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1 novembre 2022 2 01 /11 /novembre /2022 15:40

 

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27 septembre 2022 2 27 /09 /septembre /2022 03:28

 

Ce n’est pas une question de discipline ou de droit. S’il en était ainsi, la règle pourrait être révisée. Le prêtre représente le Christ, Époux de l’Église. Il en va de la nature même du sacrement qu’il a reçu.

1. Les femmes ont tenu un grand rôle dans le Nouveau Testament et dans toute l’histoire de l’Église. Pourtant, aucune d’elles n’a jamais été ordonnée prêtre. En savoir +

2. L’enjeu de la question n’est pas la distribution des rôles sociaux, mais la signification du sacrement de l’ordre. Le prêtre n’est pas, avant tout, un animateur de communauté, mais le représentant du Christ, Époux de l’Église. En savoir +

3. Tout autre est la définition du pasteur chez les protestants ou les évangéliques. Il est donc normal que, chez eux, la fonction soit ouverte aux femmes autant qu’aux hommes. En savoir +

4. La perspective de l’ordination des femmes est particulièrement inactuelle, au moment où une idéologie conquérante veut que le droit ne tienne plus compte de la différence des sexes. En savoir +

5. La situation des femmes dans l’Église est promise à évoluer. Mais il vaudrait mieux ne pas s’obstiner dans une voie sans issue. En savoir +

 

Plus de questions de fond

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22 septembre 2022 4 22 /09 /septembre /2022 08:30
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13 septembre 2022 2 13 /09 /septembre /2022 09:18

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16 août 2022 2 16 /08 /août /2022 08:40
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25 juillet 2022 1 25 /07 /juillet /2022 17:23
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24 juillet 2022 7 24 /07 /juillet /2022 10:38

Cité du Vatican (Agence Fides) - La fondatrice de l'Œuvre Pontificale de la Propagation de la Foi (OPFP), béatifiée le 22 mai dernier dans sa ville natale, est née à Lyon le 22 juillet 1799. Le court-métrage "Guardare dall'alto" (Regarder d'en haut), produit par le POPF avec la collaboration de l'Agence Fides à l'occasion de cette année jubilaire (voir Agence Fides 3 mai 2022) lui a été dédié ainsi qu'à son message toujours d'actualité. Le court-métrage, disponible dès maintenant en anglais, italien, français et espagnol, présente sous la forme d'un court-métrage et d'un docu-film l'histoire et l'expérience de foi de Pauline Jaricot, en la racontant à travers les yeux et la vie de Claire, une jeune femme de notre temps. 

Lu sur Belgicatho

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9 juillet 2022 6 09 /07 /juillet /2022 17:14

Le miracle

«  Il récitait la prière de Charles de Foucauld  »

propos recueillis par Iris Bridier, 6 mai 2022

 

Charle, 26 ans, sera présent lors de la canonisation à Rome, le 15 mai prochain.
© Iris Bridier
La canonisation du religieux aura lieu le 15  mai prochain. Le miracle qui l’a permise s’est produit au cours d’un chantier de restauration d’une chapelle. Le président de l’entreprise concernée, François Asselin, dirige aussi la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME). Témoignage.
 
 

Le miraculé, qui permet la canonisation de Charles de Foucauld, travaille à vos côtés. Quelles ont été les circonstances de l’accident ?

François Asselin : Nous sommes le 30 novembre 2016. Alors que je suis en déplacement à Paris, j’apprends que Charle, l’un de mes charpentiers, a fait une chute de 15 mètres de haut, du toit de la chapelle de l’Institution Saint-Louis à Saumur, que notre entreprise était en train de restaurer. Quand on m’explique les circonstances de l’accident, je pense qu’il ne va pas s’en sortir. Le jeune homme s’est fracassé sur un banc. Le montant du dossier a percé son abdomen et traversé sa cage thoracique sous le cœur.

Malgré cela, il s’est pourtant relevé, a marché 50 mètres en sortant de la chapelle et croisé le personnel de l’établissement qui a immédiatement appelé les secours. Le SAMU a jugé qu’il fallait un hélicoptère pour le transporter au plus vite, mais il n’y avait aucun moyen de monter le blessé à bord parce que la pièce de bois, restée coincée dans son abdomen, gênait la largeur de la porte. Finalement, une ambulance l’a conduit au CHU d’Angers pour être opéré. Huit jours plus tard, il commençait à se lever… à s’ennuyer dans sa chambre ; deux mois plus tard, il retournait au travail. Aucun organe vital n’avait été touché.

Vous avez immédiatement pensé à Charles de Foucauld…

Notre paroisse à Saumur est la paroisse Charles-de-Foucauld. Nous achevions ce jour une grande neuvaine pour la canonisation du bienheureux. L’accident a eu lieu la veille du centième anniversaire de sa montée au Ciel. Ce charpentier s’appelle Charle. Lorsque l’accident s’est produit, j’ai immédiatement contacté la communauté Marie Reine Immaculée de Bois-Le Roi, dont nous sommes membres messagers, ainsi que notre curé, le Père Artarit, pour leur confier ce jeune homme. Ce sont eux qui nous ont invités, mon épouse et moi, à invoquer particulièrement Charles de Foucauld. Nous avons passé la nuit à prier.

Et quand j’ai pu me rendre à l’hôpital, Charle m’a expliqué : «  J’ai voulu aller plus vite, je suis monté sur la voûte et je l’ai sentie céder. Je connaissais la hauteur, je me suis dit que j’étais cuit. Je ne voulais pas tomber sur les jambes. Je ne voulais pas tomber sur la tête. Je me suis allongé, j’ai mis ma tête entre mes mains et je me suis abandonné.  » Alors même qu’il n’est pas baptisé, qu’il n’a reçu aucune culture chrétienne, sans le savoir, il récitait cette prière du Père Charles de Foucauld : «  Mon Père, je m’abandonne à Toi.  »

Retrouvez l’intégralité de l’entretien dans notre numéro spécial.

Source

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6 juin 2022 1 06 /06 /juin /2022 07:59
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6 juin 2022 1 06 /06 /juin /2022 07:44

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5 juin 2022 7 05 /06 /juin /2022 19:29

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5 juin 2022 7 05 /06 /juin /2022 10:39

Quand arriva le jour de la Pentecôte, les disciples étaient tous réunis dans un même lieu ;
et tout à coup, il vint du ciel un bruit comme celui d'un violent coup de vent, qui remplit toute la maison où ils étaient assis.
Et ils virent paraître des langues séparées, comme de feu ; et il s'en posa une sur chacun d'eux.
Et tous furent remplis d'Esprit-Saint, et ils se mirent à parler en d'autres langues, selon ce que l'Esprit leur donnait de proférer.
Or il y avait, séjournant à Jérusalem, des Juifs, hommes pieux de toutes les nations qui sont sous le ciel.
Ce bruit s'étant produit, la foule s'assembla et fut bouleversée, parce que chacun les entendait parler en sa propre langue.
Ils étaient stupéfaits et s'étonnaient, disant : " Tous ces gens qui parlent, ne sont-ils pas des Galiléens ?
Comment donc les entendons-nous chacun dans notre propre langue maternelle ?
Parthes, Mèdes, Élamites, habitants de la Mésopotamie, de la Judée et de la Cappadoce, du Pont et de l'Asie,
de la Phrygie et de la Pamphylie, de l'Égypte et des contrées de la Lybie Cyrénaïque, Romains résidant ici,
tant Juifs que prosélytes, Crétois et Arabes, nous les entendons dire dans nos langues les merveilles de Dieu. "

Livre des Actes des Apôtres 2,1-11.

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26 mai 2022 4 26 /05 /mai /2022 07:25
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1 mai 2022 7 01 /05 /mai /2022 07:58

 

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23 avril 2022 6 23 /04 /avril /2022 15:50

(…) le Bien commun n’est pas l’addition des biens particuliers, comme le stipule une conception individualiste de la vie sociale ; mais il est le Bien que tous peuvent rechercher en commun, car il garantit la dignité de toute personne humaine, sans exception, à commencer par la plus faible et la plus fragile, et s’appuie sur le caractère profondément social et solidaire de la nature humaine qui fonde l’amitié sociale et la fraternité entre tous.

.
De ce point de vue, l’Eglise ne saurait rester neutre par rapport aux bilans et aux programmes de ceux qui se présentent aux suffrages de leurs concitoyens. Aucune naïveté ne peut être de mise : on ne juge pas sur des discours mais sur des actes.
.

Il sera donc nécessaire en particulier d’interroger le bilan du dernier quinquennat et d’en faire un repère pour évaluer les programmes et apprécier la capacité des candidats à promouvoir la dignité de la personne humaine, voire à en atténuer les atteintes déjà inscrites dans la loi et les mentalités. Un tel bilan (…) se situera volontairement du point de vue des principes non négociables. Comment le respect inconditionnel de la vie humaine a-t-il été défendu ? Qu’on pense aux lois de bioéthique, avec la PMA sans père, la fabrication d’embryons chimériques, la désorganisation institutionnalisée de la filiation ; à l’allongement du délai de l’accès à l’avortement, sans préconiser aucune mesure pour aider les femmes enceintes en difficulté à garder leur enfant, ou à la volonté d’inscrire dans la charte de l’union européenne un « droit fondamental à l’avortement », considéré comme prioritaire par la Présidence française de l’Europe, ou bien encore à la revendication de la GPA ou de l’euthanasie. Comment l’idéologie du gender et la propagande LGBT s’invitent de manière croissante dans les programmes de l’Education nationale, en organisant la déconstruction de l’homme créé à l’image de Dieu, « homme et femme ».
Sans oublier bien d’autres aspects – gestion de la « crise » sanitaire, en rapport avec la liberté de conscience, et ses conséquences sociales et économiques ; montée du terrorisme islamiste et de la violence, fractures sociales en hausse et précarisation, écologie intégrale, conception de la laïcité et liberté de culte, place de la France dans l’Europe et le monde, immigration et aide au développement … –, un catholique ne saurait faire abstraction de ces questions sociétales dans son discernement et dans son choix.
*

Mgr AILLET, évêque de Bayonne. Texte complet sur le site Diocèse 64

Vu sur Benoît et moi ...

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18 avril 2022 1 18 /04 /avril /2022 14:30

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15 avril 2022 5 15 /04 /avril /2022 08:20

 

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11 avril 2022 1 11 /04 /avril /2022 07:22

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10 avril 2022 7 10 /04 /avril /2022 10:09

Reçu de l'ami Eric.

Le 15 avril 2019, la cathédrale Notre Dame de Paris prit feu. Ce drame suscita beaucoup de dévouements, d’émotions et de prières. Le réalisateur Jean-Jacques Annaud a réussi, dans son film sorti le 16 mars dernier, à reconstituer minutieusement cet événement avec un supplément d’âme apporté par l’héroïsme des pompiers. A l’époque, de nombreux journalistes ou écrivains réagirent face à ce désastre. Ce fut le cas de Sylvain Tesson, écrivain et voyageur, dans le texte ci-dessous .
L'effroi, c'est l'impensable mêlé au sublime. Les images du brasier sont belles. Beauté horrifique, gravure en fusion de Gustave Doré.
Tout homme a un rendez-vous quotidien avec le paysage qu'il habite. Je vis sur les quais de la Seine, entre l'église Saint Julien-le-Pauvre, où fut enterrée ma mère, et l'église Saint-Séverin, où fut baptisé Huysmans. Notre-Dame est là, tout près, reine mère de sa couvée d'églises. (…)
Tous les matins, de chez moi, je regardais la flèche décochée vers le ciel par Viollet-le-Duc. Je lui adressais un coup d'œil. C'était un salut. Certaines choses sont plantées. Non! tout ne varie pas sur cette Terre et tout n'est pas destiné à circuler frénétiquement à sa surface. Le monde tourne, la croix demeure, c'est la devise des pères chartreux. C'est une belle phrase. Il faut des radeaux quand les eaux montent.
La flèche apparaissait le soir dans le ciel d'Ile-de France aux nuances pastel. Quand je venais de l'est, je la voyais surnager de l'entrelacs d'arcs absidiaux. Et sa droiture «irréprochable» (Péguy) rassurait. Elle était là. Le monde pouvait trembler, les institutions se détricoter, les bêtes disparaître. Au moins les flèches se fichaient-elles imperturbablement à la croisée des transepts. On se disait que Péguy avait raison: la flèche ne peut «faillir».(…)
Léon Bloy disait dans son journal « Dieu se retire». Il y a de cela dans l'image de l'incendie. Peut-être l'époque ne méritait-elle pas cette flèche. Elle ne s'est pas effondrée. Elle s'est soustraite au carnaval.(…). 
Après tout, une cathédrale est une châsse magique, élevée à l'Invisible. (…). Le miracle des cathédrales réside dans la poussée des forces par un système de compression des façades. Arcs-boutants, contreforts et pilastres empêchent l'accrétion. Sans eux, le fruit s'ouvrirait. Les flèches jaillissent en geyser, résultant de cette contention. Elles sont la résolution de l'équation de poussée. Péguy donnait dans ses poèmes une indication technique très valable: pour lui, la flèche s'élevait «d'un seul jaillissement». La flèche est un derrick. Au-dessous, la nappe d'hydrocarbures en dormance s'appelle la foi.
Je suis monté cent cinquante fois sur Notre-Dame, nuitamment, sans abîmer le moindre ornement, sans désagréger ni arceau ni moulure, prenant soin de ne laisser aucune trace. (…) Nous allions sur les tours, sur les coursives, en haut de la flèche. Paris se révélait, à nos pieds, illuminé par tout, endormi pour partie, faisant la fête ailleurs. (…) Quand il y avait du vent, le sommet de la flèche bougeait légèrement, car elle était de bois, souple, vivante, et ce mouvement était un peu vertigineux. Nous avions l'impression de nous tenir au mât. Il portait la nuit en drapeau. Parfois, je me croyais accroché à un métronome. La très légère oscillation battait la mesure du temps passé.
Nous redescendions à la corde, nous faisions des courtes pauses sous les arcs boutants et, au milieu de ce peuple de tarasques, de gargouilles et de créatures mêlé aux feuillages gothiques, nous nous demandions ce qu'un Parisien du XIIIe siècle pensait de ce vaisseau de pierre, surnageant plus haut que tout autre édifice. Sans doute devait-il trouver le monument accordé à son époque. La nôtre jamais n'élèvera un monument pour l'âme. Tout juste peut-elle convoquer ses techniciens pour s'occuper des décombres,
Je suis un mauvais chrétien, mais je suis chrétien. Je fus éduqué dans l'amour du Christ, j'ai conservé une vénération pour la chrétienté, mais contracté un scepticisme à l'encontre du christianisme, cette canalisation de la source évangélique. Pourtant, mes escalades étaient une prière. Dans les escarpements de Notre-Dame, habillés de vide et bordés par la nuit, je n'étais jamais seul.
En gagnant la base de la flèche, nous passions sous les statues des apôtres, le rétablissement était périlleux, mais le visage de Viollet-le-Duc, qui s'était fort modestement représenté en apôtre avec sa règle d'architecte à la main et regardait sa flèche dans un déhanchement bizarre, nous rassurait un peu: il y avait d'autres hommes avec nous pour escalader la nuit. (…)
Puis le glas a sonné dans Paris. Je l'entendis de chez moi. C’était après l'attentat de Charlie Hebdo, en janvier 2015, On se rendit compte que Dieu n'est pas rancunier. C'est le miracle chrétien (et c'est un miracle exclusivement chrétien). Un Ravachol sera toujours un enfant de Dieu et recevra les prières de ceux-là mêmes dont il se moquait. Ailleurs, sous la recommandation d'autres textes, on l’égorgerait. Chacun fait ce qu'il peut avec la grandeur.
Je m'étais fracturé le crâne et le dos en tombant d'un toit. Pour ma rééducation, les médecins m'avaient recommandé de faire de l'exercice. Fidèle, je retournais à Notre Dame. Cette fois par des chemins raisonnables, déjà tracés: les escaliers des tours. (…) En arrivant au sommet des tours, je sortais du boyau de l'escalier et le jour explosait. Paris était là, gris, bleu, veiné d'artères, bruissant, bourdonnant. Une ville est un tapis dont la cathédrale est la prière. (…) La cathédrale, elle, assurait sa garde, imperturbable. Mais pas infaillible.
Que signifie l'effondrement? (…) Et si l'effondrement de la flèche était la suite logique de ce que nous faisons subir à l'Histoire? L'oubli, le ricanement, la certitude de nous-mêmes, l'emballement, l'hubris, le fétichisme de l'avenir… et, un jour, les cendres. Peut-être un peuple va-t-il se porter au chevet de sa reine? Peut-être va-t-il se souvenir qu'il n'est pas né hier.

Extraits de l’article publié dans Le Point le 18 avril 2019.


 

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10 avril 2022 7 10 /04 /avril /2022 07:19
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29 mars 2022 2 29 /03 /mars /2022 23:41

vu en ce moment sur RMC Story

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25 mars 2022 5 25 /03 /mars /2022 18:36

 

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24 mars 2022 4 24 /03 /mars /2022 22:10

Lettre de liaison n° 134 (24 mars 2022)

Chers amis,

Pardonnez-nous de vous envoyer encore une lettre, mais l’actualité nous y contraint. Et le sujet est suffisamment grave pour y consacrer un peu de temps.
À la lecture de la lettre envoyée hier, certains se sont désolés de voir que, pour la dixième fois, les demandes de Notre-Dame n’étaient pas complètement satisfaites. Il ne faut pas voir les choses de façon aussi négative. Tel n’était absolument pas le but de cette lettre, et nous vous prions de nous excuser si elle a, à tort, découragé certains. Son objectif n’était pas de montrer les fruits qu’il est possible d’attendre de la consécration proposée par le Saint-Siège, mais de répondre à ceux qui avaient demandé si cette consécration répondrait aux demandes de Notre-Dame. La réponse est non. Mais malgré tout, cette consécration, telle qu'elle est prévue actuellement, est source d’un immense espoir.

Un acte aux qualités indéniables …

Outre que dans les heures qui viennent, les choses peuvent encore évoluer favorablement, jusqu’à présent aucun pape n’est allé aussi loin dans l’exécution des demandes de Notre-Dame.
La consécration proposée est bien une consécration de la Russie au Cœur Immaculé de Marie, même si la Russie n’est pas la seule à être nommée. C’est la deuxième fois que la Russie est nommément désignée : seul Pie XII l’a fait auparavant, le 7 juillet 1952. Toutes les autres fois, la Russie n’a été désignée que par une périphrase.

Ensuite, une demande de s’associer à cette consécration a bien été adressée à tous les évêques. Ce fut également le cas pour la consécration de 1984 : une lettre du pape, avec en pièce jointe le texte de la consécration de 1982, annonçait que, le 25 mars 1984, il renouvellerait à Rome la consécration de 1982, et demandait à tous les évêques de s’associer à cet acte : « Je vous saurai gré de bien vouloir, ce jour-là, renouveler cet acte en même temps que moi de la manière que chacun de vous jugera la plus adaptée ». Malheureusement, aucun acte de réparation ne fut demandé et il n’y eut aucune précision sur la façon de procéder. De plus, cette lettre eut très peu de retentissement, alors que l’annonce du 15 mars dernier a eu au contraire un retentissement important. Notamment, de nombreux évêques ont déjà fait savoir qu’ils participeraient. De nombreuses paroisses prévoient également de participer : il y a un véritable mouvement de la part des fidèles et des paroisses pour accompagner cette consécration, ce qui n’était pas le cas pour celle de 1984.

La suite ...

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19 mars 2022 6 19 /03 /mars /2022 17:10

Aujourd'hui, fête de Saint Joseph

Le Père Joseph-Marie Verlinde nous confie :

"Je vais vous faire une confidence : j’aime Saint Joseph !

J’en vois quelques-uns qui sourient malicieusement ! Mais savez-vous que l’opinion commune des théologiens, des saints et des papes est que Saint Joseph est le plus grand saint après Marie ?

Dès le IVe siècle, saint Grégoire de Nazianze écrivait :

« Le Seigneur a réuni en Joseph, comme dans un soleil, tout ce que les saints ont ensemble de lumière et de splendeur ».

Si telle est la dignité et la grandeur de Joseph, on reste perplexe devant la discrétion de la dévotion à ce saint patriarche ! Le plus glorieux semble le plus caché ; le pape Pie XI écrivait le 19 mars 1928 :

« Là où est plus profond le mystère, plus épaisse la nuit qui le recouvre et plus grand le silence, c’est justement là qu’est plus haute la mission et plus brillant le cortège des vertus requises ainsi que des mérites qui en découlent. Mission unique, très haute, celle de garder la virginité et la sainteté de Marie, celle d’entrer en participation du grand mystère caché aux yeux des siècles et de coopérer ainsi à l’incarnation et à la rédemption. »

La dignité suréminente de Saint Joseph vient de la part essentielle qu’il a prise dans le Mystère de l’Incarnation rédemptrice. Aucun saint n’a été aussi proche de Jésus et de Marie et aucun n’a vécu aussi longtemps dans leur intimité que Saint Joseph. Dire que les cœurs de Jésus, Marie et Joseph ne faisaient plus qu’un est beaucoup plus qu’une pieuse image : c’est la réalité profonde de leur vie quotidienne selon le dessein de Dieu.

Certes Joseph n’a pas eu, comme Marie, une part directe dans la conception de Jésus, mais celui-ci lui fut donné réellement comme fils. La psychologie nous a suffisamment démontré combien la place du père est essentielle dans l’édification de la conscience personnelle, et l’humanité très sainte de Jésus ne s’est pas soustraite à cette règle.

La suite...

 

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18 mars 2022 5 18 /03 /mars /2022 10:05


Première conférence en ligne de Famille Chrétienne,

à l'occasion de la sortie du hors-série "Cet islam qui bouscule les chrétiens".
 
Mehdi Djaadi (comédien et musulman converti), Marc Fromager (directeur de Mission Ismérie) et Samuel Pruvot (rédacteur en chef à Famille Chrétienne) débattront sur le thème :

Musulmans : frères amis ou frères ennemis ?
 
Le jeudi 24 mars de 20h30 à 21h30


Inscription gratuite

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