Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Recherche

10 mars 2007 6 10 /03 /mars /2007 09:51

Pour prendre une décision, il faut être un nombre impair.

Et trois, c'est trop.

Georges Clemenceau.

Partager cet article
Repost0
10 mars 2007 6 10 /03 /mars /2007 00:16

pour être informé des nouveaux articles....

ayez le réflexe "Newsletter" !

(colonne de droite)

Et votre avis est le bienvenu.

Partager cet article
Repost0
9 mars 2007 5 09 /03 /mars /2007 00:20



Pour les femmes et ceux qui les respectent pour tout ce qu'elles font ...

Un petit garçon demande à sa mère :
" Pourquoi pleures tu ? "
" Parce que je suis une femme " lui répond elle.
" Je ne comprends pas " dit il.
Sa mère l'étreint et lui dit " Et jamais tu n'y arriveras "
Plus tard le petit garçon demanda à son père:
" Pourquoi maman pleure-t'elle ? Je ne comprends pas ... "
"Toutes les femmes pleurent sans raison" fut tout ce que son père put lui dire.
Devenu adulte, il demanda à Dieu :
" Seigneur, pourquoi les femmes pleurent-elles aussi facilement?! "
Et Dieu répondit :
" Quand j'ai créé la femme, elle devait être spéciale.
J'ai fait ses épaules assez fortes pour porter le poids du monde et assez douces pour être confortables.
Je lui ai donné la force de donner la vie et celle d'accepter le rejet qui vient souvent des enfants.
Je lui ai donné la force pour lui permettre de continuer quand tout le monde abandonne.
Celle de prendre soin de sa famille en dépit de la maladie et de la fatigue.
Je lui ai donné la sensibilité pour aimer ses enfants d'un amour inconditionnel même quand ces derniers l'ont blessée durement.
Je lui ai donné la force de supporter son mari dans ses défauts et de demeurer à ses côtés sans faiblir.
Et finalement je lui ai donné des larmes à verser quand elle en ressent le besoin.
Tu vois mon fils, la beauté d'une femme n'est pas dans les vêtements qu'elle porte, ni dans son visage, ou dans la façon de se coiffer. La beauté d'une femme réside dans ses yeux.
C'est la porte d'entrée de son coeur. La place où l'amour réside. Et c'est souvent par ses larmes que tu vois passer son coeur. "

Envoyez cela à toutes les femmes que vous connaissez.
Encouragez l'estime de soi d'une autre femme !
Faites savoir que toutes les femmes sont belles ....

Partager cet article
Repost0
7 mars 2007 3 07 /03 /mars /2007 22:30

François Mougenot, avec impertinence et drôlerie, mais aussi un talent de pasticheur certain, a décliné le thème de La cigale et la fourmi, à la manière de nombreux auteurs de théâtre ou de cinéma : en détournant des scènes fameuses de Molière (La fourmisanthrope), Racine (Cigallicus), Shakespeare (Un compte d’hiver) , Beaumarchais (La froide journée), Labiche (-9° à l’ombre), Feydeau (Un grain à la patte), Rostand (Cigalo de Bergerac) et plus près de nous d’Audiard (Les fourmis flingueuses) ou de Pagnol (Cigalou), sans oublier quelques clins d’œil obligés aux séries TV, mais aussi en pastichant allègrement quelques morceaux de bravoure de la poésie empruntés à Verlaine, Apollinaire, Ronsard, Rimbaud, Prévert, Du Bellay, Baudelaire, Hugo (La légende du grain) ou Lamartine (Le sac).

Dans cette comédie joyeuse, enlevée, aux multiples facettes, c’est l’auteur lui-même qui interprète le rôle de la fourmi, tandis que son frère, Jacques Mougenot (auteur et interprète de L’affaire Dussaert qui triompha au petit Hébertot en 2006) interprète le rôle de la cigale, et assure également la mise en scène du spectacle (dont il a par ailleurs écrit les couplets chantés). C’est donc à un exercice de style théâtral, à un numéro de transformiste verbal, à une sorte de zapping amusé du patrimoine culturel, que se livrent les deux comédiens rompus à tous les registres du répertoire classique et moderne ; car le spectacle fait la part belle au jeu de l’acteur et se veut (comme on le dit souvent des pastiches pour en excuser l’irrévérence) : un hommage jubilatoire, ironique et tendre à la langue française et plus particulièrement au théâtre.

Le spectateur pourra par ailleurs se livrer au jeu de reconnaître les morceaux détournés car les références sont nombreuses et titilleront constamment sa mémoire en réveillant parfois de lointains souvenirs d’écolier... Quant aux spectateurs moins avertis, ils goûteront simplement le plaisir du théâtre, celui d’assister à cette pièce éternelle, mais toujours d’actualité, qui se joue chaque hiver depuis Esope, entre la Cigale et la Fourmi ! Un spectacle roboratif, de quoi subsister jusqu’à la saison nouvelle.

en ce moment au Petit Hébertot à Paris    http://www.theatrehebertot.com/

Partager cet article
Repost0
6 mars 2007 2 06 /03 /mars /2007 22:29

 

C'est une demande du rabbin de New York :

 

"Aucun autre pape a été aussi magnanime avec les Juifs. Toute la génération des survivants de l'Holocauste témoigne que Pie XII a été authentiquement et profondément un "juste". [...] Pie XII fut l'une des personnalités les plus critiques envers le nazisme. Sur 44 discours que Pacelli a prononcés en Allemagne entre 1917 et 1929, 40 dénoncent les dangers imminents de l'idéologie nazie. En mars 1935, dans une lettre ouverte à l'évêque de Cologne, il appelle les nazis "faux prophètes à l'orgueil de Lucifer". [...] Sa première encyclique en tant que pape, "Summi pontificatus", de 1939, était si clairement anti-raciste que les avions alliés en lâchèrent des milliers de copies sur l'Allemagne pour y nourrir un sentiment anti-raciste."

 

Qui osera encore parler du "silence" de Pie XII ?

 

Michel Janva

www.lesalonbeige.blogs.com

Posté le 4 mars 2007 à 14h31 | Lien permanent | Commentaires (10)

Partager cet article
Repost0
6 mars 2007 2 06 /03 /mars /2007 21:27

Le mot de pessimisme n'a pas plus de sens à mes yeux que le mot d'optimisme, qu'on lui oppose généralement. Ces deux mots sont presque aussi vidés par l'usage que celui de démocratie, par exemple, qui sert maintenant à tout et à tout le monde, à M. Staline comme à M. Churchill.
Le pessimiste et l'optimiste s'accordent à ne pas voir les choses telles qu'elles sont.
L'optimiste est un imbécile heureux, le pessimiste un imbécile malheureux.
Vous pouvez très bien vous les représenter sous les traits de Laurel et Hardy...

Bernanos

Partager cet article
Repost0
6 mars 2007 2 06 /03 /mars /2007 20:54

 

IN MEMORIAM

Le 6 mars 1906 mourait, dans l'église de Boeschèpe en Flandre française, Géry Ghysel, tué par les balles de la République laïque à l'occasion des inventaires pour avoir défendu l'honneur de Dieu et de l'Eglise.

La tombe de Gery Ghysel est toujours visible dans le cimetière.

Vous pouvez commander "Inventaires sanglants en Flandre", l'ouvrage écrit par le jeune historien Jean Vallier à l'occasion du centenaire de cet évènement majeur dans les Flandres françaises, publié aux éditions Renaissance Catholique Publications pour la somme de 10E (+3E de frais d'envoi) en écrivant à : Renaissance Catholique, 89 rue Pierre Brossolette 92130 Issy-les-Moulineaux (Chèques à l'ordre de Renaissance Catholique Publications)

Partager cet article
Repost0
5 mars 2007 1 05 /03 /mars /2007 21:13

 

 

… Me revient une réflexion d'Agatha Christie, moraliste trop négligée, et même philosophe à ses heures. Comme souvent, elle parle ici (un roman de 1956) par la voix d'Hercule Poirot, homme d'ordre qui s'en laisse rarement conter : «Je n'ai pas oublié, dit-il, la phrase qu'on lisait, pendant la guerre, dans les couloirs du métro: "Tout dépend de vous." Je ne sais quel éminent prédicateur en était l'auteur, mais j’y ai toujours vu l'expression d'une doctrine dangereuse. Car ce n'est pas vrai (Agatha souligne vrai). Tout ne dépend pas de Mme Tartempion de Trifouillis-les-Oies. Et si elle vient à le penser, elle n'en retirera rien de bon. Car pendant qu'elle s'interrogera sur le rôle qu'elle peut jouer dans les affaires de la planète, son gamin se renversera la casserole d'eau bouillante sur la tête. »

 Comme l'interlocuteur britannique d'Hercule Poirot s'étonnait de propos si peu conformes à la morale de l'irresponsabilité personnelle et de l'attention universelle due aux Autres, il lui demanda de résumer ses idées en une devise. La réponse fusa: «Je n'ai nul besoin de m'en forger. Il en est une, très ancienne et bien de chez vous, qui me convient tout à fait. 

-Laquelle ?

- « Aie confiance en Dieu et garde ta poudre au sec. » 

Dominique Venner, extrait de son éditorial de « La Nouvelle Revue d'Histoire »

 

  http://www.n-r-h.net/ 

 

Partager cet article
Repost0
4 mars 2007 7 04 /03 /mars /2007 16:14

 

Carême et santé *, par le Dr Jean-Pierre Willem  

Résumé : Le Mardi Gras avec ses carnavals marque la fin de la saison froide aux longues nuits. Lui succèdent quarante jours de restrictions alimentaires qui, à la différence du Ramadan, ont un double sens: maîtrise d'un corps en attente de la résurrection, d'une part ; mais aussi acte thérapeutique préventif. En puisant dans ses réserves, le corps se met en acidose, et nous savons depuis 1923 qu'en terrain acide le cancer ne peut se développer.

 

L'hiver a été long, accompagné de son cortège de désagréments : froid, pluie, ciel bas. De surcroît, bon nombre de personnes ont souffert de dépressions saisonnières ; on l'a d'ailleurs observé dans leur regard triste, absent voire indifférent.

Cependant, il est à noter que de tout temps, l'Homme a imaginé en cette période de l'année des fêtes populaires, majestueuses et grandioses qui surent donner lieu à une très grande libération émotionnelle consécutive à ces durs temps. A l'occasion de ces carnavals, avec leurs tambours, leurs trompettes, leurs déguisements et leurs danses,  les communautés trouvent à se rassembler, se réconcilier, échanger, et se toucher.

Bref, la cohésion du groupe se rétablit à nouveau.

Pour l'heure, une toute autre période commence alors que la terre est encore endormie. Elle va durer quarante jours. Celle-ci commence par le "Mardi Gras", dernier jour de bombance. Le lendemain, c'est le jour des Cendres : " Souviens-toi que tu es poussière et que tu retourneras en poussière".

Le Carême, que les chrétiens commencent ce mercredi, reproduit comme en calque la préparation juive de la Pâque, quarante jours avant la fête religieuse, et rappelle aussi les quarante jours de jeûne du Christ dans le désert.

Durant cette quarantaine, une longue période d'abstinence est prescrite avec notamment la pratique du jeûne. Tandis que les musulmans viennent d'achever le ramadan, les chrétiens attaquent cette période salutaire. Il faut avant tout éviter un rapprochement inexact car le carême chrétien a peu de choses en commun avec le ramadan musulman. Si celui-ci est une période d'ascèse diurne, consistant à offrir à Dieu la maîtrise du corps et des sens, le carême chrétien constitue, quant à lui, la préparation au temps douloureux de la Passion et glorieux de la Résurrection du Seigneur. L'un se suffit à lui-même, tandis que l'autre n'a de sens, pour ainsi dire, que précisément parce qu'il aboutit à la Semaine Sainte. Le christianisme n'accepte pas l'ascèse comme une fin en soi. Celle-ci se retrouve comme un moyen ; elle est toujours mobilisée pour se préparer à "retourner" vers le Seigneur et à sa manifestation de gloire comme voie la plus parfaite.

Au delà de ces rituels saisonniers, se trouve une autre réalité, de nature sanitaire, qui n'est pas sans être complémentaire de la réalité religieuse. En effet, ceux qui ont respecté cette réduction alimentaire auront écarté de grosses pathologies dégénératives. Le fait de puiser dans leurs réserves métaboliques a mis leur terrain en acidose.

Pour illustration, on recense sur l'île japonaise d'Okinawa le plus grand nombre de centenaires au monde. Ces habitants s'adonnent à une habitude culturelle appelée "hara hochibu ", consistant à ne s'alimenter qu'à 80% des normes habituelles, et tout cela dans la joie et la convivialité.

En 1923, Otto Warburg a obtenu le prix Nobel de médecine pour avoir mis en évidence cette corrélation : un cancer et un infarctus ne peuvent se développer en présence du métabolisme en acidocétose**. En outre, le bio-électronimètre de Vincent le prouve sous forme d'un diagramme qui définit 4 terrains distincts.

Il est désormais scientifiquement prouvé qu'un terrain acide ne laisse pas aux cancers, infarctus et virus la possibilité de se développer.

Derrière l'aspect religieux du ramadan, du carême et du Yom Kippour, les peuples disposent d'une stratégie merveilleuse pour se maintenir en bonne santé. Il reste à expliquer aux pratiquants des trois religions monothéistes cette équation biochimique (jeûne=santé) pour qu'ils découvrent la dimension sanitaire de cette période d'abstinence. A l'occasion du lancement du Plan Cancer en France, nos universitaires et politiciens devraient s'inspirer de cette approche culturelle.

Lu dans " Le Cep"  n°30.  1er trimestre 2005

*Repris de Bourgeons et Traditions, lettre d'information de l'Association « Médecins aux pieds nus » (n°42, 1er trimestre 2004).

**Ndlr. Le Dr Gernez a réactualisé ces travaux

Partager cet article
Repost0
4 mars 2007 7 04 /03 /mars /2007 10:51
 
Voyons ce que nous dit saint François de Sales à ce sujet. Il a un grand réalisme spirituel :
« Vous me demandez comment vous pouvez faire pour bien affermir vos résolutions et faire qu'elle aboutissent. Il n'y a qu'un seul moyen. C'est de les mettre en pratique. Mais vous me dites que vous demeurez toujours si faible. Qu'encore que vous fassiez souvent de fortes résolutions de ne pas tomber dans l'imperfection que vous désirez de vous amender, l'occasion se présentant, vous ne laissez pas de donner du nez en terre. Il faut donc que nous ayons deux égales résolutions. L'une de voir croître de mauvaises herbes en notre jardin (c'est-à-dire en notre âme), l'autre d'avoir le courage de les arracher et de les arracher nous même. »
   
Il ne faut donc pas se leurrer. Dans la vie intérieure, il y a un combat intérieur, un combat spirituel. Et ces 40 jours de carême, ce n'est pas 40 jours dans lesquels nous entrons avec tristesse, c'est 40 jours dans lesquels nous entrons avec joie. Souvent nous nous disons : « Pff ? carême, phase difficile ! » Or nous devrions plutôt le voir comme 40 jours de joie, car 40 jours pour la paix de l'âme ; 40 jours pour se refaire une santé spirituelle. C'est aussi 40 jours pour se refaire un plan de vie.
Partager cet article
Repost0
3 mars 2007 6 03 /03 /mars /2007 17:37

 

Avec le caractère implacable d'une obsession, et par des mécanismes spirituels et psychologiques qui demeurent un mystère impénétrable, le Carême semble voué à la cohabitation avec le chocolat. L'avez-vous remarqué? Pour bon nombre de chrétiens, la démarche essentielle du Carême consiste dans la privation (ou la tentative de privation!) de cette friandise. Mais comment faisait-on avant là découverte de l'Amérique?

 Soyons sérieux, quand même! N'est-ce pas très sérieux de constater qu'au fond, le temps du Carême se résume à une démarche aussi limitée et, disons-le franchement, puérile? Serait-ce par pudeur et humilité que nous cacherions notre ascèse et notre « montée vers Jérusalem et le Golgotha » par de tel propos? Le chocolat serait comme ce parfum dont Notre-Seigneur demande de s'asperger afin de masquer le jeûne et les privations? Si c'était le cas, bravo pour cette humilité et cette discrétion tout évangéliques.

 Mais, hélas, ceci reflète d'abord l'idée que Carême rime avec privation et tristesse! « Il faut mourir» dit la légende noire. Or, on peut parler ici d'illusion, de phantasme, probablement suscité par l'Adversaire pour nous détourner subtilement d'une occasion privilégiée de grandir dans notre relation avec Dieu.

 Qu'est-ce donc que l'ascèse chrétienne?

 Saint Grégoire de Nysse nous le rappelle : « ... c'est la restauration en son état primitif de l'image de Dieu, cachée pour le moment sous la souillure de la chair... C'est revenir à ce qu'était le premier homme en son premier état de vie... parcourir en sens inverse les étapes par lesquelles nous sommes sortis du Paradis avec notre premier père» (1).

 Nous sommes ainsi remis dans la vraie direction. L'ascèse, démarche théologique et non morale, consiste à se détacher d'un fardeau qui nous empêche d'être nous-mêmes. C'est vider notre sac trop lourd pour marcher plus légèrement et plus facilement vers le but. Ce n'est donc pas une amputation qui nous arracherait quelque chose, mais l?acquisition d'une liberté. Qui ne souhaite marcher plus vite et plus sûrement vers Dieu?

 Ensuite, tout est affaire de vocation et de circonstances. Nul doute que la privation: de nourriture, dans un monde occidental gavé jusqu'à l'écoeurement, ne puisse constituer un pan important de la démarche de conversion. Pourquoi ne pas y inclure le chocolat, tout en reconnaissant que nous sommes soumis à bien d'autres esclavages et dépendances. Gardons au coeur la finalité essentielle: écarter les obstacles à l'amour de Dieu.

 Le père de Caussade, grand directeur spirituel du XVIIe siècle, invitait ainsi un de ses correspondants : «  Faites là-dessus ce que vous sentez et jugez avoir besoin, en [toute] simplicité, pourvu que les passions intérieures soient bien rangées à la patience, à la soumission et abandon total à Dieu, à la douceur et à l'humble support du prochain: voilà l'essentiel, voilà les vertus qui nous sauvent» (2).

 Abbé Hervé Benoît, prêtre du diocèse de Bourges

 avec l'autorisation du mensuel « La Nef », 2 cour des Coulons 78810 Feucherolles 

 (1) Grégoire de Nysse,  traité de la virginité, Paris, 1944, p. 90s.

 (2) J. P. de Caussade, Lettre 46 (éd. Olphe-Galliard)

Partager cet article
Repost0
26 février 2007 1 26 /02 /février /2007 23:37

 

Les enfants de Don Quichotte ont un père :

Don Quichotte, alias François Legrand....

visitez donc son site : http://www.francois-legrand.com/

Partager cet article
Repost0
26 février 2007 1 26 /02 /février /2007 23:20
KFC : un menu spécial Carême

Kfc Bonne idée : la chaîne américaine de restauration rapide KFC a lancé le jour du Mercredi des Cendres un nouveau sandwich au poisson , en particulier à destination des catholiques.

Moins bonne idée : le président de KFC a écrit au Pape pour lui demander de recommander ce produit...

Henri Védas

http://www.lesalonbeige.blogs.com/

Posté le 25 février 2007 à 16h20 | Lien permanent | Commentaires (5)

Partager cet article
Repost0
25 février 2007 7 25 /02 /février /2007 21:23

Pour les cinéphiles, voici la liste des 21 choses qui n'arrivent que dans les films américains :



1. Dans une maison hantée, les femmes recherchent l'origine des bruits étranges en portant leurs plus beaux sous-vêtements.
2. Pourchassé dans une ville, vous aurez toujours la chance de pouvoir vous dissimuler au milieu d'un défilé de la Saint Patrick, n'importe quel jour de l'année.
3. Tous les lits ont des draps spéciaux qui s'arrêtent au niveau des aisselles de la femme mais seulement au niveau de la taille de l'homme allongé à ses côtés.
4. N'importe qui peut facilement faire décoller un avion, pourvu qu'il y ait quelqu'un dans la tour de contrôle pour lui donner l'autorisation de partir.
5. Le système de ventilation de n'importe quel bâtiment est le parfait endroit pour se cacher. Là, personne ne pensera à vous trouver et en plus vous pourrez accéder a toutes les pièces de l'édifice sans aucun problème.
6. Tu survivras très probablement à toutes les guerres à moins que tu ne commettes la fatale erreur de montrer à quelqu'un la photo de ta bien-aimée qui t'attend sagement à la maison.
7. Un homme se prendra les plus terribles coups sans broncher, mais sursautera quand une femme tentera de nettoyer ses blessures.
8. Le chef de la police est toujours Noir.
9. Au moment de payer le taxi, ne regardes jamais dans ton portefeuille pour sortir un billet : prends un billet un au hasard et tends-le : C'est toujours le prix exact.
10. Les cuisines ne sont pas équipées de lumières. Quand vous pénétrez dans une cuisine en pleine nuit, ouvrez le frigo et utilisez sa lumière à la place.
11. Pendant une enquête de police il faut forcément passer au moins une fois dans un club de strip-tease.
12. Une simple allumette suffit pour éclairer une pièce de la taille d'un terrain de foot.
13. Même si vous conduisez sur une avenue parfaitement droite, il est nécessaire de tourner vigoureusement le volant de droite à gauche de temps en temps.
14. Un homme visé par 20 hommes a plus de chance de s'en sortir que 20 hommes visés par un seul.
15. La majorité des gens gardent un album rempli de coupures de journaux; particulièrement si un membre de leur famille est mort dans un étrange accident de bateau.
16. Ne vous tracassez pas si vous êtes en nette infériorité numérique dans un combat d'arts martiaux: vos ennemis attendent patiemment de vous attaquer un a un, en dansant d'une manière menaçante autour de vous, jusqu'à ce que leur prédécesseur soit au sol                                                                                                        

 17. Lors d'une conversation très émouvante, au lieu de parler en regardant votre interlocuteur, placez-vous derrière lui et parlez à son dos.                                             

18. S'il y a un malade mental psychopathe en fuite, cela coïncide en général avec un orage qui coupe le courant et les communications téléphoniques dans les parages. (pratique pour les prévisions météo).
19. On peut jouer de la plupart des instruments de musique surtout les instruments à vent et les accordéons sans avoir à bouger les doigts.
20. Toutes les bombes sont connectées a un chronomètre à gros affichage rouge, afin que tu puisses savoir exactement quand il est temps de te tirer.
 21. On peut toujours se garer en bas de l'immeuble ou l'on veut aller.

Partager cet article
Repost0
25 février 2007 7 25 /02 /février /2007 21:02

A la fin du XIX° siècle, à Santa-Fé (Nouveau Mexique, Etats-Unis), un mystérieux charpentier réalise un escalier à la tenue inexplicable.

Parmi les miracles reconnus, ceux qui sont attribués à Saint Joseph sont rares. L'Escalier de Santa Fé, malgré la prudence des uns et l'hostilité des autres, est pourtant toujours debout : inexplicable, étonnant, magnifique. Il continue de susciter, selon les sensibilités, l'admiration ou le doute dont la controverse s'alimente.

 

  

trouvé sur  http://www.christ-roi.net/index.php/L%27escalier_de_Santa_Fe#Introduction#Introduction

Partager cet article
Repost0
25 février 2007 7 25 /02 /février /2007 13:32

   

L'Evangile de ce jour (Lc11, 1-4) nous rappelle ce beau passage où le Christ nous apprend le Pater.

A cette occasion, il nous a semblé bon de nous souvenir de l'abbé Jean Carmignac (1914-1986), grand exégète, qui combattit toute sa vie pour une juste traduction du Pater.

Et particulièrement de la sixième demande, « et ne nos inducas in tentationem », traduite actuellement par « et ne nous soumets pas à la tentation ».

(À propos du texte latin Jean Carmignac explique que ce n'est qu'un décalque d'une tournure latino-grecque, et qu'il faut la comprendre à travers l'original sémitique). (?)

Or cette formule est inadmissible, blasphématoire même ne craint pas d'écrire l'abbé Carmignac, suivant en cela certains anciens Pères.

« Si Dieu exerce le moindre rôle positif dans la tentation, il ne peut plus être infiniment saint, puisqu'il contribue par la tentation à inciter au péché, et il ne peut plus être infiniment bon, puisqu'il contribue à entraîner ses enfants de la terre vers le plus grand des malheurs ».

Et, faisant appel à l'« analogie de la foi » l'abbé Carmignac s'appuie sur la Bible, épître de saint Jacques (1, 13) : « Que nul ne dise, s'il est tenté, `c'est Dieu qui me tente' ».

Alors comment traduire ? L'abbé Carmignac se réfère à la place de la négation dans la phrase, il faut comprendre « et fais que nous n'entrions pas dans la tentation », ou peut-être mieux, « et garde-nous d'entrer dans la tentation », formule qui a l'avantage de garder le même nombre de pieds (12) que « et ne nous soumets pas à la tentation » , ce qui permettrait de l'insérer sans frais dans le Pater chanté en français.

L'association des amis de l'abbé Carmignac (1) a proposé cette dernière formule aux évêques de France.

Extraits de l'article de Roger Le Masne dans L'Homme Nouveau du 1 avril 2006

    

 (1) Association des Amis de l'Abbé Carmignac, 

Le site Association Jean Carmignac

Partager cet article
Repost0
23 février 2007 5 23 /02 /février /2007 19:26

Toi, quand tu pries, retire-toi dans ta chambre, ferme sur toi la porte, et prie ton Père qui est là, dans le secret ; et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra. Dans vos prières, ne rabâchez pas comme les païens : ils s'imaginent qu'en parlant beaucoup ils se feront mieux écouter. N'allez pas faire comme eux ; car votre Père sait bien ce qu'il vous faut, avant que vous le lui demandiez.

Évangile selon saint Matthieu (6,6-8)

Partager cet article
Repost0
22 février 2007 4 22 /02 /février /2007 20:41

Mercredi des Cendres
Mon Dieu, je suis là !

J’ai lu quelque part : « Dieu existe, je l’ai rencontré ! ». Ca alors ! Ca m’étonne ! Que Dieu existe, la question ne se pose pas !
Mais que quelqu’un l’ait rencontré, avant moi, voilà qui me surprend ! Parce que j’ai eu le privilège de rencontrer Dieu, juste à un moment où je doutais de lui.
Dans un petit village de Lozère abandonné des hommes, il n’y avait plus personne et en passant devant la vieille église, poussé par je ne sais quel instinct, je suis entré.
Et là, j’ai été ébloui… par une lumière intense… insoutenable. C’était Dieu… Dieu en personne, Dieu qui priait ! Je me suis dit : « Qui prie-t-il ? Il ne se prie pas lui-même ! Pas lui ! Pas Dieu, non ! »
Il priait l’homme, il me priait, moi ! Il doutait de moi comme j’avais douté de lui... Il disait : « O homme, si tu existes, un signe de toi ! »

J’ai dit – « Mon Dieu, je suis là ! » Il a dit – « Miracle, une humaine apparition ! »
Je lui ai dit : « Mais, mon Dieu, comment pouvez-vous douter de l’existence de l’homme, puisque c’est vous qui l’avez créé ? »
Il m’a dit : « Oui… Mais il y a si longtemps que je n’en ai pas vu dans mon église que je me demandais si ce n’était pas une vue de l’esprit ! »
Je lui ai dit : « Vous voilà rassuré, mon Dieu ! »
Il m’a dit : « Oui ! Je vais pouvoir leur dire là-haut : l’homme existe, je l’ai rencontré ! »

Raymond Devos
Publié dans le journal la Croix, le 16 juin 2006

reçu dans le courriel quotidien de  www.serviam.net      Carême 2007 sur Internet

Partager cet article
Repost0
15 février 2007 4 15 /02 /février /2007 00:25
Euthanasie : "Les assassins sont si gentils"

Infirmière de formation, Elisabeth Bourgois vient d'écrire un thriller sur un sujet qui lui tient à coeur après avoir travaillé plus de dix ans dans un service de chirurgie: l'euthanasie. Un roman au cœur des discussions sur la fin de vie un thriller choc qui révèle de lourds silences, inspiré de faits réels

Pierre Gueydier
15/06/2006

Gilles Derancourt, brillant administrateur d’une société de publicité, est licencié du poste à responsabilités qu’il occupait depuis plusieurs années. Incapable de surmonter ce cuisant échec, il tente d’en finir avec la vie d’un coup de revolver dans la tête. Ratant son coup, lui, le bel homme admiré de tous, le sportif, l’habile entrepreneur se retrouve grabataire sur un lit d’hôpital, ventilé artificiellement et plongé dans un coma sans perspective de guérison.

Au cœur d’un débat médiatico-politique sur l’euthanasie, le professeur de médecine Krozek, partisan d’une “mort miséricordieuse”, injecte un cocktail lytique pour “abréger les souffrances de son patient.”

Elisabeth Bourgois nous entraîne ici au cœur d’un thriller d’une brûlante actualité qui amènera le lecteur à envisager une réalité implacable: et si c’était lui que l’on voulait euthanasier ? Auteur de nombreux romans, Elisabeth Bourgois, analyse avec habileté la psychologie des gens d’aujourd’hui, dans un style alerte.

Elisabeth Bourgois, mariée, mère de six enfants, est infirmière de formation. Pendant plus de dix ans, elle a été responsable d’une équipe d’infirmières dans un service de Chirurgie. Depuis elle consacre son temps entre les conférences et l’écriture de romans pour la jeunesse: Marie de Beaujeu (Editions du Triomphe), La Grand-Mère au loup (Editions du Triomphe), Le Chausson par la fenêtre (Editions du Triomphe) La Nouvelle Peste - récompensé par le prix Saint-Exupéry- (Editions du Triomphe), et Les Ailes brûlées des papillons (Téqui). On lui doit aussi un manuel destiné aux adolescents et aux parents traitant des questions de vie, et des questions éthiques de la conception à la mort: Bioéthique pour tous, (Sarment - Fayard). Elle préside l’association « Médecine et dignité de l’homme » qu’elle a fondé en 1981.

Les assassins sont si gentils (Salvator)
224 pages. Prix TTC : 19,9 euros
ISBN 2-7067-0436-5
Parution en librairie : mai 2006
Editions SALVATOR
103, rue Notre-Dame des Champs - 75006 Paris
Tel : 01-53-10-38-38 Fax : 01 53 10 38 39
salvator.editions@wanadoo.fr

relevé sur http://www.inxl6.org/article3014.php

Partager cet article
Repost0
12 février 2007 1 12 /02 /février /2007 22:49

Dans notre parti politique, nous accomplissons ce que nous promettons.
Seuls les imbéciles peuvent croire que
Nous ne lutterons pas contre la corruption.
Parce que, il y a quelque chose de certain pour nous :
L'honnêteté et la transparence sont fondamentales pour atteindre nos idéaux.
Nous démontrons que c'est une grande stupidité de croire que
Les mafias continueront à faire partie du gouvernement comme par le passé.
Nous assurons, sans l'ombre d'un doute, que
La justice sociale sera le but principal de notre mandat.
Malgré cela, il y a encore des gens stupides qui s'imaginent que
L'on puisse continuer à gouverner
Avec les ruses de la vieille politique.
Quand nous assumerons le pouvoir, nous ferons tout pour que
Soit mis fin aux situations privilégiées et au trafic d'influences
Nous ne permettrons d'aucune façon que
nos enfants meurent de faim
nous accomplirons nos desseins même si
les réserves économiques se vident complètement
nous exercerons le pouvoir jusqu'à ce que
vous aurez compris qu'à partir de maintenant
nous sommes avec .... la « nouvelle politique »


Lire maintenant de bas en haut
En commençant par la dernière ligne
Et en remontant jusqu'au début

Partager cet article
Repost0
11 février 2007 7 11 /02 /février /2007 22:09

 

11 février : Notre Dame de Lourdes

Un groupe de théologiens luthériens de l’Allemagne de l’Est a publié en 1971 un manifeste qui contient des lignes d’une émouvante loyauté :

« A Lourdes, à Fatima et en d’autres sanctuaires marials, la critique impartiale se trouve en présence de faits surnaturels qui ont une relation intime avec la Vierge Marie, soit à cause des Apparitions, soit à cause des grâces miraculeuses demandées et obtenues par son intercession. Ce sont des faits qui défient toute explication naturelle. Jusqu’à présent, 1.200 guérisons opérées à Lourdes ont été reconnues par les médecins scientifiquement inexplicables. Mais l’Eglise catholique n’en a déclaré miraculeuses que 44. Durant 30 ans, 11.000 médecins, sans distinction de religion ou d’opinions scientifiques, ont eu libre accès au Bureau des Constatations Médicales. Une guérison déclarée miraculeuse possède donc la plus grande garantie possible. »

 
 

Voyage et Mission n°113 par FJE
rapporté dans le Recueil marial 1991 du Frère Albert Pfleger.

 

 

 
 

MULTIMEDIA :
Raffaello Sanzio - Madonna Sistina

Partager cet article
Repost0
11 février 2007 7 11 /02 /février /2007 11:17

Mesdames et Messieurs, lorsque vous pensez à la France, si vous ne l'avez jamais vue, ne pensez pas d'abord à ses bibliothèques et à ses musées, mais à ses belles routes pleines d'ombre, à ses fleuves tranquilles, à ses villages fleuris, à ses vieilles églises rurales, six ou sept fois centenaires, à ses villes illustres, toutes ruisselantes d'histoire, mais d'un accueil simple et discret, à nos vieux palais construits si près du sol, en si parfait accord avec l'horizon qu'un américain, habitué aux gratte-ciel de son pays, risquerait de passer auprès d'eux sans les voir. Et lorsque vous pensez à notre littérature, pensez-y comme à une espèce de paysage presque semblable à celui que je viens de décrire, aussi familier, aussi accessible à tous, car nos plus grandes œuvres sont aussi les plus proches de l'expérience et du cœur des hommes, de leurs joies et de leurs peines. C'est précisément parce que les siècles nous ont si profondément enracinés à notre sol, à notre terre, que nous pouvons opposer à la tyrannie un front invincible. La liberté n'est pas pour nous une abstraction, une image gréco-romaine, un souvenir de collège. Notre liberté est une réalité vivante et permanente que nos pères ont vue de leurs yeux, touchée de leurs mains, aimée de leur cœur, arrosée de leur sueur et de leur sang. Nos champs, nos villes, nos palais, nos cathédrales ne sont pas le symbole de notre liberté, mais notre liberté même, la liberté dont nous n'avons à rendre compte qu'à Dieu, que nous ne rendrons qu'à Dieu.  

Georges Bernanos 

 

 

 

 

Extrait d'une conférence donnée au Brésil en 1944 ou 1945.

 

In " Le lendemain, c'est vous ! " , Plon, 1969

Partager cet article
Repost0
10 février 2007 6 10 /02 /février /2007 22:53

 

 

 

Aimons-les en vue de Dieu,

Autant qu'Il le veut,

Comme Il le veut,

Non pour nous ni pour eux, 

Mais pour Lui.

Notre amour pour eux n'en sera pas diminué 

Mais incomparablement augmenté, 

Puisant dans cette source de la volonté divine, 

Une force, une stabilité, un dévouement, une ardeur 

Que n'a pas l'amour purement humain, 

Et qui sont dans les seuls coeurs qui, 

Laissant Jésus vivre en eux, 

Aiment par Jésus 

Et non par eux-mêmes. 

Faisons donc, dans nos sentiments pour le prochain 

Et nos rapports avec lui, 

Passer Dieu avant tout, 

N'ayant dans nos affections, 

Nos pensées, nos paroles, nos actions, 

Que Dieu en vue, 

Cherchant en tout une chose unique, 

Etre et faire ce qui est le plus agréable à Dieu. 

 

                          Charles de Foucauld 

Partager cet article
Repost0
6 février 2007 2 06 /02 /février /2007 22:44

vous voulez être informé de la parution

de chaque nouvel article du bloc-notes ("blog") ?

inscrivez-vous à la Lettre des nouvelles ("newsletter") ...

Partager cet article
Repost0
4 février 2007 7 04 /02 /février /2007 20:37

 4 février : Sainte Véronique

 

Sainte Véronique par Hans Memling (vers 1433-1494)
 

Aucun récit évangélique ne fait allusion à Véronique, que certaines traditions anciennes citent pour avoir essuyé le Visage du Christ au cours de Sa montée au Golgotha, l'image du Saint Visage restant "imprimée" sur le tissu.
Ce prénom de Véronique pourrait venir d'un mélange de latin-grec, "vera icon", ce qui signifie "véritable image". Pour certains, cette tradition ne serait d'ailleurs qu'une légende, à rapprocher de l'histoire du Mandylion. L'apocryphe "La mort de Pilate" raconte à l'appui de cette thèse que le Christ imprima son visage sur une toile qu'il donna à Véronique.
Les preuves historiques de l'histoire du voile remontent au VIII° siècle, au cours duquel le pape Jean VII le plaça dans un oratoire qu'il fit construire au Vatican. Exposé au XII° siècle au Latran, le voile fut transféré au début du XVII° à la Basilique Saint Pierre de Rome, où il fut l'objet d'une dernière ostension en 1854. Il n'a fait l'objet d'aucune étude scientifique, mais les copies conservées à Rome et à Gênes rappellent l'image du Saint Suaire.
Cette scène de la Passion du Christ, pour hypothétique qu'elle soit, a inspiré de nombreux peintres, dont nous vous présentons ci-dessous les oeuvres les plus connues.

compléments et iconographie ICI 

Partager cet article
Repost0