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8 avril 2024 1 08 /04 /avril /2024 13:09

 

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1 avril 2024 1 01 /04 /avril /2024 11:12

 
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31 mars 2024 7 31 /03 /mars /2024 20:05

 

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24 février 2024 6 24 /02 /février /2024 07:46

Martyrs chrétiens au Colisée,

Peinture de Konstantin Flavitsky (1830-1866),

Peint en 1862, Huile sur toile

Musée d'État russe, Saint-Pétersbourg

 

 

Priez pour ceux qui vous persécutent

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18 février 2024 7 18 /02 /février /2024 12:21

En ce premier dimanche de Carême, nous lisons comment Jésus a été tenté par le diable dans le désert pendant quarante jours.

Un autre lien avec des détails de l'oeuvre de Botticelli.

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14 février 2024 3 14 /02 /février /2024 10:35

Notre estampe du milieu du XVIe siècle évoque avec humour la lutte entre le carême et le carnaval. Sur la gauche, nous voyons un défilé populaire célébrant le carnaval. Au centre, un homme assis sur un tonneau de bière tient une broche de poulets rôtis. Au loin, on voit des gens danser. Dans la moitié droite, on voit des personnes en train de jeûner. La femme sur un chariot tient du poisson, pas de la viande. Les personnes au loin travaillent et ne dansent pas.

Sur le site Christian Art. On peut y zoomer sur la gravure.

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25 janvier 2024 4 25 /01 /janvier /2024 08:29

Enfant adoptif de la Presqu’île guérandaise, le sculpteur Jean Fréour (né à Nantes en 1919) décédait à Batz-sur-Mer en 2010 à l’âge de 91 ans.

Après avoir intégré le mouvement artistique breton des Seiz Breur en 1944 (dont il fut le dernier membre), Jean Fréour avait sculpté toutes sortes de matériaux, le schiste, le marbre, le granit, l’onyx ou encore la pierre bleue de Nozay. Auteur d’une série de sculptures toujours visible dans de nombreuses communes de Loire-Atlantique, il est notamment célèbre pour avoir réalisé la sculpture d’Anne de Bretagne devant le château des Ducs à Nantes.

la suite …

 

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10 janvier 2024 3 10 /01 /janvier /2024 20:27

Le , un Google Doodle est consacré à Louis Joseph César Ducornet, à l'occasion du 218e anniversaire de sa naissance. 

Il est né  le  à Lille et mort le  à Paris.

« Au milieu de la foule circulait péniblement un homme d'un certain âge, portant sur son dos un avorton bien chétif qui n'avait pas de bras, et dont les pieds très petits étaient plutôt gantés que chaussés. Lorsqu'on abordait cet embryon, il tendait le pied droit qu'on lui serrait ; c'était sa façon de donner une poignée de main. Cet être incomplet était un peintre, "Ducornet né sans bras", dont les tableaux peints avec les pieds n'étaient guère plus mauvais que bien des tableaux peints avec la main. » — Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires (1881-1882).

 

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2 avril 2023 7 02 /04 /avril /2023 08:39
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11 février 2023 6 11 /02 /février /2023 17:13

 

« La beauté sauvera-t-elle le monde ? ». La question est posée par un personnage d’un roman de Dostoïevski (L’Idiot) et l’on comprend au fil du récit que la seule beauté capable d’apporter le Salut à l’humanité n’est pas la beauté plastique, aussi achevée soit-elle, mais la beauté agissante, la beauté traversée par la compassion, capable de panser les plaies et de rendre l’harmonie perdue.

La première peut être mensongère, trompeuse, voire mortifère. C’est alors la beauté du diable entrevue par Baudelaire : « Je suis belle, ô mortels ! comme un rêve de pierre{{Baudelaire, Les Fleurs du malSpleen et IdéalLa Beauté. }} (…) ». La seconde est la beauté de Dieu, celle du Dieu rédempteur, et elle n’est rien d’autre que le rayonnement de sa propre bonté qu’Il communique aux créatures à l’instant même de leur création ou, pour les créatures libres, quand elles accèdent à l’amitié divine ou bien quand celle-ci leur est restituée.

Dans son Traité des Noms Divins, le théologien Denys l’Aéropagite (VIe siècle) explique que la beauté doit être attribuée en propre à Dieu, « à cause de cette puissance d’embellissement qu’Il dispense à tout être », laquelle se confond avec sa bonté « parce qu’à la façon de la lumière Il fait rayonner sur toutes choses, pour les revêtir de sa beauté, les effusions de cette source rayonnante qui sourd de lui-même{{Denys l’Aéropagite, Les Noms divins, chap. IV, §7.}} (…). ».

Or l’Incarnation Rédemptrice représente comme l’aboutissement de cette « puissance d’embellissement » dont parle Denys : le Royaume de la Grâce est le nouveau chef-d’œuvre de Dieu, parachevant la première création, dans l’attente de son plein achèvement à la fin des temps. D’ici-là, l’Église participe à cette diffusion de la bonté de Dieu en communiquant aux âmes la grâce qui guérit et qui sauve, faisant d’elles des miroirs de la beauté de Dieu. Pour cette raison, le culte public de l’Église, la liturgie, cherche à refléter ou du moins à exprimer la beauté de Dieu qui se déverse sur les âmes à l’occasion de toute cérémonie sacrée. Certes avec des moyens imparfaits et limités, la liturgie catholique tend à révéler un peu de la splendeur de Dieu, à laisser entrevoir sa majesté. Et cette dimension cultuelle, où l’art se mêle au sacré, est essentielle à la vie même de l’Église, qui ne saurait se réduire à sa morale, non plus qu’à sa doctrine sociale, lesquelles, pour importantes qu’elles soient, ne sont que la manifestation extérieure de la Vie nouvelle apportée par le Christ Sauveur. On constate d’ailleurs que notre société sécularisée ne s’intéresse qu’à la dimension morale et sociale de notre religion et que cette connaissance partielle lui rend incompréhensibles certains commandements qui plongent leurs racines dans la parole incandescente de l’Évangile. Il importe plus que jamais que la liturgie catholique exprime toujours, en toute clarté, la grandeur, la transcendance et la majesté divines, afin que les âmes chrétiennes respirent régulièrement « un peu de l’air du Ciel » auquel elles appartiennent déjà. Aussi, le soin apporté aux cérémonies sacrées, tant dans leur ordonnancement que dans la qualité du chant ou la dignité des objets liturgiques utilisés n’est-il jamais accessoire : s’il est ordonné essentiellement à la munificence du culte rendu à Dieu, il permet en outre d’entretenir vive en notre âme la conscience de notre dignité de « créatures nouvelles » comme le dit saint Paul, laquelle est à l’origine des exigences de la vie chrétienne.

« Je veux que mon peuple prie sur de la beauté », disait le pape Pie X en 1903. Plus proche de nous, en 1963, l’abbé Victor-Alain Berto vitupérait contre les projets de simplification de la liturgie, sous prétexte de la rendre plus accessible aux « pauvres » : « Ils ont décidé que l’Église sera L’Église des pauvres (…) quand les pauvres seront privés de la seule beauté qui leur soit gratuitement accessible, qui est la beauté liturgique (…). Qui leur a dit que les pauvres n’ont que faire de beauté ? Qui leur a dit que le respect des pauvres ne leur demande pas qu’on leur propose une religion belle, comme on leur propose une religion vraie ? Qui les rend si insolents envers les pauvres, que de leur refuser le sens du sacré{{Victor-Alain Berto, Notre-Dame de Joie, NEL 1989.}} ? (…) ».

Assurément, dans la quête du Salut, la recherche du beau comme voie menant vers Dieu et reflet de sa propre splendeur a-t-elle une importance particulière. Certes, Dieu seul nous sauve, il nous revient de nous ouvrir à sa lumière et de suivre ses enseignements pour demeurer en son amour. C’est entendu. Pour autant, le Rédempteur nous a communiqué sa grâce par des intermédiaires, par des instruments : son Humanité sainte tout d’abord, puis les sacrements qui prolongent jusqu’à nous et jusqu’à la fin des temps son action salvifique. Or, par respect et vénération envers les moyens de Salut que le Christ lui a laissés, l’Église a voulu que ceux-ci soient enchâssés dans des cérémonies sacrées qui en seraient, jusqu’à son retour, l’écrin précieux. Alors oui, les rites sacrés ne sont que des vecteurs et des instruments ; cependant, c’est par eux que le Seigneur vient jusqu’à nous pour nous guérir et nous sanctifier comme Il venait au secours des nécessiteux de l’Évangile. Les négliger serait une folie comparable à celle commise par ceux qui « suppliaient Jésus de s’éloigner de leur territoire » (Mc 5,17).

S’il est une beauté qui sauve c’est uniquement celle de la « Beauté suressentielle » dont parle Denys, celle du Verbe Incarné, lequel, par les sacrements qu’Il a institués, nous darde inlassablement des traits de sa miséricorde pour parfaire en nos âmes l’empreinte de son image qu’il y a imprimée.

 

Retrouvez ICI cet édito de l’abbé Paul-Joseph du numéro XXXVI de l’automne 2022. 

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26 janvier 2023 4 26 /01 /janvier /2023 10:01

Sainte Paule embarque à Ostie ...

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13 janvier 2023 5 13 /01 /janvier /2023 12:01

La tableau de Joachim Patinier représente le sujet de l'iconographie chrétienne du baptême du Christ. Le peintre y représente, dans une structure axiale, une falaise originale et brillante, une blanche colombe représentant le Saint-Esprit, et au-dessus d'elle dans les nuages, l'image de Dieu le Père, présent au baptême du Christ. Les tons dominants sont le gris, le vert et surtout le bleu, qui, ensemble, donnent une lumière plombée et surréaliste, typique de la Renaissance du Nord. Le peintre respecte toutefois les Saintes Écritures dans les deux épisodes impliquant Jean le Baptiste et Jésus : à mi-distance, Jean prononce son sermon, tandis que le Christ écoute de loin, toujours vêtu de son habit bleu ; à l'avant-plan, Jean, depuis la berge, verse de l'eau sur la tête de Jésus, debout dans le Jourdain, cette fois sans son habit bleu, posé sur la rive . (source Wikipedia)

NE MANQUEZ PAS DE "ZOOMER" ICI !

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30 août 2022 2 30 /08 /août /2022 18:29

Né le 17 août 1932 à Pessac, le célèbre dessinateur du Petit Nicolas, Jean-Jacques Sempé,  est mort le 11 août à l’âge de 89 ans.

La suite illustrée ...

Retrouvez Sempé sur Petrus Angel ...

 

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26 mai 2022 4 26 /05 /mai /2022 07:25
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18 avril 2022 1 18 /04 /avril /2022 14:30

cliquez sur la porte

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14 mars 2022 1 14 /03 /mars /2022 10:47

Ca débute demain !!!

Formation en 3 sessions, à distance, le mardi de 20h30 à 22h30 :

- mardi 15 mars

- mardi 22 mars

- mardi 29 mars

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16 janvier 2022 7 16 /01 /janvier /2022 20:14

Évangile selon saint Jean 2,1-11.

En ce temps-là, il y eut des noces à Cana de Galilée, et la mère de Jésus était là.
Jésus fut aussi convié aux noces avec ses disciples.
Le vin étant venu à manquer, la mère de Jésus lui dit : "Ils n'ont plus de vin."
Jésus lui répondit : "Femme, qu'est-ce que cela pour moi et pour vous ? Mon heure n'est pas encore venue."
Sa mère dit aux serviteurs : "Faites tout ce qu'il vous dira."
Or, il y avait là six urnes de pierre destinées aux ablutions des Juifs et contenant chacune deux ou trois mesures.
Jésus leur dit : "Remplissez d'eau ces urnes." Et ils les remplirent jusqu'au haut.
Et il leur dit : "Puisez maintenant, et portez-en au maître du festin". Et ils en portèrent.
Dès que le maître du festin eut goûté l'eau changée en vin (il ne savait pas d'où venait ce vin, mais les serviteurs qui avaient puisé l'eau le savaient), il interpella l'époux et lui dit :
"Tout homme sert d'abord le bon vin, et après qu'on a bu abondamment, le moins bon ; mais toi, tu as gardé le bon jusqu'à ce moment."

Tel fut, à Cana de Galilée, le premier des miracles que fit Jésus, et il manifesta sa gloire, et ses disciples crurent en lui.

Extrait de la Bible catholique traduite par le chanoine Crampon

Mais où sont les mariés?

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26 décembre 2021 7 26 /12 /décembre /2021 09:19

Fête de la Sainte Famille

Retrouvez l'auteur ...

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21 décembre 2021 2 21 /12 /décembre /2021 17:46
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6 novembre 2021 6 06 /11 /novembre /2021 12:57

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26 octobre 2021 2 26 /10 /octobre /2021 07:45

 

 

Exposition hommage

Sergeï Chepik (1953 – 2011)

Du jeudi 4 au dimanche 28 novembre 2021

Centre Spirituel et Culturel Orthodoxe russe, VII° Paris

 

Sous le Haut Patronage de Son Éminence, Monseigneur Antoine, Métopolite de Chersonèse et d’Europe occcidentale. Monsieur Léonid Kadyschev, directeur du CSCOR et Mme Marie-Aude Albert-Chepik, commissaire de l’exposition et présidente du fonds de dotation Sergeï Chepik

Vous invite à visiter l’exposition de Sergeï Chepik,

Après la rétrospective qui a eu lieu en novembre-décembre 2018 à la maire du Vème  arrondissement de Paris pour le 65e anniversaire de la naissance de l’artiste, le Centre spirituel et culturel russe à Paris rend hommage à Sergei Chepik (1953–2011).

 

>>>  PLUS D'INFORMATIONS 

 

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10 octobre 2021 7 10 /10 /octobre /2021 11:31
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24 mai 2021 1 24 /05 /mai /2021 09:42
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18 mai 2021 2 18 /05 /mai /2021 09:51

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3 mai 2021 1 03 /05 /mai /2021 18:20

Saint Philippe nous montre qui est Saint Jacques ...

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