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Au milieu des paysages chers à Cézanne, Soeur Bénédicte va faire ses voeux perpétuels. Elle s'apprête à vivre cloîtrée dans une abbaye bénédictine surplombant la vallée de la Durance, à Jouques. Avec d'autres soeurs, elle consacrera ses journées au travail et à la prière. Cécile Besnault et Ivan Marchika nous invitent à vivre une expérience inédite, sans jugement ni parti pris.
Leur souffle 120`- UNE PRODUCTION SAJE 2019 - Réalisée par Cécile Besnault et Ivan Marchika
La Chandeleur (fête des chandelles) est une ancienne fête païenne et latine, devenue ensuite une fête religieuse chrétienne correspondant à la présentation de Jésus au Temple et sa reconnaissance par Syméon comme « Lumière qui se révèle aux nations ».
Cette fête se déroule le 2 février, soit 40 jours après Noël.
Pourquoi les crêpes? Les crêpes avec leur forme ronde et leur couleur dorée rappelleraient le Soleil enfin de retour après la nuit de l'hiver, ce qui expliquerait que l'on confectionne des crêpes à la Chandeleur, moment de l'année où les jours s'allongent de plus en plus vite. C’est également en cette période que les semailles d’hiver commençaient. On se servait donc de la farine excédentaire pour confectionner ces crêpes, symbole de prospérité pour l’année à venir.
Extrait de Wikipedia
« Savez-vous bien qui est Don Bosco ? Pour moi, plus je l'étudie et moins je le comprends. Je le vois simple et extraordinaire ; humble et grand ; pauvre et travaillé de vastes pensées, de projets en apparence irréalisables... ; et avec tout cela, constamment traversé dans ses desseins et comme incapable de mener à bien ses entreprises... Pour moi, Don Bosco est un mystère. Si je n'avais la certitude qu'il travaille pour la gloire de Dieu, que Dieu seul le conduit, que Dieu seul est la fin de tous ses efforts, je le taxerais d'imposteur, d'hypocrite, d'homme dangereux, pour ce qu'il laisse deviner plus encore que pour ce qu'il dit ... : Je vous le répète, pour moi, D. Bosco est un mystère : LAISSEZ-LE FAIRE. »
Vu ICI
A vos commentaires. Sans langue de buis, de bois, de coton , mais courtoisement 😉
C'était hier ...
Paul était Juif, de la tribu de Benjamin ; il naquit à Tarse, en Cilicie, dont les habitants étaient considérés comme citoyens romains. Son attachement aux traditions de ses pères, sa haine contre les chrétiens, sa présence au supplice de saint Étienne, son acharnement à poursuivre les disciples de Jésus-Christ, à les traîner en prison, à les battre, ont poussé les interprètes de l'Écriture à voir en lui la réalisation de la prophétie de Jacob, concernant son fils Benjamin : « Benjamin est un loup ravisseur. » Mais une hymne chrétienne a heureusement complété l'application de la prophétie, en disant : « Le loup ravisseur s'est changé en agneau. »
Saul (c'était le premier nom du grand Apôtre) approchait de Damas, où il allait persécuter les chrétiens, accompagné de soldats et d'émissaires de la synagogue de Jérusalem, quand tout à coup il fut renversé à terre par une force invisible. Une éblouissante clarté l'environna et une voix lui dit : « Saul, pourquoi me persécutes-tu ? - Qui es-tu, Seigneur ? -- Je suis Jésus, que tu persécutes. -- Seigneur, que veux-tu que je fasse ? -- Lève-toi, entre dans la ville, et là tu apprendras ce que tu dois faire. » Saul était devenu aveugle ; ses compagnons le conduisirent à Damas. Un serviteur de Dieu, nommé Ananias, averti en songe, alla le trouver, lui rendit la vue et lui conféra le baptême.
Dès lors, Saul, devenu Paul, n'est pas seulement un converti, un chrétien, c'est un apôtre, c'est l'Apôtre par excellence, qui étonnera le monde et fera l'admiration des siècles par ses écrits sublimes et inspirés, par ses saintes audaces, ses travaux, les merveilles de son apostolat et la gloire de son martyre.
Que de leçons dans cette conversion étrange et foudroyante ! Nous y voyons la puissance toute divine de la grâce à laquelle rien ne résiste ; la sagesse de Dieu qui se plaît à confondre la fausse sagesse du monde ; la miséricorde inénarrable du Seigneur, qui ne rebute personne et peut faire du plus grand des pécheurs le plus insigne des saints. Ne désespérons jamais du salut de personne, tout est possible à la prière et à la grâce. Nous ne comprendrons bien qu'au Ciel quelle a été l'influence de la prière dans le monde et combien de pécheurs devront leur salut à l'intercession des justes. Saint Augustin a dit fort justement : « Si Étienne n'avait pas prié, nous n'aurions pas saint Paul ! »
Pour approfondir, on peut lire la Catéchèse du Pape Benoît XVI : >>> La conversion de Paul
Évangile selon saint Jean 2,1-11.
En ce temps-là, il y eut des noces à Cana de Galilée, et la mère de Jésus était là. |
Jésus fut aussi convié aux noces avec ses disciples. |
Le vin étant venu à manquer, la mère de Jésus lui dit : "Ils n'ont plus de vin." |
Jésus lui répondit : "Femme, qu'est-ce que cela pour moi et pour vous ? Mon heure n'est pas encore venue." |
Sa mère dit aux serviteurs : "Faites tout ce qu'il vous dira." |
Or, il y avait là six urnes de pierre destinées aux ablutions des Juifs et contenant chacune deux ou trois mesures. |
Jésus leur dit : "Remplissez d'eau ces urnes." Et ils les remplirent jusqu'au haut. |
Et il leur dit : "Puisez maintenant, et portez-en au maître du festin". Et ils en portèrent. |
Dès que le maître du festin eut goûté l'eau changée en vin (il ne savait pas d'où venait ce vin, mais les serviteurs qui avaient puisé l'eau le savaient), il interpella l'époux et lui dit : |
"Tout homme sert d'abord le bon vin, et après qu'on a bu abondamment, le moins bon ; mais toi, tu as gardé le bon jusqu'à ce moment." |
Tel fut, à Cana de Galilée, le premier des miracles que fit Jésus, et il manifesta sa gloire, et ses disciples crurent en lui. Extrait de la Bible catholique traduite par le chanoine Crampon |
L'Épiphanie est la fête chrétienne qui célèbre le Messie venu et incarné dans le monde, et qui reçoit la visite et l'hommage de trois rois mages. Elle a lieu le 6 janvier.
C'est aussi ICI.
L'Évangile selon Matthieu (2:16-18) relate l'épisode :
« Alors Hérode, voyant qu'il avait été joué par les mages, se mit dans une grande colère, et il envoya tuer tous les enfants de deux ans et au-dessous qui étaient à Bethléem et dans tout son territoire, selon la date dont il s'était soigneusement enquis auprès des mages. Alors s'accomplit ce qui avait été annoncé par le prophète Jérémie : 'Ainsi parle l'Éternel : On entend des cris à Rama, des lamentations, des larmes amères ; Rachel pleure ses enfants ; elle refuse d'être consolée sur ses enfants, car ils ne sont plus. »
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Fête de la Sainte Famille
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La Fête de Saint-Nicolas, vers 1660, Jean Steen (Amsterdam, Rijksmuseum). Dans ce tableau, Jan Steen raconte ce qui se passe et évoque les diverses émotions suscitées par cette fête. La petite fille serre fermement dans ses bras sa nouvelle poupée à l’image de saint Jean-Baptiste qu’elle vient de recevoir – selon la croyance populaire, saint Jean protége les enfants de la maladie -. Un seau rempli de bonbons et de jouets pend à son bras. Manifestement, elle n’est pas prête à s’en séparer… Grand frère pleure. Derrière lui, la servante montre ce qu’il a reçu : une chaussure d’où sortent des petites banches mortes. Son frère cadet, qui lui, a bien reçu un cadeau, le montre du doigt en se moquant de lui. Mais peut-être la grand mère, qui fait un signe à l’arrière plan, apportera-t-elle un peu de consolation : y aurait-il quelque chose de caché derrière le rideau ?
La fête de Saint-Nicolas (6 décembre) est une importante fête familiale. La veille, le saint généreux descend par la cheminée et dépose des petits cadeaux et des friandises aux enfants sages. Ceux qui espèrent recevoir quelque chose y déposent un soulier. À l’époque de Steen, cette fête « catholique » fut abolie par l’Église réformée, qui rejetait le culte des saints. Ainsi, dans bon nombre de villes, il était interdit de cuire des biscuits à l’image du saint homme. Steen étant lui-même catholique.
Le texte complet est ICI.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 18,33b-37.
En ce temps-là, Pilate appela Jésus et lui dit : « Es-tu le roi des Juifs ? » |
Jésus lui demanda : « Dis-tu cela de toi-même, ou bien d’autres te l’ont dit à mon sujet ? » |
Pilate répondit : « Est-ce que je suis juif, moi ? Ta nation et les grands prêtres t’ont livré à moi : qu’as-tu donc fait ? » |
Jésus déclara : « Ma royauté n’est pas de ce monde ; si ma royauté était de ce monde, j’aurais des gardes qui se seraient battus pour que je ne sois pas livré aux Juifs. En fait, ma royauté n’est pas d’ici. » |
Pilate lui dit : « Alors, tu es roi ? » Jésus répondit : « C’est toi-même qui dis que je suis roi. Moi, je suis né, je suis venu dans le monde pour ceci : rendre témoignage à la vérité. Quiconque appartient à la vérité écoute ma voix. » |
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
Oui mais ... le Christ est-il (vraiment) Roi ? Quelle sorte de royauté ???
Saint François accompagné d’un frère à gauche, un arbre magnifique à droite (on dit que c’est un des plus beaux arbres qu’ait peint Giotto), les oiseaux attentifs tête levée vers le Saint. Mais regardons bien : le centre géométrique du tableau est un grand vide comme un carré entre les personnages, l’arbre, la ligne d’horizon et le sol : un oiseau descend de cet arbre pour rejoindre ses congénères. La main droite de François montre cet oiseau, sa gauche s’incline en un geste de douceur vers le sol couvert de petits êtres attentifs ; il semble esquisser un geste de bénédiction. L’essentiel de cette fresque est bien cet espace central, non pas vide, mais lieu de résonance des chants d’oiseaux et des paroles du Saint. Giotto nous fait entendre par l’image ce que nos oreilles ne savent plus entendre.