la pause, de communier un instant dans l'éternel présent des filles de mémoire. C'est la nostalgie, on le sait, qui donne son charme à ces instants. Mais la nostalgie, seule, risquerait de sombrer dans une certaine mélancolie. Ce ne serait pas sans danger ni affectation. Notre époque, qui pratique beaucoup trop le chiqué, ne manque pas de ce romantisme. Je dois l'avouer, rien ne m'est plus étranger. Que ce soit dans les dernières lueurs de l'été ou dans le jour pâle du plus froid hiver, j'ai toujours senti la germination du printemps. Dieu veuille que cet optimisme, qui est le petit nom de l'espérance , ne m'abandonne jamais. Si les facultés vitales, en s'estompant, venaient à l'affaiblir, il me suffirait alors de contempler, avec une meilleure attention, les enfants. Mes enfants et ceux des autres. Tous les enfants. Comme ils sont les princes de notre âge mûr, ils sont aussi les princes de la poésie. Ils règnent sur elle - à dire la vérité, ils sont la vraie poésie de la vie. C'est à eux que ce livre est dédié. C'est pour eux, qu'à travers leurs parents ou leurs aînés, il est écrit.   

 Par Jacques Tremolet de Villers   

 

En savoir plus  pour commander

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2 février 2008 6 02 /02 /février /2008 13:08

Sacha de Leningrad appelle Fiodor en Sibérie :

 - Fiodor, mon vieux, j'ai entendu dire que chez vous l'hiver est très sévère ? dit Sacha

 - N'exagérons pas ! il n'est pas sévère, seulement -25°C, répond Fiodor

 - Es-tu sûr ?,j'ai entendu parler à la télé que c'est -60°C ? dit Sacha

 - Ah oui, dehors, effectivement, -60°C.

 

d'autres Récrés ...

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2 février 2008 6 02 /02 /février /2008 01:11
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2 février 2008 6 02 /02 /février /2008 00:41

 

Monnaie et souveraineté

 Il peut sembler, à première vue, curieux de s'interroger sur le problème de la monnaie dans notre revue consacrée aux rapports entre histoire, science et foi. C'est qu'habituellement la monnaie est étudiée dans le cadre d'une science : l'économie qui semble éloignée de nos préoccupations éditoriales. Cependant en tant qu'elle s'affirme comme une science, l'économie pose le problème de son statut dans la connaissance : sur quels principes repose-t-elle, quelle est sa méthodologie, le discours qu'elle nous propose est-il en adéquation avec lui ? L'économie comme toute science soulève l'interrogation épistémologique. Trop rares sont ceux qui, comme M. Allais, osent dévoiler ce qu'il y a derrière ce bel édifice formalisé et mathématisé qu'est l'économie et qui donne toutes les apparences de la scientificité : principes faux, méthodologie douteuse, discours incapable de prévoir les crises.

 Mais, c'est à un autre titre que l'économie doit nous intéresser. Bien qu'éloignée de nos fins dernières, l'économie et la monnaie en assurent les échanges et ils sont les moyens indispensables à notre intégration sociale dans la communauté. Comme le rappelait si pertinemment Marcel de Corte, la modernité a remplacé la fin de l'ordre social par la multiplication des moyens. L'économie en tant que moyen devrait être mise au service de l'homme. Désormais l'homme est au service de l'économie, il s'agit là d'une perversion ontologique majeure dont nous ne finirons pas de payer les conséquences sociales et politiques désastreuses....  

par Eric Dillies 

 ...  la suite sur

http://fragments-diffusion.chez-alice.fr/monnaieetsouverainete.html

Trouvé sur le site d'Etienne Chouard :

 http://etienne.chouard.free.fr/Europe/

 

 

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23 janvier 2008 3 23 /01 /janvier /2008 22:43
.....

 CHARLES

Alors, il ne m'aime pas. Et s'il ne m'aime pas, pourquoi veux-tu que je l'aime ? Il n'avait qu'à m'en donner du courage. Je ne demandais pas mieux, moi !

JEANNE, sévère.

Tu crois donc que c'est ta nourrice et qu'Il n'a que toi à s'occuper ? Tu ne pourrais pas essayer de te débrouiller un peu toi-même avec ce que tu as ?  Il ne t'a pas donné de très gros bras, c'est vrai, comme à Monsieur de La Trémouille, et Il t'a fait de trop longues jambes, toutes maigres...

CHARLES

Tu as remarqué ? Pour ça, il aurait pu faire mieux. Surtout avec la mode actuelle. Tu sais que c'est à cause de mes jambes qu'Agnès ne m'aimera  jamais ? Si, au moins, il avait eu le compas dans l'œil, s'il ne m'avait pas donné de gros genoux en même temps...  

JEANNE

Je te l'accorde. Il n'a pas fait grands frais pour tes genoux. Seulement, Il t'a donné autre chose, dans ta vilaine caboche de vilain garçon. La petite étincelle, qui est ce qui Lui ressemble le plus. Tu peux en faire un bon ou un mauvais usage, Charles, pour cela, Il te laisse libre, Dieu. Tu peux t'en servir pour jouer aux cartes et pour continuer à rouler l'Archevêque à la petite semaine... ou bien pour bâtir ta maison et refaire ton royaume que tout le monde t'a pris. Tu as un fils, Charles, avec ta petite reine. Qu'est-ce que tu vas lui laisser à ce garçon lorsque tu mourras ? Ce tout petit morceau de France grignoté par les Anglais? Tu n'as pas honte ? Lui aussi, il pourra dire quand il sera grand: Dieu ne s'est pas occupé de moi ! Mais ce sera toi, Charles, qui ne te seras pas occupé de lui. C'est toi, Dieu, pour ton fils. C'est toi qui l'as en charge. Dieu t'a fait roi, Il t'a donné quelque chose de très lourd à porter. Ne te plains pas, c'est Sa meilleure façon de s'occuper d'un homme. 

CHARLES, gémit.  

Mais je vous dis que j'ai peur de tout ! ...

JEANNE, se rapproche.

Je vais t'apprendre, Charles. Je vais te le donner, mon truc. D'abord - ne le répète à personne surtout  - moi aussi, j'ai peur de tout. Tu sais pourquoi il n'a peur de rien, Monsieur de La Trémouille ?

CHARLES

Parce qu'il est fort.

JEANNE

Non. Parce qu'il est bête. Parce qu'il n'imagine jamais rien. Les sangliers non plus n'ont jamais peur, ni les taureaux. Pour moi, cela a été encore plus compliqué que pour toi de refaire ton royaume, de venir ici. Il a fallu que j'explique à mon père qui m'a battue, et qui a cru que je voulais devenir une ribaude à la traîne des soldats, et, toute proportion gardée, il cogne encore plus dur que les Anglais, tu sais, mon père ! Il a fallu que je fasse pleurer ma mère, et cela aussi paraissait insurmontable, que je convainque le gros Beaudricourt qui criait tant qu'il pouvait et qui était plein de mauvaises pensées... Tu crois que je n'ai pas eu peur ? J'ai eu peur tout le temps.  

CHARLES

Et comment as-tu fait?

JEANNE

Comme si je n'avais pas peur. Ce n'est pas plus difficile que cela, Charles. Tu n'as qu'à essayer une fois. Tu dis: « Bon, j'ai peur. Mais c'est mon affaire, ça ne regarde personne. Continuons. » Et tu continues. Et si tu vois quelque chose qui te paraît insurmontable, devant toi...  

CHARLES

La Trémouille en train de gueuler...

JEANNE

Si tu veux. Ou les Anglais bien solides devant Orléans dans leurs bonnes grosses bastilles. Tu dis « Bon, ils sont plus nombreux, ils ont de gros murs, des canons, de grosses réserves de flèches, ils sont toujours les plus forts. Soit. J'ai peur. Un bon coup. Là. Voilà. Maintenant que j'ai eu bien peur, allons-y ! » Et les autres sont si étonnés que tu n'aies pas peur que, du coup, ils se mettent à avoir peur, eux, et tu passes ! Tu passes, parce que comme tu es le plus intelligent, que tu as plus d'imagination, toi, tu as eu peur avant. Voilà tout le secret.

CHARLES

Mais tout de même, s'ils sont plus forts !

JEANNE

Cela ne sert pas à grand-chose d'être les plus forts. Moi, une fois, j'ai vu un garçon de mon village, un petit braconnier, il était poursuivi par deux molosses sur les terres du seigneur. Il s'est arrêté, il les a attendus, et il les a étranglés, l'un après l'autre.  

CHARLES

Et il n'a pas été mordu?

JEANNE

Pour ça, il a été mordu! Il n'y a pas de miracle. Mais il les a étranglés tout de même. Et Dieu avait pourtant fait les deux molosses beaucoup plus forts que mon petit braconnier. Seulement, Il a donné autre chose à l'homme qui le rend plus fort que les brutes. C'est pour ça que mon petit braconnier s'est arrêté de courir, qu'il a vidé toute sa peur d'un coup et qu'il s'est dit:« Bon. Maintenant, j'ai eu assez peur. Je m'arrête et je les étrangle. » 

CHARLES

C'est tout ?

JEANNE

C'est tout.

CHARLES, un peu déçu.

Ce n'est pas sorcier.

JEANNE, sourit.

Non. Ce n'est pas sorcier. Mais ça suffit. Dieu ne demande rien d'extraordinaire aux hommes. Seulement d'avoir confiance en cette petite part d'eux-mêmes, qui est Lui. Seulement de prendre un peu de hauteur. Après Il se charge du reste.  

CHARLES, rêveur.

Et c'est un truc qui réussit toujours, tu crois ?

JEANNE

Toujours. Bien sûr, il faut être avisé aussi, mais cela tu ne l'es que trop ! Mon petit braconnier, il a saisi le moment où les deux molosses s'étaient séparés l'un de l'autre à cause d'un lièvre pour pouvoir les expédier un par un. Mais surtout, c'est parce qu' à la minute où tu vides toute ta peur, et où tu t'arrêtes tout de même et que tu fais face, Dieu vient à toi. Seulement, tu sais comme Il est. Il veut qu'on fasse le premier pas.  

CHARLES, après un silence.

Tu crois qu'on l'essaie, ton truc.

JEANNE

Bien sûr qu'on l'essaie. Il faut toujours essayer.

CHARLES, effrayé soudain de son audace.

Demain, que j'aie le temps de me préparer...

JEANNE

Non. Tout de suite. Tu es fin prêt.

CHARLES

On appelle l'Archevêque et La Trémouille et on leur dit que je te confie le commandement de l'armée pour voir leur tête ?

JEANNE

On les appelle.

 ....

 

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23 janvier 2008 3 23 /01 /janvier /2008 21:57

Ce blog vous intéresse un peu... beaucoup... passionnement....

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" Nous ne pouvons pas taire ce que nous avons vu et entendu "

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