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1 juin 2020 1 01 /06 /juin /2020 08:33
La sublime Orchidée du Saint-Esprit ou Orchidée Colombe ou encore fleur du Saint-Esprit.
La sublime Orchidée du Saint-Esprit ou Orchidée Colombe ou encore fleur du Saint-Esprit.
La sublime Orchidée du Saint-Esprit ou Orchidée Colombe ou encore fleur du Saint-Esprit.
La sublime Orchidée du Saint-Esprit ou Orchidée Colombe ou encore fleur du Saint-Esprit.
La sublime Orchidée du Saint-Esprit ou Orchidée Colombe ou encore fleur du Saint-Esprit.
La sublime Orchidée du Saint-Esprit ou Orchidée Colombe ou encore fleur du Saint-Esprit.
La sublime Orchidée du Saint-Esprit ou Orchidée Colombe ou encore fleur du Saint-Esprit.

La sublime Orchidée du Saint-Esprit ou Orchidée Colombe ou encore fleur du Saint-Esprit.

L'orchidée colombe (Habenaria radiata) surpasse tout ce qui peut exister dans le règne végétal.

Sa floraison légèrement parfumée imite à s'y méprendre un vol de colombes, tant chaque fleur, d'un blanc immaculé, s'épanouit comme un oiseau prend son envol.

 

Vu sur le blog SERAPHIM

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1 juin 2020 1 01 /06 /juin /2020 08:18

Et si la série Downton Abbey nous disait quelque chose de l’Évangile ?

So chic ! Fastes, dorures et rideaux de velours, l’immense château de Highclere offre un décor impérial pour la série télévisée anglaise Downton Abbey. Respect, entraide, bienveillance et un zeste d’humour britannique : par des dialogues édifiants, cette saga familiale de l’aristocratie des années 1920 met en valeur les relations humaines des employeurs autant que des domestiques.

« Tu en es capable, j’en suis sûre… » encourage la cuisinière Mrs Patmore, à un jeune commis doutant de ses capacités à manier le rouleau à pâtisserie. Nous sommes dans les sous-sols du prestigieux manoir anglais de Downton, en 1922. En cette soirée ordinaire, le personnel aux fourneaux s’active afin de préparer le dîner pour la famille de Lord Crawley, l’élégant comte de Grantham. Sous d’immenses tableaux de famille, la nappe immaculée est ornée de magnifiques bouquets. Bienvenue dans l’aristocratie britannique du début du XXe siècle.

Pourtant, le réalisateur de la série, Julian Fellowes, a fait le choix de mettre autant en valeur les nobles maîtres que leurs domestiques. Valets, femmes de chambre et commis de cuisine obéissent tous, dans les règles de la hiérarchie, à l’imposant majordome Mr Carson, tenant le téléspectateur en haleine de la même manière que pour la famille qui les emploie.

Sortie en 2010, la saga fut un succès en Europe et aux États-Unis. Premières automobiles, droit des femmes… À travers la vie mouvementée et attachante de la famille Crawley, on découvre l’histoire d’un début de siècle en pleine mutation.

La suite... 

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31 mai 2020 7 31 /05 /mai /2020 09:46

" Qu'on aille pas croire cependant que le Traité du Saint-Esprit soit une oeuvre de pure érudition, un livre didactique uniquement réservé, destiné aux étudiants en théologie. C'est au contraire, un ouvrage catholique, même dans l'acceptation littéraire de ce mot, il s'adresse à tous.

On peut l’acheter ICI ou LA par exemple.

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31 mai 2020 7 31 /05 /mai /2020 09:03

 cliquez sur la Reine ... 

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31 mai 2020 7 31 /05 /mai /2020 07:54

Le temps pascal se termine par la fête de la Pentecôte, lorsque le Saint-Esprit descend sur les apôtres pour qu’ils aillent annoncer la bonne nouvelle dans le monde entier.

De « Pentekoste » en grec qui signifie le cinquantième jour, la Pentecôte célèbre le don de l’Esprit saint aux apôtres, cinquante jours après Pâques. Elle conclut officiellement le temps pascal et donne à l’Église les prémices de sa mission : annoncer la bonne nouvelle de la résurrection du Christ à toutes les nations. La Pentecôte commémore ainsi le début de l’évangélisation, et donc la fondation de l’Église.

Lu sur Aleteia.

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30 mai 2020 6 30 /05 /mai /2020 18:46

    Le procès de Jeanne d’Arc révèle le cadre naturel de la vocation surnaturelle de la jeune fille 

-         Quels sont votre nom et votre surnom ?
-         En mon pays, on m’appelait Jeannette et, après que je fus venue en France, on m’appela Jeanne. Du surnom je ne sais rien.
-         Quel est votre lieu d’origine ?
-         Je suis née au village de Domrémy, qui fait un avec le village de Greux. C’est au lieu-dit Greux qu’est la principale église.
-         Quels étaient les noms de vos père et mère ?
-         Mon père s’appelait Jacques d’Arc – ma mère, Isabeau.
-         Où fûtes-vous baptisée ?
-         En l’église de Domrémy.  


En ce 21 février 1431, dans la chapelle royale du château de Rouen, devant l’évêque qui s’appelait Pierre Cauchon, et 42 assesseurs, plus Jean d’Estivet, le promoteur, comparait celle qui deviendra cinq siècles plus tard la sainte de la Patrie (Jeanne a été béatifiée en 1909 puis déclarée sainte en 1920), patronne secondaire de la France.  Cet interrogatoire judiciaire que les vertus de la procédure ont conservé, révèle l’origine de Jeanne, les racines naturelles de cette unique fleur surnaturelle : nom, lieu d’origine, père et mère, paroisse.  

.... par  Jacques Trémolet de Villers, avocat français au barreau de Paris, écrivain et journaliste

La suite du texte ....    et la conférence audio (15 mn) ....

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30 mai 2020 6 30 /05 /mai /2020 12:19

Actualités - Radio Courtoisie 

Une émission radio à réécouter jusqu'au 3 juin, puis accessible aux abonnés à Radio Courtoisie.

Sophie Roubertie reçoit :

  • Valérie d’Aubigny, critique littéraire jeunesse
  • Thérèse Monniaux est présidente de l’association ACPL (Association Culturelle de la Paroisse de Lamotte)
  • Emmanuelle de Dortan est présidente de l’association Désirs de Culture
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30 mai 2020 6 30 /05 /mai /2020 11:59

Jeanne d'Arc nous montre comment reprendre notre destin en main »

Alors que l’Église catholique célèbre le 31 mai sa fête et que 2020 marque le centenaire de sa canonisation, Jeanne d’Arc demeure une figure auréolée de mystère tant elle interpelle et rassemble autour d’elle tant de personnes différentes. « Jeanne d’Arc n’a pas fait que raconter une belle histoire à laquelle on avait envie de croire : elle l’a incarnée personnellement et inscrite dans les faits. », explique à Aleteia la journaliste Pauline de Préval, auteur de l’ouvrage « Jeanne d’Arc, sur la terre comme au ciel ».

« Pour Jeanne d’Arc, Dieu seul rend libre, et défendre les droits de Dieu sur terre est le meilleur moyen de défendre les droits de l’homme ». À l’occasion de la fête de Jeanne d’Arc le 31 mai, Pauline de Préval, auteur de l’ouvrage Jeanne d’Arc, sur la terre comme au ciel, revient pour Aleteia sur la figure de cette sainte du XVe siècle dont 2020 marque le centenaire de la canonisation. « C’est parce qu’elle avait Dieu pour seul maître qu’elle a pu démasquer les idéologies de son temps et défier tous les puissants pour libérer son pays ». Entretien.

 

Aleteia : Qui était vraiment Jeanne d’Arc ?
Pauline de Préval : Jeanne d’Arc est à la fois le personnage le plus documenté de son temps et le plus mystérieux. Personne, en effet, n’arrive à expliquer comment cette petite paysanne de rien a pu se changer du jour au lendemain en chef de guerre et transformer le cours de l’histoire. Que Dieu ait voulu intervenir à travers elle dans un conflit opposant les Français aux Anglais semblait à ses contemporains aussi inouï qu’à nous aujourd’hui. D’où les légendes dont on l’a entourée. De son vivant, pour l’exploiter. Après sa mort, en un temps où l’on sera d’autant plus avide de révélations qu’on voudra discréditer la Révélation, pour tenter d’expliquer son geste de manière purement rationnelle : elle aurait été la demi-sœur de Charles VII, préparée de longue date au combat par la belle-mère du roi… En vérité, quiconque s’intéresse de près à son histoire se heurte tôt ou tard à cette évidence : à l’image du Christ, toute tentative de réduire son mystère et de faire varier d’un iota sa réalité historique aboutit à l’incohérence et au non-sens. Mais que l’on prenne sa réalité avec ce qu’elle recèle de mystère et son histoire éclaire plus que toutes les légendes dont on l’a entourée.

 

La suite de l'entretien....

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30 mai 2020 6 30 /05 /mai /2020 10:48

mais qui ne respectent ni les gestes barrières ni la distanciation sociale.

La Pentecôte, Heures d'Étienne Chevalier, enluminées par Jean Fouquet, musée Condé, Chantilly.

La Pentecôte, Heures d'Étienne Chevalier,

enluminées par Jean Fouquetmusée CondéChantilly.

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30 mai 2020 6 30 /05 /mai /2020 10:35

La croix processionnelle dormait dans la paroisse Saint-Nicolas de Pont-Saint-Pierre (27). Elle fait ce samedi 30 mai, jour anniversaire de la mort de Jeanne d’Arc, son grand retour à Rouen, pour le centenaire de sa canonisation.

Le matin du 30 mai 1431, vers 9 heures, Jeanne d’Arc est emmenée sur une charrette vers la place du marché de Rouen.  Après avoir été entendue en confession et avoir reçu la communion, une centaine d’hommes escortent la Pucelle de dix-neuf ans vers le bûcher. En chemin, le chanoine Loyseleur qui l’avait piégé pendant son procès est pris de remords. Il veut monter et crie pardon mais il est violemment écarté. Ensuite, l’historien Adrien Harmand raconte que « Jeanne est hissée sur le bûcher. À ses instances, on est allé lui chercher la grande croix de la paroisse Saint-Sauveur qu’elle tient étroitement, embrassée en pleurant. Elle ne la quitte que pour la lier à l’estache [poteau] qui surmonte le très haut tas de bois. Pendant qu’on la lie, elle continue ses louanges et lamentations envers Dieu et les saints, invoquant ses louanges et lamentations envers Dieu et les saints, invoquant spécialement saint Michel »

 

« J’ai brûlé une sainte »

Isambard de La Pierre, le prêtre qui accompagne la future sainte sur le bûcher, raconte à l’occasion de son procès en réhabilitation : « Elle m’avait prié de descendre avec la croix, une fois le feu allumé, et de la lui faire voir toujours. Ainsi je le fis. ».

HA / Aleteia

Maître Jacques Trémolet de Villers, président de l’Association des amis de Jeanne d’Arc et auteur de nombreux livres très documentés à ce sujet poursuit le récit : « Après avoir prononcé six fois le nom de Jésus, elle le crie une dernière fois, et sa tête retombant sur son épaule indique qu’elle est morte. Le greffier rapporte que tout le monde pleurait, même l’évêque Cauchon. Le plus marqué reste son bourreau, qui confiera peu après que “jamais l’exécution d’aucun criminel ne m’a donné tant de crainte que l’exécution de cette pucelle”. Après avoir jeté dans la Seine le cœur de la jeune fille, qu’il n’avait réussi à brûler par aucun moyen, malgré l’huile, le bois et le feu rajoutés, il dira même : “Je crains fort d’être damné, car j’ai brûlé une sainte.” » Le curé d’Heudicourt qui assista à l’horrible scène est tout aussi ému et témoigne : « Pendant l’exécution, maître Jean Alépée, alors chanoine de Rouen, était à mes côtés. Il pleurait que c’était merveille et je lui entendis dire : “Plut à Dieu que mon âme fut au lieu où je crois être l’âme de cette femme”. »

 
600 ans plus tard

Selon l’inventaire dressé par le ministère de la Culture, propriétaire de l’objet, la croix de procession est une pièce d’orfèvrerie en bois recouverte de cuivre et de verre, datant probablement du XVe siècle. Une transcription apparaît sur lequel on peut lire : « IHS MA / Donnes par moy Simon Langlois, prêtre demt à Paris, 1600. » Après avoir été conservée dans l’abbaye de Fontaine-Guérard de Pont-Saint-Pierre à quelques kilomètres de Rouen, elle repose jusqu’à aujourd’hui dans la paroisse de Pont-Saint-Pierre, dans l’Eure. L’église Saint-Sauveur de Rouen ayant été pillée par les calvinistes au XVIe siècle, l’objet a été mis à l’abri dès cette époque.

La croix devait être exposée en grande pompe pour les fêtes johanniques de Rouen, prévues pour ce mois de mai 2020. 

La suite...

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29 mai 2020 5 29 /05 /mai /2020 11:51

L’heure est au déconfinement sous haute surveillance sanitaire. C’est le moment des interrogations : en quoi le monde d’après sera-t-il différent de celui d’avant la crise du coronavirus ? Voici deux réponses que l’on peut trouver « pessimistes ». Mais le pessimisme est parfois plus salubre qu’un optimisme idéologique, trompeur par essence (*) et il peut « être au cœur de l'énergie créatrice, comme conditions fondamentales de l'action » quand un pessimisme de l'intelligence se transforme en optimisme de la volonté (**). Et cela ne nous empêche pas de nourrir notre espérance de ce réalisme.

 

Je ne crois pas une demi-seconde aux déclarations du genre « rien ne sera plus jamais comme avant ». Au contraire, tout restera exactement pareil. Le déroulement de cette épidémie est même remarquablement normal. L’Occident n’est pas pour l’éternité, de droit divin, la zone la plus riche et la plus développée du monde ; c’est fini, tout ça, depuis quelque temps déjà, ça n’a rien d’un scoop. Si on examine, même, dans le détail, la France s’en sort un peu mieux que l’Espagne et que l’Italie, mais moins bien que l’Allemagne ; là non plus, ça n’a rien d’une grosse surprise.

Le coronavirus, au contraire, devrait avoir pour principal résultat d’accélérer certaines mutations en cours. Depuis pas mal d’années, l’ensemble des évolutions technologiques, qu’elles soient mineures (la vidéo à la demande, le paiement sans contact) ou majeures (le télétravail, les achats par Internet, les réseaux sociaux) ont eu pour principale conséquence (pour principal objectif ?) de diminuer les contacts matériels, et surtout humains. L’épidémie de coronavirus offre une magnifique raison d’être à cette tendance lourde : une certaine obsolescence qui semble frapper les relations humaines. Ce qui me fait penser à une comparaison lumineuse que j’ai relevée dans un texte anti-PMA rédigé par un groupe d’activistes appelés « Les chimpanzés du futur » (…). Donc, je les cite : « D’ici peu, faire des enfants soi-même, gratuitement et au hasard, semblera aussi incongru que de faire de l’auto-stop sans plateforme web. » Le covoiturage, la colocation, on a les utopies qu’on mérite, enfin passons.

Il serait tout aussi faux d’affirmer que nous avons redécouvert le tragique, la mort, la finitude, etc. La tendance depuis plus d’un demi-siècle maintenant, bien décrite par Philippe Ariès, aura été de dissimuler la mort, autant que possible ; eh bien, jamais la mort n’aura été aussi discrète qu’en ces dernières semaines. Les gens meurent seuls dans leurs chambres d’hôpital ou d’EHPAD, on les enterre aussitôt (ou on les incinère ? l’incinération est davantage dans l’esprit du temps), sans convier personne, en secret. Morts sans qu’on en ait le moindre témoignage, les victimes se résument à une unité dans la statistique des morts quotidiennes, et l’angoisse qui se répand dans la population à mesure que le total augmente a quelque chose d’étrangement abstrait.

Un autre chiffre aura pris beaucoup d’importance en ces semaines, celui de l’âge des malades. Jusqu’à quand convient-il de les réanimer et de les soigner ? 70, 75, 80 ans ? Cela dépend, apparemment, de la région du monde où l’on vit ; mais jamais en tout cas on n’avait exprimé avec une aussi tranquille impudeur le fait que la vie de tous n’a pas la même valeur ; qu’à partir d’un certain âge (70, 75, 80 ans ?), c’est un peu comme si l’on était déjà mort.

Toutes ces tendances, je l’ai dit, existaient déjà avant le coronavirus ; elles n’ont fait que se manifester avec une évidence nouvelle. Nous ne nous réveillerons pas, après le confinement, dans un nouveau monde ; ce sera le même, en un peu pire.

Michel Houellebecq, dans sa lettre à France Inter du lundi 4 mai 2020

 

  Je ne crois pas aux déclarations du genre « rien ne sera plus ...

 

Le coronavirus va se révéler un redoutable accélérateur de la mise à distance de la réalité, et comme tel il aura bien mérité du "nouveau monde". "Distance sociale", soit le mètre minimum qui doit séparer les gens, est le nouvel impératif; le Premier ministre, qui parle un jargon très pur, a risqué " distanciation », ce qui est un emploi de sa dramaturgie que Brecht n'avait pas prévu. Tous les mots en télé-, télétravail, téléenseignement, télésanté (téléconsultation, télésuivi), téléconseil, télécommerce, vont s'imposer définitivement aux nostalgiques du "présentiel", puisque ce mot existe désormais pour qualifier, par contraste, les attardés — pour ne pas dire les réactionnaires — qui se figurent que la vie sociale suppose la présence, autrement dit des gens en chair et en os. L'épidémie nous vaudra un remarquable progrès dans le sens de la "dématérialisation". L'OMS recommande aux enfants confinés de jouer aux jeux vidéo, un programme qui s'appelle "Play apart together ", "jouer tout seul ensemble", et nul doute que M. Macron en aura été ravi, puisque c'est une magnifique application de l'en même temps qu'il tâche de nous inculquer depuis trois ans. Quand tant de bonnes habitudes auront été prises, comment reviendrons-nous en arrière, et à quoi bon? (…) Les assemblées générales d'actionnaires « dans un format à distance sans présence physique » deviendront la norme, on déléguera son hologramme et le virus aura été l'accoucheur du nouveau genre humain.

Philippe Barthelet, dans Valeurs Actuelles du 23 avril 2020

 

(*) Gérard Leclerc dans son éditorial à Radio Notre Dame du 5 mai 2020

(**) Philippe Muray citant Nietzsche, dans son Journal intime : Ultima Necat III

 

Merci encore à EVR.

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28 mai 2020 4 28 /05 /mai /2020 08:04

Le futur saint Charles de Foucauld. En arrière plan, la carte de l'Algérie et la ville de Tamanrasset.

Entre cohérence et confiance, Charles de Foucauld vu par le père Ardura

Charles de Foucauld sera bientôt saint. Ce prêtre parti vivre au coeur du Sahara au début du XXe siècle, a eu un parcours mouvementé, marqué par une conversion et le choix d'une vie radicalement ancrée dans le Christ. Le père Bernard Ardura, postulateur de la cause en canonisation du père de Foucauld, revient sur cette décision de la congrégation pour les Causes des Saints.

Entretien réalisé par Hélène Destombes – Cité du Vatican

Par le décret du 26 mai 2020 de la congrégation pour les Causes des Saints, le Pape François a autorisé la canonisation du bienheureux père Charles de Foucauld, béatifié le 13 novembre 2005 par Benoît XVI.

Ce futur saint de l'Église catholique est connu pour avoir mené une vie d'ermite au milieu des Touaregs dans le Sahara au début du XXe siècle, témoignant l'Évangile au cœur de populations musulmanes, dans un environnement hostile et particulièrement exigeant.

Cette figure qui dépasse de loin les frontières de l'Église, dont l'action s'inscrit aussi dans le contexte politique de son époque, celle de la colonisation française de l'Afrique du Nord et d'une grande partie du Sahara, est riche de significations tant sur plan de la spiritualité, du dialogue avec l'islam, de la mission évangélisatrice de l'Église et de la quête personnelle de Dieu.

La suite sur VaticanNews ...

 

A propos du dialogue avec Islam évoqué dans l'entretien, on lira ce que dit Charles de Foucauld ICI.

Retrouvez Charles de Foucauld sur Petrus Angel !

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25 mai 2020 1 25 /05 /mai /2020 14:29

Aucun texte alternatif pour cette image

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25 mai 2020 1 25 /05 /mai /2020 13:48

En 7 mn...  Lionel Astruc : "À travers sa fondation, Bill Gates contourne l'État et s'achète du pouvoir"

Et Pour aller plus loin 

Amazon.fr - L'art de la fausse générosité: La fondation Bill et ...

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25 mai 2020 1 25 /05 /mai /2020 10:19
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22 mai 2020 5 22 /05 /mai /2020 09:44

Ste Rita († 1457)

Fêté Le 22 Mai

SAINTE RITA de CASCIA
Veuve  
(1381 † 1457)

       Rita naît en 1381 près de Cascia en Ombrie,  au cœur d'une époque troublée marquée par la guerre entre partisans du  Pape et de l'Empereur. Chaque village est divisé. Les parents de Rita  sont surnommés les 'porte-paix' du Christ, jouant un rôle de médiation  entre clans rivaux. Cet exemple, Rita ne l'oubliera pas, elle le  prolongera par toute une vie de douceur et d'extraordinaire patience  dans l'adversité.

       Vers l'âge de 13 ans, elle commence à penser à  la vie religieuse. Ses parents préfèrent la marier à un homme riche,  mais au caractère brutal. Rita s'incline, se disant qu'elle n'est sans  doute pas digne de la vie consacrée. Elle souffre en silence, ajoutant  des jeûnes fréquents pour la conversion de Paolo di Fernando, son mari.  Elle est si douce que ses voisins la surnomment « la femme sans rancune  ». Enceinte, elle donne naissance à deux jumeaux. Paolo finit alors par  s'amadouer et le ménage connaît un temps de bonheur.

       Or un soir d'hiver 1416, Paolo tombe dans une  embuscade. Quand Rita arrive, il est déjà mort, mais un témoin atteste  qu'il s'est tourné vers Dieu. Les jumeaux, eux, ne rêvent que de venger  leur père. Rita redouble de prière, demandant même au Seigneur qu'ils  meurent en pardonnant plutôt que de vivre dans la vengeance. Quelques  mois après, ses fils sont emportés par une épidémie de peste, non sans  avoir demandé pardon à leur mère.

       Devenue veuve, Rita va pouvoir réaliser sa  vocation, non sans mal ! Elle frappe à la porte des Augustines de  Cascia, mais l'abbesse lui refuse l'entrée, l'ordre interdisant  l'accueil des veuves. Rita insiste et finalement est admise, à condition  de parvenir d'abord à réconcilier les deux clans, celui de son mari et  celui de son assassin. Elle y parvient, contre toute attente ! Elle  restera 40 ans religieuse, se dévouant au service des pauvres. 

La suite...

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21 mai 2020 4 21 /05 /mai /2020 08:07

malgré tout.

icône_ascension_novgorod

 

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20 mai 2020 3 20 /05 /mai /2020 14:00

« Covid-19 : L’autre « étrange défaite » » . Une autre colère, celle de Charlie hebdo …

Ce billet signé Riss est paru dans Charlie hebdo il y a un mois (27.03) mais la suite des événements ne le dément pas sur le fond. L’amplifie, à vrai dire. Dieu sait que nous ne sommes pas Charlie. Et ne l’avons jamais été. En témoigne – voir l’article suivant – notre réaction du 8 janvier 2015, au lendemain du massacre de la quasi totalité de la rédaction de l’hebdo… Pourtant, nous savions qu’il y avait en son sein des personnalités patriotes dont le regretté Bernard Maris, franc-maçon, qui venait tout de même d’écrire deux ouvrages à contre-courant : Et si on aimait la France, Paris, Grasset  

Un désastre. C’est tout simplement un désastre que vit actuellement la France. Le mot « crise » ne suffit plus à définir la situation présente.

La France vit des heures de désillusion aussi profonde que celles qu’elle avait connues en mai 1940. La France pensait avoir le meilleur système de santé du monde, comme elle était convaincue d’avoir la meilleure armée du monde en 1940. Et puis, sous nos yeux, tout s’est effondré à une vitesse inimaginable. On se demandait pourquoi la France avait manqué d’avions efficaces, d’armements modernes comme des chars d’assaut, et pourquoi les soldats portaient encore des bandes molletières alors que les soldats allemands avaient des bottes en cuir.

Aujourd’hui, on s’interroge pour comprendre pourquoi il n’y a pas assez de masques, pourquoi il n’y a pas assez de respirateurs artificiels, pourquoi la France est obligée d’importer les produits réactifs pour fabriquer des tests de dépistage. On perd notre temps à discuter de problèmes d’intendance qui n’auraient pas dû exister si le système de santé français était vraiment le meilleur du monde. Mais le système de santé français n’est pas le meilleur du monde. La France n’est plus un grand pays, mais une petite nation mesquine, bouffie d’orgueil et de prétention. Et en face d’un virus microscopique, l’orgueil et la prétention, ça ne sert à rien.

Une injustice insupportable

Il faudra alors se poser la question de savoir pourquoi un tel désastre. On ne peut s’empêcher de se tourner vers la fameuse Étrange Défaite, de Marc Bloch, qui, ayant vécu la défaite de 40 de l’intérieur, se posait la question de savoir pourquoi cela avait été possible. Et cette catastrophe en cours nous amène inévitablement aux mêmes conclusions : incompétence, inorganisation, absence de vision à long terme, improvisation. En résumé : nullité de nos dirigeants, et en particulier de ceux en charge du système de santé français.

Cette génération de hauts responsables de la santé en France est en train d’entrer dans l’Histoire comme les généraux de l’armée française en 40. Une caste de petits chefs, de techniciens imbus de leur position, de leur suffisance, qui, face au coronavirus, avaient une guerre de retard, comme la plupart des généraux de 1940, qui se croyaient encore en 1918.

Ceux qui en payent le prix, ce sont les morts de plus en plus nombreux, mais aussi les médecins et soignants qui se sacrifient en y laissant leur peau, pour rattraper des erreurs dont ils ne sont pas responsables. C’est toujours le troufion de base qui paye de sa vie la nullité de sa hiérarchie.

Cette injustice insupportable, il faudra en répondre d’une manière ou d’une autre. Le président de la République a très vite comparé cette épidémie à une guerre. Cela pouvait sembler habile, afin de mobiliser la nation entière contre le terrible ennemi. Mais cette comparaison se retourne déjà contre ceux qui croyaient en tirer parti. Car en face d’un tel désastre, on ne pourra pas se contenter de quelques gerbes de fleurs et d’une distribution de Légions d’honneur. Le besoin de justice est le sentiment qui structure une société. Quand il est bafoué, ce n’est pas seulement le système de santé français qui s’effondre, mais la totalité de l’édifice.  ■ 

Riss 

© JSF – Peut être repris à condition de citer la source

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20 mai 2020 3 20 /05 /mai /2020 08:15

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19 mai 2020 2 19 /05 /mai /2020 17:22

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19 mai 2020 2 19 /05 /mai /2020 15:03

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19 mai 2020 2 19 /05 /mai /2020 10:27

 

La peste milanaise de 1576

 

Quand l’épidémie frappe la cité de saint Ambroise en 1576, Charles Borromée en est l’évêque depuis treize ans. Neveu du pape Pie IV, ce saint évêque applique au mieux la Contre-Réforme engagée par le concile de Trente. Dévoué corps et âme à son peuple, il va œuvrer pour juguler ce que la postérité appellera la « peste de saint Charles ». D’abord par les moyens surnaturels, en organisant des prières publiques – dont une procession à la tête de laquelle, pieds nus, il porte les reliques du saint Clou –, en distribuant la communion, en conférant personnellement la confirmation aux malades, en organisant des confessions et des services funèbres solennels. Ensuite par la consolation, en exhortant les Milanais par la parole et par la plume. Enfin, par des mesures administratives concernant les devoirs des clercs de son diocèse. La question était de savoir si les clercs étaient tenus d’administrer les sacrements aux personnes infectées. Saint Charles Borromée répond en deux temps.

D’abord, les curés doivent rester en place et ne pas fuir le danger. Ils sont tenus à résidence, et il est loisible d’agir en justice contre ceux qui ne respectent pas cette règle, conformément aux canons réformateurs du concile de Trente (sess. 23, can. 1). En ce cas, il convient de procéder d’abord par censures, ensuite par séquestres, enfin par privation de l’office. Un décret romain du 23 décembre 1576 vient rappeler cette obligation des curés à résider dans leur cure. Grégoire XIII déclare que cette obligation vaut à plus forte raison pour les évêques, qui peuvent cependant pourvoir au nécessaire depuis un lieu sûr. La Sacrée Congrégation des Évêques juge qu’un évêque pourvu d’un coadjuteur est aussi tenu à résidence (24 mars 1597), même en temps d’épidémie (7 septembre 1619).

Ensuite, les clercs doivent administrer les sacrements de nécessité que sont le baptême et la pénitence en temps de peste, même au péril de leur vie. Charles Borromée ayant informé le pape de ses dispositions, ce dernier réunit un consistoire le 10 septembre 1576. Il répond au saint archevêque pour louer sa conduite, porter la question (dubius) à la connaissance de la Congrégation et décréter que les curés sont tenus d’administrer les deux sacrements. C’était concrétiser en termes de droit ce que les théologiens affirmaient depuis longtemps, à l’instar de saint Thomas d’Aquin pour qui « la charité n’exige pas nécessairement qu’on expose son corps pour le salut du prochain, hormis le cas où l’on est tenu de pourvoir à son salut » (IIa IIae, q. 26, a. 5, ad 3m). Le 12 octobre, le pape approuve le décret de la Congrégation, donnant la faculté de réaliser cette obligation par un autre clerc idoine. La raison principale vise à permettre au curé de continuer à entendre les confessions des personnes saines, qui sans cela redouteraient de se confesser à un prêtre allant vers les pestiférés, par peur d’une contagion. La raison secondaire est de laisser le curé à ses exhortations, prédications et consolations de ses ouailles.

Il en va de même pour l’obligation d’administrer l’extrême-onction, qui repose sur le curé soit personnellement soit par autrui. Pour le canoniste Ferraris, le prêtre pèche mortellement s’il refuse d’administrer les derniers sacrements à un pestiféré, « même avec le risque d’être contaminé, si l’infirme n’a pas d’autre moyen de recevoir le Sacrement » (3).

Les clercs doivent de même porter des habits resserrés, abandonner le pluvial, et n’user que du seul surplis et de l’étole. Ils doivent employer, pour la célébration de la messe, des ornements et des calices qui leur sont propres, et si possible célébrer sur des autels distincts dans des chapelles séparées. Si cela est impossible, il convient que chacun use de nappes d’autel distinctes.

Enfin, saint Charles introduit quelques modifications, dites précautions, dans certains rites liturgiques. Pour le baptême, il convient de l’administrer immédiatement au nouveau-né par infusion (4), et non par immersion, en omettant les autres rites, surtout si la mère est affectée ou susceptible de l’être. En revanche, dès que la suspicion cesse, il faut revenir à l’église accomplir ce qui a été omis. Pour la confession, elle doit se tenir en respectant une certaine distance entre le pénitent et le confesseur, et peut avoir lieu dans des lieux inaccoutumés : aux portes, fenêtres, etc. en évitant la chambre à coucher du pénitent infesté.

En 1579, saint Charles Borromée réunit son cinquième concile provincial et y intègre toutes les précautions et réglementations édictées lors de la terrible peste de 1576. De la sorte, la longue seconde partie de ces constitutions (plus de trente pages) devient un exemple de conduite épiscopale à tenir en cas d’épidémie. À titre d’exemple, s’il ordonne des processions publiques quotidiennes, il institue une « distanciation sociale », c’est-à-dire « que les hommes ne soient pas massés ni en foule et comprimés les uns les autres, mais en ordre distinct, et séparés d’un intervalle, pour ne pas donner lieu à la contagion ». Pour la célébration des messes, qu’il encourage, il demande à son clergé de ne pas célébrer à la même heure, ni dans les mêmes églises (surtout si elles sont étroites), afin d’éviter les rassemblements. Les enseignements de la doctrine chrétienne sont maintenus, mais dans un lieu aéré et ouvert, comme un cimetière, une place publique, un carrefour.

Les pouvoirs publics sont invités à prendre les mesures nécessaires, mais non au détriment des libertés de l’Église et des droits des évêques, « qui ne sont pas moins chargés de la santé et du salut du peuple ». Ainsi, les autorités peuvent décréter des confinements, mais seulement pour un temps, et si possibles limités aux femmes avec enfants, voire à un quartier seulement, et sans toucher aux divins offices de l’Avent, du Carême, des fêtes de Pâques ou des autres solennités du Seigneur, car il ne faut pas moins craindre « la contagion de la peste des âmes que celle des corps ».

Au XVIIe siècle, d’autres hypothèses sont envisagées dans des textes issus des congrégations romaines. En 1656, Alexandre VII enjoint à l’archevêque de Naples de publier un édit pénal interdisant à tout clerc (séculier ou régulier) d’oser entrer dans ladite ville en cas de suspicion de peste, sans un laisser-passer écrit concédé par l’ordinaire. Le même pape enjoint au nonce de punir sévèrement cinq chanoines du Latran désobéissants, tout comme l’abbé qui leur a donné l’hospitalité.

Les ordres hospitaliers reçoivent des missions précises, notamment les chevaliers de l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Ils obtiennent des facultés spéciales afin d’extrader les personnes (ou les choses) suspectes d’être infectées. Les évêques ont, quant à eux, la faculté d’extraire les laïcs suspects d’être pestiférés et réfugiés dans les églises, afin de les conduire dans les lazarets pour qu’ils y passent leur mise en quarantaine. Ce déplacement de force ne peut intervenir qu’après publication des restrictions de déplacement causées par le temps de la peste. Le privilège est octroyé aux évêques des cités les plus concernées, comme Malte (1644), Naples ou Milan (1657).

Extrait de  " Le droit canonique en temps d’épidémie ".

 

Saint Charles Borromée et la peste de Milan (Juillet 1576 ...

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18 mai 2020 1 18 /05 /mai /2020 09:35

à suivre ...

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16 mai 2020 6 16 /05 /mai /2020 18:53

Les Chrétiens d'Orient, 2000 ans d'histoire : Origines en ...

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Aussi ce 16 mai à 21h sur la chaîne LCP. Sans doute en rediffusion. 

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16 mai 2020 6 16 /05 /mai /2020 18:32

Jeanne d'Arc en quelques dates 

1412 environ : naissance de Jeanne d'Arc à Domrémy

30 mai 1431 : mort de Jeanne, brûlée à Rouen

16 mai 1920 : canonisation de Jeanne

16 mai 2020 : centenaire de la canonisation de Jeanne

2e dimanche de mai : fête nationale de Jeanne d'Arc

Jeanne d'Arc en 2 mn par Charlotte d'Ornellas

 

Jeanne d'Arc

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